Fernande Saint-Martin

journaliste et écrivaine canadienne

Fernande Saint-Martin, née à Montréal le et morte le [1],[2] à Sainte-Agathe-des-Monts, est une écrivaine, journaliste, poétesse, essayiste, professeure, théoricienne de l'art et critique d'art québécoise.

Biographie

modifier

Elle est la fille du Dr Théo Saint-Martin, médecin hygiéniste et la petite-fille d'Albert Saint-Martin (1865-1947), socialiste québécois et notamment fondateur de l'Université ouvrière.

Après 5 ans de concubinage, elle se marie en 1958 avec le peintre Guido Molinari[3] avec qui elle aura une fille, Claire.

Puis dirige le Musée d'art contemporain de Montréal de 1972[4] à 1977[5].

Elle a été présidente de l'Association internationale de sémiotique visuelle de 1992 à 1994.

En 2012, Fernande Saint-Martin est professeure associée au Département d'Histoire de l'art de l'UQAM, où elle a enseigné sur une base régulière jusqu'en 1997.

Poésie

modifier
  • La Fiction du réel : poèmes 1953-1975, Montréal, Éditions de l'Hexagone, 1985
  • Marouflée la langue : dessins et poèmes, Montréal, L'Actuelle, 1998

Catalogues d'expositions

modifier

Honneurs

modifier

Références

modifier
  1. « Avis de décès | Fernande Saint-Martin », sur www.residencefunerairelabreche.com (consulté le )
  2. Jérôme Delgado, « Fernande Saint-Martin, une pionnière, s’est éteinte », Le Devoir,‎ (lire en ligne)
  3. Jérôme Delgado, « Fernande Saint-Martin, une pionnière, s’est éteinte », sur Le Devoir, (consulté le )
  4. « Mme Saint-Martin réorganisera le Musée d'art contemporain », Le Soleil,‎ , p. 73 (lire en ligne)
  5. Paul Laurendeau, « Fernande Saint-Martin », sur www.thecanadianencyclopedia.ca, (consulté le )

Liens externes

modifier