Francesco Racanelli
Francesco Racanelli (né à Sannicandro di Bari dans les Pouilles en 1904 et mort à Florence en 1977) est un médecin et écrivain italien, à l’origine d’une thérapie non conventionnelle qu’il dénomme « médecine bioradiante ».
Biographie
modifierSynopsis
modifierFrancesco Racanelli naît en 1904 à Sannicandro di Bari[1],[2],[6],[13]. Il croit détenir un don particulier dans les mains[10]. Il en émanerait, selon lui, un « fluide vital[7] » qu’il qualifie d’« énergie bioradiante[8],[9],[3],[5] ». Il est continuellement poursuivi par le Conseil de l’Ordre des médecins pour exercice illégal de la médecine[4]. Pour éviter d’avoir à affronter de nouveaux problèmes juridiques, il décide d’entreprendre des études de médecine et devient médecin[14],[15],[16]. Il traite les blessés à Florence pendant la libération de l’Italie[17]. Il exerce conjointement son activité de Heilpraktiker[11], guérisseur[8],[12], pranothérapeute[1],[10],[5] et médecin à Florence[8],[18],[19].
Francesco Racanelli meurt à Florence en 1977[3].
Analyse
modifierPoursuites judiciaires
modifierEscobedo
modifierDans le volume 59 du périodique « La justice pénale[trad 1] » de l'année 1954, Gennaro Escobedo rapporte que « l'arrêté du tribunal de Catane en jurisprudence sicilienne de 1951 parvient en dernier ressort à une conclusion formelle selon laquelle la cour se doit d'admettre qu'attendu quelque éclairage prédominant paraissant prévaloir dans certaines écoles médicales non officielles (du moins l'espérons-nous) ... le Dr Racanelli, médecin agréé et guérisseur réputé, affirme dans ses ouvrages que le fluide relève d'une énergie vitale émanant de personnes particulièrement douées dont les ressources reposent sur les fondements inhérents à la vibration physique, psychique et spirituelle du guérisseur[7],[trad 2]. »
Lamendola
modifierLe professeur Francesco Lamendola, docteur ès lettres et philosophie, écrit que l’activité « illicite » de « guérisseur » de Francesco Racanelli lui vaut, au début de sa carrière, d’être poursuivi à cinq reprises par le Conseil de l’Ordre des médecins italien (it)[6]. Titulaire d’une maîtrise universitaire en droit[4],[5],[6], il décide de régulariser sa situation auprès des autorités compétentes afin de pouvoir exercer son activité thérapeutique en toute légalité[14],[15],[16],[trad 3]. Il accomplit le cycle complet des études de médecine à l’université de Florence[6] où il obtient son doctorat en médecine et en chirurgie en 1935[6].
Travaux universitaires
modifierFumia
modifierEn 1972, Luigi Fumia et Tullio Seppilli posent les bases d’une première étude universitaire intitulée Francesco Racanelli, un médecin guérisseur[20].
Seppilli
modifierEn 1983, Tullio Seppilli, qui avait assuré la direction scientifique du rapport de 1972[20], reprend une partie des travaux de son prédécesseur dans une thèse de doctorat consacrée à « la médecine populaire en Italie » pour le compte de l’université de Pérouse[21]. Le contenu de cette rédaction est ensuite publié dans la revue La ricerca folklorica du mois d’octobre 1983[21].
Calabrese & Borghini
modifierDans une autre thèse universitaire déposée le 1er décembre 2009 à la faculté d’architecture de l’école polytechnique de Turin, Loreto Calabrese et Alberto Borghini dressent un parallèle avec la « bioradiance » évoquée par Francesco Racanelli au regard d’autres courants « ésotériques » apparentés :
« Cette substance présente dans tout l’univers, c’est l’énergie vitale, appelée « lumière » par Jésus-Christ, vis medicatrix naturae (en) ou « pouvoir de guérison naturelle » par Hippocrate, « prāṇa (devanāgarī: प्राण ) » par l’hindouisme, « Chi » par les Chinois, 気 (ki) par les Japonais, རླུང (en) (rlung) par le bouddhisme tibétain, « orgone » par Wilhelm Reich, « force plasmatique éthérique[N 1] » par Rudolf Steiner[22], « libido » par Sigmund Freud, « énergie bioradiante » par Francesco Racanelli[23],[trad 4]. »
Observations
modifierL’auteur Stefano Fusi relève que le docteur Racanelli opère un distinguo entre la notion de prāṇa (devanāgarī: प्राण ) en vigueur chez les Indiens et le magnétisme humain[N 2] mis en exergue par feu le docteur Franz-Anton Mesmer[N 2]. Selon Racanelli, ainsi que mentionné dans son ouvrage Medicina bioradiante[24] paru en 1951 et traduit en français en 1973 par L’Autre Médecine : les radiations humaines[25] » puis réédité en italien en 1978 sous le titre « L’altra medicina[26],[3] », le prāṇa n’est pas généré par le corps physique de l’homme « mais il est prodigué par l’influx nerveux qui lui sert de véhicule selon un mécanisme analogue à celui du sang par rapport à l’oxygène[27],[trad 5]. »
Philosophie
modifierDans l’un de ses premiers ouvrages intitulé La Douleur et sa médecine : les conseils prodigués par un célèbre médecin guérisseur[28] paru en 1939 aux éditions Giannini & Giovannelli puis réédité à sept reprises chez Vallecchi, le docteur Racanelli expose les fondements sur lesquels repose son approche éthique, philosophique, déontologique et spirituelle :
- développer l’entièreté des facettes plurielles inhérentes à l’harmonie intérieure[28]
- asseoir les bases et fondations d’une aspiration spirituelle croissante[28]
- s’évertuer à rester soi-même au lieu de chercher à paraître[28]
- s’atteler à percevoir le sens des réalités cachées, aller au-delà du rideau trompeur des apparences premières[28]
- cultiver incessamment sa joie de vivre[28]
- sublimer les bases éthiques d’une sagesse philosophique[28]
- conserver intact et inaltéré un sens aigu de la justice[28]
- vouer un respect égal et constant envers autrui, quel qu'il soit[28]
- considérer chaque obstacle qui se présente comme une aubaine inespérée permettant de se surpasser[28]
- apprendre à apprivoiser la perspective de la mort subordonnée à l’inéluctabilité de notre propre finitude[28]
Protocole
modifierDans un ouvrage collectif paru en 1976, Massimo Inardi (it) rapporte le contenu d’un entretien avec Francesco Racanelli. Celui-ci lui expose sa vision du processus thérapeutique en cours ; il y décrit quelques-unes des modalités participatives qui, d’après lui, contribuent à l’amélioration de toute condition sanitaire :
« Je recours à cette « énergie bioradiante » pour soigner les malades. En d’autres termes, ce courant d’énergie magnétique peut être utilisé à des fins thérapeutiques et, en tant que tel, agir de façon salutaire sur les zones perturbées, partant du principe que chacun d’entre nous entretient des liens indestructibles avec le monde vivant, avec les sentiments qui nous animent, avec la communauté qui nous entoure, avec le macrocosme dont nous faisons partie intégrante, avec le créateur dont nous sommes par essence les créatures. Œuvrer à la restauration de la santé requiert une approche à la fois scientifique et artistique. En premier lieu, le thérapeute devra faire abstraction de tout conditionnement humain d’ordre suggestif ou possessif. Sa position de mari, de père, d’ami, de simple citadin ou même de croyant devra impérativement passer au second plan et se trouver uniquement subordonnée au devoir prioritaire relevant de l’exercice médical. C’est ainsi qu’avant chacune de mes séances quotidiennes, alors que je me prépare à endosser ma blouse de médecin, je m’astreins obligatoirement à mettre en œuvre ce processus interne de fractionnement intérieur en procédant à une forme d’abolition de ma personnalité émotive et possessive ; ma mission curative acquiert ainsi valeur de sacrement rituel[29],[trad 6]. »
Hasard
modifierInterrogé sur les circonstances qui lui auraient permis de constater qu’il aurait été doté de qualités thérapeutiques particulières, Racanelli répondit comme suit :
« La découverte de notre don est hélas inéluctablement soumise aux lois du hasard. Les « vrais » guérisseurs — j’entends par là : ceux qui font preuve d’honnêteté et de bonne foi, outre d’être dotés de pouvoirs curatifs attestés — sont, la plupart du temps, des gens au demeurant fort simples. Leurs facultés peuvent se déclencher à l’improviste, par exemple à l’occasion d’un accident de la route dont ils seraient inopinément les témoins et au cours duquel ils se retrouveraient implicitement amenés à devoir porter secours et assistance à une personne en danger ou grièvement blessée. À cet instant précis, ils constateront, à leur grande surprise, qu’ils sont en mesure de soulager leur prochain ; dès lors, ils ne connaitront plus de répit, car ils ne seront désormais plus en mesure de se soustraire aux demandes récurrentes de malades qui leur accorderont incessamment leur confiance renouvelée en sollicitant expressément leur aide. C’est ce qui m’est arrivé à moi-même ainsi qu’à la plupart de mes collègues[30],[trad 7] »
Vocation
modifierDans un livre intitulé « Dépression : à chacun son traitement[trad 8] », Elio et Ivan Blancato rapportent que « Francesco Racanelli était le seul à affirmer combien le guérisseur véritable exerce son atout thérapeutique essentiellement par instinct, mu par un besoin inconscient d'aider son prochain en lui offrant spontanément l'énergie vitale qu'il sent pulser au travers de ses mains[31],[trad 9]. »
Constat
modifierEn juillet 1976, lors du 10e Congrès international de psychothérapie à Paris, Jean-Claude Benoit[33] et l’International Federation for Medical Psychoterapy[15] formulent un constat relayé en décembre 1976 par l’Union médicale du Canada[14] :
« Ajoutons que les écrits émanant des guérisseurs ne nous éclairent pas davantage. Même un homme instruit et fort intelligent comme le guérisseur italien Racanelli, qui fit ses études de médecine pour éviter les poursuites, ne nous apporte dans ses livres que des explications vagues et sans aucune valeur scientifique sur les guérisons effectuées par lui[33]. »
Œuvres
modifierLivres
modifier- (it) Francesco Racanelli, Il dolore e la sua medicina. I consigli di un celebre guaritore medico, Vallecchi, coll. « Il millepiedi, Guide mediche », (réimpr. 1948, 1950, 1955, 1965, 1970), 7e éd. (1re éd. Giannini & Giovannelli: 1939), 218 p. (OCLC 797509088)[28],[3]
- (it) Francesco Racanelli, Terra di nessuno, terra per tutti, F. Le Monnier, , 80 p. (OCLC 122438578)
- (it) Francesco Racanelli, Il dono della guarigione, Vallecchi, (1re éd. 1949), 297 p. (OCLC 633988784)
- (it) Francesco Racanelli, Medicina bioradiante, Vallecchi, , 238 p. (OCLC 14649906)
- (it) Francesco Racanelli, Natura e anime, Vallecchi, , 148 p., Neuf contes 1945–1975 (OCLC 3849053)[3]
- (it) Francesco Racanelli, L’altra medicina, Vallecchi, , 3e éd., 174 p. (OCLC 4777902)[3]
Articles
modifier- (en) Francesco Racanelli, Heterodox therapy : Healers, vol. 1-3 : Rassegna Italiana di Ricerca Psichica, Database: PsycINFO, (réimpr. 2011 American Psychological Association) (présentation en ligne), p. 21-34
- (it) Francesco Racanelli, L’uomo agente terapeutico, , 21 p. (OCLC 800991317)
- (it) Francesco Racanelli, La via dell’amore, , 7 p., article (OCLC 800991412)
Traductions en français
modifier- Francesco Racanelli (trad. Alice Grisel), Le don de guérison [« Il dono della guarigione »], Neuchâtel, Paris, Delachaux & Niestlé, , 200 p. (OCLC 459662763, BNF 32552178, SUDOC 012983349)
- Francesco Racanelli (trad. P. Siron), La souffrance vaincue, Neuchâtel ; Paris ; Bruxelles, Delachaux & Niestlé, , 199 p. (OCLC 81636495)
- Francesco Racanelli (trad. les amis de l’Aquario), L’autre médecine : les radiations humaines [« L’altra medicina : le radiazioni umane »], Neuchâtel ; Paris ; Bruxelles, Delachaux & Niestlé, coll. « Homme et ses problèmes », , 151 p., édition remaniée de l’ouvrage intitulé : Don de guérison. Précédemment paru en italien sous le titre : Medicina bioradiante et en français sous le titre : Don de guérison (OCLC 418403735, BNF 34567280)
- Francesco Racanelli (trad. René Marti), Le problème du mal et la signification de la maladie [« Problema del male e significato della malattia »], Neuchâtel, R. Marti, (OCLC 718631225)
Traduction en allemand
modifier- (de) Francesco Racanelli (trad. Sylvia Naegeli), Gabe des Heilens [« Medicina bioradiante »], München-Planegg, O. W. Barth Verlag, (1re éd. 1951), 159 p. (OCLC 252603925 et 165044195)[34]
Préface
modifierBibliographie
modifierOuvrages utilisés pour la rédaction de l’article
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« Francesco Racanelli : nato a Sannicandro di Bari nel 1904. ... guaritore ... denunciato e condannato per esercizio abusivo della professione medica già laureato in giurisprudenza ... volle prendere la laurea in medicina per poter continuare ad aiutare “legalmente” il prossimo sofferente ... si iscrisse alla facoltà di medicina dell'università di Firenze ... nel 1935 ottenne l'iscrizione all'albo e, da quel momento, poté curare i suoi pazienti in santa pace[trad 10]. »
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Autres ouvrages
modifier- Alain Delapraz, Une rencontre..., Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, , 46 p., poèmes consacrés à la rencontre de l’auteur avec le Dr Francesco Racanelli de Florence ; nombreuses illustrations ; dessin de couverture de André Ramseyer (OCLC 717788851), p. 10
- (it) Luigi Fumia (candidato) et Tullio Seppilli (relatore), Francesco Racanelli : un medico guaritore, UF/LF,
Pour aller plus loin
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Traductions
modifier- (id) « La giustizia penale[7] »
- (it) « In ultima analisi la Corte però ammette, ai lumi della prevalente dottrina in campo medico (non quella ufficiale speriamo!) ... Il Racanelli, medico abilitato e guaritore di fama, sostiene nei suoi libri che il fluido vitale è una energia emanante da persone particolarmente dotate, energia che partecipa della vibrazione fisica, psichica et spirituale del guaritore ... — Sentenza Tribunale Catania in Giurisprudenza Siciliana, 1951, III, 45[7] ... »
- (it) « Francesco Racanelli ... Il pioniere italiano della biopranoterapia: guaritore, divenne medico per difendersi dalle accuse di abuso di professione medica[16]. »
- (it) « Questa sostanza presente in tutto l’universo, è l’energia vitale, chiamata da Gesù Cristo luce, da Ippocrate forza risanatrice della natura, dagli indiani prona, dai cinesi ai, dai giapponesi Jci, dai tibetani lung, da Wihelm Reich argone, da Rudolph Steiner forza plasmatrice eterica, da Freud libido, da Francesco Racanelli energia bioradiante[23]... »
- (it) « Ecco come parla della bioenergia Francesco Racanelli, nel suo libro Medicina bioradiante del 1951 (rieditato poi come L’altra medicina; vedi bibliografia): [...]. Quindi Racanelli distingue fra prana e magnetismo umano: il prana non è generato dal corpo dell’uomo, ma “ivi trasportato dal fluido nervoso, che gli serve da veicolo, secondo un meccanismo simile a quello del sangue rispetto all’ossigeno”[27] ... »
- (it) « ... energia bioradiante ..., io la utilizzo per curare i malati. In altre parole, questa corrente energetico magnetica può diventare medicamento, e come tale agire sul malato in maniera completa, tenendo conto degli indistruttibili legami che ognuno di noi ha con il mondo organico, con quello dei sentimenti, con la comunità di cui siamo membri, col macrocosmo di cui siamo parte, con il Creatore di cui siamo creature. Curare l’uomo integralmente è opera di scienza e di arte; il terapeuta dovrà svuotarsi prima di tutto il suo contenuto umano soggettivo e possessivo. Il suo essere di marito, di padre, di amico, di cittadino, di credente sarà subordinato alla sua personalità di medico. All’inizio del mio lavoro quotidiano, indossando il camice, compio questo processo interiore di sdoppiamento e abolizione della mia personalità emotiva e possessiva, così che la mia vestizione acquista intenzionalmente un valore rituale[29]. »
- (it) « Purtroppo la scoperta delle nostre qualità è sempre stata affidata al caso. I guaritori, quelli onesti, in buona fede e che hanno positive facoltà terapeutiche, sono in genere gente semplice. Le loro facoltà possono essere state rivelate dal caso. Succede un incidente ed essi si sono trovati a portare soccorso a qualcuno ammalato, colto da malore, o ferito per uno scontro automobilistico o altro. Da quel momento, la persona ha scoperto, con sua sorpresa, di poter fare del bene al prossimo, non riuscirà più a sottrarsi ai malati che fiduciosi ricorrono ad essa. È quanto è successo a me, ed è quanto è successo a quasi tutti i miei colleghi[30]. »
- (it) « Depressione : a ciascuno la sua cura[31],[32] »
- (it) « Francesco Racanelli era solito affermare che «il vero guaritore agisce terapeuticamente per istinto», poiche prova «un bisogno inconscio di aiutare il prossimo, offrendo attraverso le mani l'energia vitale che sente pulsare in se[31]. »
- (fr) « Francesco Racanelli est né à Sannicandro dans la région de Bari en 1904 .... guérisseur ... dénoncé et condamné pour exercice illégal de la médecine, il était déjà détenteur d'une licence en droit à l'époque des faits. Cependant, afin de pouvoir continuer à soigner « légalement » ses patients, il entame à l'université de Florence un cursus complet d'études de médecine couronnées en 1935 par l'obtention d'un doctorat, ce qui lui permet dès lors de poursuivre son activité thérapeutique en toute tranquillité et sans souci d'être à nouveau inquiété par les autorités compétentes. »
Notes
modifier- Dans une thèse de doctorat intitulée Architecture, protestantisme et modernité : du sacré et de l’ascèse en particulier[22], Dominique Péneau écrit que « la méthode pédagogique de Rudolf Steiner, reprise par Johannes Itten, s’appuyait sur l’observation de la nature, vécue comme une intériorisation de l’objet observé qui libérait la pensée créatrice ... s’insérant entre notre corps, conçu comme « substance plasmatique labile », et les énergies subtiles des sphères[22]... »
- Le magnétisme animal ou magnétisme humain est aussi désigné par « mesmérisme », en référence à un médecin allemand, le docteur Franz-Anton Mesmer (1734 – 1815), qui postula l’existence d’un fluide magnétique universel dont on pourrait faire un usage thérapeutique.
Références
modifier- ICCU 2007
- Papini 1985, p. 231
- Cherubini 1990, p. 73
- Bollettino di psicologia applicata 1980, p. 109, 159
- D’Ambros 2009, p. 42, 64, 65, 120, 248
- Lamendola 2007
- Escobedo 1954
- Baudouin 1948, p. 58
- Tournier 1983, p. 44
- Tournier 1954, p. 152
- Neue Wissenschaft 1955, p. 287, 233
- International journal of parapsychology 1963, p. 136, 137
- Laguzzi 2013, p. 182
- Union médicale du Canada 1976, p. 1829
- Psychotherapy & Psychosomatics 1978, p. 10
- Fusi 2008, p. 109
- Marcolin 1994, p. 89
- Tournier 1974, p. 14
- Delapraz 1974, p. 10
- Fumia 1972
- Seppilli 1983, p. 125-127
- Péneau 2008, p. 180
- Calabrese et Borghini 2009
- Racanelli 1951
- Racanelli 1973
- Racanelli 1978
- Fusi 2008, p. 40
- Racanelli 1939-1976, p. 145-158
- Campanelli et Alberti 1976, p. 135
- Campanelli et Alberti 1976, p. 151
- Blancato 2004, p. 149
- Tundo
- Benoit 1978, p. 10
- International Journal of Parapsychology 1963, p. 159
Articles connexes
modifierLiens externes
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