Fresnes-lès-Montauban

commune française du département du Pas-de-Calais

Fresnes-lès-Montauban est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fresnois.

Fresnes-lès-Montauban
Fresnes-lès-Montauban
La mairie et l'église.
Blason de Fresnes-lès-Montauban
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC Osartis Marquion
Maire
Mandat
Annie Lemoine
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62355
Démographie
Gentilé Fresnois
Population
municipale
596 hab. (2021 en évolution de +4,75 % par rapport à 2015)
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 01″ nord, 2° 55′ 55″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 63 m
Superficie 4,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Fresnes-lès-Montauban
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Fresnes-lès-Montauban
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Fresnes-lès-Montauban
Liens
Site web fresneslesmontauban.fr

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 651 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Fresnes-lès-Montauban est une commune rurale localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, traversée par l'autoroute A 1, reliant Paris et Lille, et par la LGV Nord. Elle se situe à 14 km au nord-est de la commune d'Arras et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Arras.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Fresnes-lès-Montauban
Neuvireuil Izel-lès-Équerchin
Oppy   Vitry-en-Artois
Gavrelle Biache-Saint-Vaast

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 4,95 km2 ; son altitude varie de 41 à 63 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le Siphon, canal, chenal non navigable de 7,13 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Trinquis au niveau de la commune d'Hamblain-les-Prés[3] et par le Montville, petit cours d'eau de 0,22 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Siphon au niveau de la commune de Vitry-en-Artois[4].

 
Réseau hydrographique de Fresnes-lès-Montauban[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le marais de Vitry-en-Artois, d’une superficie de 214 ha et d'une altitude variant de 42 à 53 mètres. Ce site est une zone alluviale de la Scarpe qui sert pour la nidification, le stationnement et l’hivernage des oiseaux aquatiques[11].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois, d’une superficie de 1 632 ha et d'une altitude variant de 43 à 62 mètres. Sur ce site alluvial inondable plus ou moins tourbeux on y trouve des sites remarquables : le marais de Vitry en Artois, le marais du pont à Rœux et le secteur des anciennes tourbières de Plouvain et Biache-Saint-Vaast[12].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Fresnes-lès-Montauban est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones urbanisées (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), forêts (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par la route départementale D 950 reliant Arras et Douai et dispose, sur son territoire, de la sortie no 16 de l'autoroute A1 reliant Paris et Lille[18].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 14 km à l'est de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille et desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[19].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Fraisne vers 1170, Frasne en 1123[20], Frasnum en 1184 ; Fraxinus au XIIe siècle; Franes en 1265 ; Fresne en 1290 ; Frennes en 1403 ; Fresnes lès Monthoben en1429) ; Fresnoy lez Montauban en 1469[21].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, Fresnes représentant la fixation de l'oïl (ancien français) fraisne « frêne »[20], devenu fresne par la suite et enfin frêne en français moderne.

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à un lieu voisin. Par exemple, la commune de Fresnes indique qu'elle se situe près de Montauban, un ancien hameau.

Histoire

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Seigneurs de Mauville (quartier de Fresnes)

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  • Nicolas de Baudain, chevalier, seigneur de Villers et de Mauville, a été armé chevalier par le roi d'Espagne Philippe II en personne, en récompense des services rendus à l'empereur Charles Quint pendant les guerres.
  • Jacques de Baudain, fils de Nicolas, chevalier, seigneur de Mauville a, au péril de sa vie, réprimé et détourné les attentats ds séditieux contre la ville de Douai.
  • Renon de Baudain, chevalier, seigneur de Mauville, a servi sous le marquis de Roubaix et Renty, avec six chevaux à ses frais, aux siège de Bouchain, Oudenarde, Tulemont, siège d'Anvers, est allé au secours de Paris et des princes de la Ligue à la suite du duc de Parme. Ce dernier l'a récompensé en lui confiant le commandement d'une compagnie de son régiment pour aller au secours de Rouen. Il s'est retrouvé au second siège de Cambrai avec le comte de Fuentes. Son comportement lui a valu d'être armé chevalier par l'archiduc Albert en personne à Cambrai le [22].
  • Charles de Baudain, écuyer, petit-fils de Jacques, seigneur de Mauville et Wagnonville, a été fait chevalier par lettres données à Madrid le [23].

Fresnes-lès-Montauban ne forme une seule commune que depuis peu. Aussi loin qu'on peut remonter dans le passé, on retrouve la trace de trois villages bien distincts : Fresnes, Montauban et Meauville.

En 1098, Dom Alold, abbé de Saint-Vaast, est chargé de l'église de Fresnes.
En 1214, le village fut ravagé et brûlé lors du règne de Philippe-Auguste. En 1303, Fresnes est de nouveau ravagée par les troupes flamandes.En 1601, les gens de loi de Fresnes font une requête contre ceux de Biache qui voulaient faire comparaître les habitants de Fresnes devant leur tribunal.
En 1604, on parle d'une « place en rietz » à côté du cimetière (la place actuelle), d'une « rue de l'abreuvoir » où l'on « tire le chron », et du « chemin où passent les croix » (actuelle rue de la Croix). Pendant la Révolution, Fresnes était chef-lieu de canton.
En 1792, on pouvait voir, dans l'église, une pierre tombale rappelant la sépulture de Nicolas le Cat et Marie Sylvain, sa femme, qui avaient fait de grandes donations à la paroisse. En 1820, Fresnes comptait 355 habitants.

Montauban, est appelé d'abord Mons Albanus (le « Mont » Blanc). Ce village est situé sur la petite hauteur blanche le long de la route Arras-Douai (appelée anciennement « le grand chemin »). Il y avait à Montauban une maladrerie, sorte de petit hôpital pour les lépreux, fondée au XIIIe siècle.

Meauvill, a pour origine Mala Villa, « la mauvaise maison ». On a retrouvé près de Meauville des haches celtiques en silex, une monnaie gauloise et les restes gallo-romains de tombes et de débris du IIIe siècle. Le village ne comptait simplement qu'une ferme qui devint plus tard un château entouré de deux ou trois chaumières. Au XIe siècle, Meauville était un village sur lequel Saint-Vaast prélevait la dîme, et son seigneur, Thierry de Mauville, fut un des preux chevaliers qui s'enrôlèrent sous la bannière du comte de Flandre pour aller porter aide et assistance à l'évêque de Cambrai, retenu prisonnier dans le château d'Oisy. En 1303, Meauville est brûlée par les Flamands. À peine une dizaine de maisons se reconstruisirent autour du château.

Avant la Révolution française, Mauville est le siège d'une seigneurie. Aux XVIe et XVIIe siècles, elle est détenue par des membres de la famille de Baudain[23]

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton de Brebières. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1793, rattachée au canton de Vitry-en-Artois[1].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la Première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Paul Miermont PCF  
2000 2020 André Lacroix   Réélu pour le mandat 2014-2020[24],[25],[26],[27]
28 mai 2020 En cours
(au 7 mars 2022[28],[29])
Annie Lemoine   Ancienne cadre

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre l'école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 145)[30].

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[31].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Fresnois[32].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 596 habitants[Note 5], en évolution de +4,75 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
258320340335381362378378379
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
385380389365398455453408400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
390370368208289326336314375
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
370380386454538499481469487
2014 2019 2021 - - - - - -
570581596------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 281 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 51,30 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
3,5 
75-89 ans
5,0 
15,9 
60-74 ans
19,1 
17,3 
45-59 ans
16,4 
23,7 
30-44 ans
19,8 
15,2 
15-29 ans
15,8 
24,0 
0-14 ans
23,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Notre-Dame. La première église est détruite lors de la Première Guerre mondiale. Après la guerre, elle est édifiée par Charles Demory et sa sœur Félicité Demory. Elle comporte trois flèches de ciment, peintes en blanc depuis la restauration extérieure de l'église en 2002, le clocher central représente Fresnes et les deux clochetons symbolisent les deux hameaux Montauban et Meauville[38].
  • Le monument aux morts[39].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De gueules à l'hamaïde d'argent, au franc-canton senestre d'or chargé d'une croisette ancrée de gueules[40].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Siphon (E1560760) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Montville (E1560780) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Fresnes-lès-Montauban et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013376 - Marais de Vitry-en-Artois », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013375 - La vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fresnes-lès-Montauban ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève, Droz, 1990-1998, vol. 2, p. 1244.
  21. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  22. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 182, lire en ligne.
  23. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 37-38, lire en ligne.
  24. Timothée Brisson, « Le bilan des maires à Fresnes-lès-Montauban - André Lacroix - Des finances maîtrisées pour une commune bien équipée : André Lacroix est entré dans la vie municipale en 1995, au titre d’adjoint aux affaires scolaires et à l’animation. Il est nommé maire de Fresnes-lès-Montauban en 2000 puis remporte les élections suivantes. Attaché au travail en équipe, il réserve encore sa décision quant à sa posture pour les prochaines municipales. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Fresnes-lès-Montauban: André Lacroix reconduit à la mairie : Dimanche matin, le conseil municipal élu dès le premier tour le dimanche précédent a tenu dans le meilleur des mondes sa première séance pour la mise en place du bureau municipal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. Géraldine Csizmadia, « Fresnes-Les-Montauban: Des travaux sur l’Éclairage public et le réseau d’eau et la révision du PLU : André Lacroix a entamé en mars son dernier mandat de maire. Il entend préparer progressivement le passage de témoin, tout en continuant de travailler avec son équipe autour du « bien vivre ensemble ». », La Voix du Nord,‎ .
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  31. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  32. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnes-lès-Montauban (62355) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. « Lieu de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  39. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  40. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).