Maison de Salm

famille issue de l'ancienne noblesse lotharingienne puis des comtes de Luxembourg
(Redirigé depuis Famille de Salm)

La maison de Salm, est issue de l'ancienne noblesse lotharingienne puis des comtes de Luxembourg anciennement possessionnés dans l'actuel pays de l'Ardenne belge. Elle est surtout connue par la destinée que connut la branche qui s'implanta dans les Vosges qui sut constituer au fil du temps le territoire d'une principauté dont la capitale fut Badonviller puis Senones.

Maison de Salm
Image illustrative de l’article Maison de Salm
Armes

Branches
-Salm en Vosges (de Salm-Salm et de Salm-Kyrburg)
-Salm en Ardennes (de Salm-Vianden et de Salm-Reifferscheid)
Période depuis le XIe siècle
Pays ou province d’origine Duché de Luxembourg
Allégeance Saint-Empire
Autriche-Hongrie
Drapeau de la Belgique Belgique
Fiefs tenus Salm-Salm

Baronnie de Tournebu

Charges Princes souverains de Salm
Fonctions militaires Maréchaux de Lorraine
Fonctions ecclésiastiques Cardinaux, évêques

Les possessions du nord dans les Ardennes ( Bas-Salm ) sont venues à une lignée de comtes rhénans de Spanheim au XIIe siècle par héritage féminin, tandis que celles du sud dans les Vosges ( Haut-Salm ) sont également venues à une lignée de Rhinegraves par héritage féminin au XVe siècle. Ces familles s'appelaient alors aussi Comtes de Salm et se divisaient à leur tour en sous-lignages, qui furent plus tard élevés au rang de princes, dont certains existent encore aujourd'hui et appartiennent à la haute noblesse.

Les représentants de la dynastie s'illustrèrent notamment en tant que comtes de Trèves, d'Ardenne, palatin de Lorraine (Lotharingie), puis de Salm, roi de Germanie, avoués de l'abbaye Saint-Pierre de Senones, comtes de Salm en Vosge(s), gouverneurs de Nancy, maréchaux de Lorraine et du Barrois, princes du Saint Empire, princes souverains de Salm-Salm.

Les premiers comtes de Salm

modifier

Origine de la famille

modifier

L'ancêtre était Wigéric de Bidgau, comte palatin de Lorraine († avant 919). Son fils présumé Sigefroid de Luxembourg († 998) figure en tête de la Maison d'Ardenne. Son petit-fils Giselbert (ou Gislebert, † 1056/59), fils cadet de Frédéric, portait le titre de comte de Salm en 1036 et de comte de Luxembourg en 1047. Il partagea la propriété entre ses fils Conrad Ier de Luxembourg et Hermann de Salm († 1088), ce dernier étant non seulement l'ancêtre de la maison de Salm, mais aussi l'anti-roi d'Henri IV.

Le petit-fils d'Hermann, Henri Ier, divisa à nouveau le comté en 1163 : son fils Henri II reçut les régions des Vosges (le soi-disant comté de Haut-Salm, en allemand : Obersalm), la fille Elisabeth et son gendre le comte Frédéric II de Vianden les régions dans les Ardennes (désormais Bas-Salm ou Niedersalm). À partir de ce moment, il y avait deux comtés de Salm avec des lignes de développement différentes dans le Saint-Empire romain.

Les armes des comtes étaient un écu de gueules à deux saumons adossés d’argent accompagnés de 7 croisettes d’or[1]. Le mot pour saumon est « Salm » en allemand, du latin salmo.

Les comtes de Salm font partie du groupe héraldique des dix lignages issus de Thierry Ier de Bar (v. 1045-1103) qui ont deux poissons adossés dans leurs armes au XIIIe siècle[2].

Hermann Ier

modifier

Le comté ardennais de Salm n'avait guère d'importance stratégique bien qu'on y exploitait quelques gisements de cuivre et que l'on procédait depuis l'Antiquité à l'extraction de l'or natif ; mais Hermann et ses descendants vont s'appuyer sur les deux puissances de l'époque pour assurer leur ascension : l'Église et le Saint Empire.

Hermann acquit le comté de Rheineck (ou Rhineck) par mariage avec Sophia, comtesse de Rheineck.

Il était aussi le neveu de l'évêque de Metz Adalbéron III (1047-1072). Vers 1080, l'évêque Hermann de Metz investit Hermann Ier de la charge d'avoué épiscopal.

Hermann parvint en 1080 à se faire élire « anti-roi de Germanie », profitant des difficultés du roi précédemment élu, l'empereur Henri IV.

Pourtant, après un temps d'exil et malgré quelques victoires militaires, Hermann abandonna ses prétentions à la royauté, et mourut en 1088[3].

De nouvelles perspectives

modifier

Le comte Hermann II, fils de Hermann Ier, épousa Agnès de Langenstein, comtesse de Langenstein (Longue Pierre, dans les Vosges), jetant les bases de la branche vosgienne des Salm.

Son frère Othon (ou Otto) reçut le comté de Rheineck. Il épousa Gertrude de Nordheim, sœur de Richenza, avec qui il eut Sophie de Rheineck ; il était beau-frère du roi des Romains Lothaire de Supplinbourg qui devint ensuite empereur. Othon fut alors élevé à la dignité de comte palatin.

Les deux branches de Salm

modifier
 
Christine de Salm, duchesse de Lorraine et femme du duc de Lorraine.

Le petit-fils de Hermann II, le comte Henri II, né au château de Pierre-Percée, choisit de vivre dans le nouveau comté de Salm qu'il créa à la fin du XIIe siècle sur les terres vosgiennes, Salm en Vosge(s) ; il abandonna alors le comté de Salm en Ardenne à sa sœur Élise ou Élisabeth.

- Devenue comtesse, Élise épousa Frédéric comte de Vianden, créant la nouvelle branche ardennaise (et luxembourgeoise) des Salm-Vianden, puis Salm-Reifferscheid, laquelle s'intitula Altgraf zu Salm (« comte ancien, ou originel, de Salm »)[4]. Elle reçut la dignité princière aux XVIIIe siècle et XIXe siècle.

- Les descendants de Henri II, intitulés également comtes de Salm et gouvernant le comté de Salm en Vosges, créèrent au Moyen Âge la lignée des sires puis comtes de Blâmont. Ils se fondirent ensuite dans les lignées des Wildgraves et Rhingraves (1499, princes de Salm à partir de 1623, élevés au rang de prince du Saint-Empire, « Fürst »), et des ducs de Lorraine (1600).

À partir de 1739, à la suite d'une alliance, les princes de Salm (-en-Vosges) s'intitulèrent princes de Salm-Salm, puis ils obtinrent en 1751 la redéfinition de leur territoire.

Branches des Salm en Allemagne

modifier
 
Le château d'Anholt

La Révolution française contraignit les princes de Salm-Salm à l'exil, dans leur château d'Anholt en Westphalie (Allemagne), où leurs descendants résident toujours.

D'autres branches de Salm, presque toutes princières, s'étaient déjà créées dans l'Empire au fil des siècles, issues de l'une ou l'autre branche de Salm (en Ardenne ou en Vosges). Le prince Frédéric III de Salm-Kyrbourg fit construire l'hôtel de Salm à Paris, actuel palais de la Légion d'honneur. Il mourut sur l'échafaud pendant la terreur révolutionnaire.

Au XIXe siècle, tous ces princes de Salm, auparavant souverains, furent médiatisés : ils perdaient l'indépendance de leurs États. Les princes des différentes lignées autrefois indépendantes ont conservé leur statut, leur égalité avec les maisons souveraines restantes et certains droits politiques spéciaux en leur qualité de « Standesherren » (« seigneurs de rang »), créés par l' Acte confédéral allemand.

En 1830, l'un des princes de la Maison de Salm se présenta sans succès au congrès national qui devait choisir un roi au nouveau royaume de Belgique[5].

Arbre dynastique

modifier

Cet arbre présente schématiquement les différentes branches de la famille de Salm.


 Luxembourg (Frédéric de Luxembourg)
│
├─> Salm, puis (1047) Luxembourg (Giselbert)
│   │
│   ├─> (1059)
│   │   Luxembourg (Conrad Ier)
│   │
│   └─> (1047)
│       Maison de Salm :
│       Hermann Ier († 1088), 1047-1088
│       │
│       ├──────────────────────────────────────────┐
│       │                                          │
│       Hermann II (1111-1135?)                    Othon († 1150), comte de Rheineck, de Bentheim,
│       │                                          comte palatin du Rhin, sans postérité mâle
│       Henri Ier (1135-1170), 1133-1170
│       │
│       avant 1200, partage des possessions ardennaises et vosgiennes entre Henri II et Élise sa sœur ;chacune des deux branches porte le titre de comte de Salm[6]
│       │
│       ├─> comté de Salm en Ardenne :
│       │   Élise ou Élisabeth, comtesse de Salm
│       │   x Frédéric, comte de Vianden
│       │   │
│       │   └─> (avant 1200)
│       │       Salm-Vianden, éteinte en 1416
│       │       │
│       │       └─> (1416 par testament et transmission familiale)
│       │           Salm-Reifferscheid (Jean V, comte de Reifferscheid : cf.[7] et château de Reifferscheid (de))
│       │           │
│       │           ├─> (1639)
│       │           │   Salm-Reifferscheid
│       │           │   │
│       │           │   ├─> (1734)
│       │           │   │   Salm-Reifferscheid-Bedbourg, devient (1803) Salm-Reifferscheid-Krautheim, 
│       │           │   │   princes d'Empire (1804)
│       │           │   │
│       │           │   ├─> (1734)
│       │           │   │   Salm-Reifferscheid-Hainspach,
│       │           │   │
│       │           │   └─> (1734)
│       │           │       Salm-Reifferscheid-Raitz
│       │           │       (laquelle conserva le comté de Salm en Ardenne), princes d'Empire (1796)
│       │           │
│       │           └─> (1639)
│       │               Salm-Reifferscheid-Dyck, princes (1816)
│       │
│       └─> comté de Salm en Vosges :
│           Henri II († v. 1200), comte de Salm v. 1170-1200?
│           │
│           ├──────────────────────────────────────────┐
│           │                                          │
│           Henri III († 1246), v. 1200-1246           Frédéric Henri († avant 1246), sire de Blâmont,
│           │                                          sans postérité
│           │
│           ├──────────────────────────────────────────┐
│           │                                          │
│           (Henri de Viviers)                         sires puis comtes de Blâmont
│           │                                          (Frédéric, † avant 1258, sire de Blâmont)
│           │                                          éteinte en 1503
│           │
│           Henri IV († v.1292), 1245-1292, comte de Blieskastel (1275-1284)
│           │
│           Jean Ier (v. 1260-1330?), 1292-1330
│           │
│           ├──────────────────────────────────────────┐
│           │                                          │
│           Simon Ier († 1346), 1332-1346?             (Nicolas, † 1343), 1336-1343, seigneur de Puttelange (1337)
│           │                                          │
│           Jean II (v. 1330-?), 1347-?, │
│           comte de Chiny (1358-65)                   │
│           │                                          Jean III, d'abord seigneur de Puttelange et Viviers (1352), ?
│           Simon II († 1397), ?-1397
│           │
│           Simon III († 1459), 1397-1459
│           │
│           ├─> Jacques († 1475), 1459-1475
│           │
│           à la mort du comte Jacques, sa sœur Jeannette et son frère Jean décident de se partager le pouvoir ;le comté reste indivis, les deux branches prennent chacune le titre de comte de Salm.
│           │
│           ├─> Jeannette de Salm
│           │   x Jean V, Wildgrave de Dhaun (de) et Kyrburg (de), Rhingrave de Stein : Rocher des Rhingraves (de)[8],
│           │   │
│           │   └─> (1475)
│           │       Wild- et Rhingraves, comtes de Salm[9] :
│           │       Jean V, Wild- et Rhingrave, comte de Salm
│           │       │
│           │       Jean VI († 1561)
│           │       X Jeanne de Moers-Sarrewerden
│           │       par ce mariage, les Rhingraves acquièrent un quart des droits sur la baronnie de Fénétrange,
│           │       ainsi que la seigneurie de Diemeringen
│           │       │
│           │       ├─> Dhaun, possédant Salm, Dhaun et Stein :
│           │       │   Philippe, Wildgrave de Dhaun, Rhingrave de Stein, comte de Salm
│           │       │   │
│           │       │   ├─> (1561)
│           │       │   │   Salm et Neuviller :
│           │       │   │   Frédéric, comte de Salm et Neuviller
│           │       │   │   │
│           │       │   │   ├─> (1610)
│           │       │   │   │   Salm puis Princes de Salm (1623) :
│           │       │   │   │   1610-1634: Philippe Othon (1575-1634), prince de l'Empire en 1623
│           │       │   │   │   1634-1636: Louis (1618-1636),
│           │       │   │   │   1636-1663: Léopold Philippe Charles (1620-1663),
│           │       │   │   │              admis au banc des princes à la Diète d'Empire (1654),
│           │       │   │   │   1663-1710: Charles Théodore Othon (1645-1710),
│           │       │   │   │              obtint l'immédiateté impériale (1668),
│           │       │   │   │   1710-1738: Louis-Othon (1674-1738), sans descendance mâle ; sa fille Dorothée, assure la succession par son mariage avec Nicolas-Léopold (rameau de Neuviller-Hoogstraten ci-dessous)
│           │       │   │   │   
│           │       │   │   │
│           │       │   │   └─> (1610)
│           │       │   │       Neuviller (Frédéric-Magnus)
│           │       │   │       │
│           │       │   │       ├─> (1676)
│           │       │   │       │   Hoogstraten (Guillaume Florentin, baron de Hoogstraten),
│           │       │   │       │   puis princes de Salm puis de Salm-Salm (1739) et ducs de Hoogstraten :
│           │       │   │       │   1739-1770: Nicolas-Léopold (1701-1770) x 1719 Dorothée de Salm ci-dessus
│           │       │   │       │   1770-1778: Louis Charles Othon (1721-1778)
│           │       │   │       │   1778-1793[10]: Constantin Alexandre (1762-1828),
│           │       │   │       │   puis installation à Anholt (1790)
│           │       │   │       │
│           │       │   │       └─> (1676)
│           │       │   │           Loes ou Lentz (Henri Gabriel),
│           │       │   │           devient de Salm-Kyrburg (1738), princes de l'Empire (1742), éteinte en 1905
│           │       │   │
│           │       │   ├─> (1561)
│           │       │   │   Dhaun (Adolphe Henri, Wildgrave), éteinte en 1750
│           │       │   │
│           │       │   └─> (1561)
│           │       │       Grumbach :
│           │       │       Jean Christophe, Rhingrave de Stein, « comte de Salm » et Grumbach
│           │       │       │
│           │       │       ├─> (?)
│           │       │       │   Grumbach ; reprend Stein en 1793 ;
│           │       │       │   devient Salm-Horstmar (v. 1803), princes (1817)
│           │       │       │
│           │       │       └─> (?)
│           │       │           Rhingraves de Stein, éteinte en 1793, succession par Grumbach ci-dessus
│           │       │
│           │       └→ Kirbourg (Jean VII, Wildgrave), recevant Kyrburg, Morhange, Puttelange et Diemeringen,
│           │           éteinte en 1688
│           │           
│           │
│           └─> (1475)
│               Jean V, comte de Salm
│               │
│               ├─> Jean VI
│               │   │
│               │   Jean VII
│               │   │
│               │   ├─> Jean VIII, sans descendance
│               │   │   succession par sa nièce Christine de Salm et les ducs de Lorraine ci-dessous
│               │   │
│               │   └─> (Paul)
│               │       │
│               │       └─> Christine ou Chrétienne de Salm, héritière de Jean VIII
│               │           x François de Lorraine, comte de Vaudémont, puis duc de Lorraine
│               │           │
│               │           (1600[11])
│               │           Ducs de Lorraine, comtes de Salm
│               │
│               └─> Salm et Neubourg (Nicolas Ier, "comte de Salm", comte de Neubourg[12]),
│                   éteinte en 1784
│
└─> Frédéric, duc de Basse-Lotharingie
    d'où Limbourg puis Reifferscheid, voir Salm-Reifferscheid (1416) ci-dessus

Notes et références

modifier
  1. Cf L'Héraldique du Château, et Thomas Moule, Heraldry of fish: notices of the principal families bearing fish in their arms (consultable sur Google Books).
  2. Michel Pastoureau, « Géographie héraldique des pays lotharingiens ; l'influence des armes de la maison de Bar », dans Principautés et territoires et études d'histoire lorraine : Actes du 103e congrès national des sociétés savantes, Nancy-Metz 1978. Section philologie et histoire jusqu'en 1610, Paris, Comité des travaux historiques et scientifiques, Bibliothèque nationale, , 350 p. (ISBN 2-7177-1491-X), p. 335-347.
  3. Sur ses terres de Salm selon certains (Henri IV du Saint-Empire, Le temps des anti-rois), à Kochem sur la Moselle allemande selon d'autres (Château de Salm).
  4. Jean V comte de Reifferscheid, héritier en 1416 de Henri VII de Salm-Vianden, descendait en ligne masculine, comme la toute première branche de Salm, de la Maison de Luxembourg, par Frédéric de Luxembourg (965-1019).
  5. Annales de l'Académie d'archéologie de Belgique, vol. 9, (lire en ligne), p. 146 . Voir aussi le texte intégral de la séance plénière du Congrès du 23 février 1831.
  6. Voir Les premiers comtes de Salm : De nouvelles perspectives.
  7. Ou Reifferscheidt. Voir maison de Reifferscheid (de)
  8. Le Rhingraviat de Stein est également appelé comté de Rhingrafenstein, du nom du château des Rhingraves.
  9. Tous les comtes descendant des Wild- et Rhingraves ont porté le titre et les armes des Wildgraves de Dhaun et Kirbourg, Rhingraves de Stein, comtes de Salm, quelles que soient leurs possessions propres.
  10. La principauté est rattachée à la France en 1793.
  11. Le partage des droits sur le comté, décidé en 1598 entre les deux branches aînée et cadette, devint effectif à la mort du comte Jean VIII, oncle de Christine, en 1600.
  12. Nicolas († 1529), neveu de Jeannette, devint comte de Salm et Neubourg (Nicolas Ier) après avoir acquis la seigneurie de Neubourg (Neubourg-sur-l'Inn en Bavière, alors dans l'archiduché d'Autriche). Voir par exemple Château de Neuburg am Inn (de), comté de Neubourg (de). Malgré son titre, ni lui ni sa branche ne possédèrent Salm.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Voir Principauté de Salm-Salm, Bibliographie
  • Diderot, D'Alembert et al., Encyclopédie méthodique : ou par ordre de matières, vol. 4, Panckoucke, (lire en ligne), Rhingraves et Wildgraves, « Economie politique et diplomatique », p. 59 passim.
  • Frédéric Schoel, Maximilien Samson, Franz Xaver Zach, Cours d'histoire des États européens : depuis le bouleversement de l'Empire romain d'Occident jusqu'en 1789, Paris, Gide Fils, 1830-1834 (lire en ligne), t. 43, Ch. XXV "Maisons de Salm".
  • Généalogie de la maison de Salm (de)
  • Michel Parisse, « Les comtes de Salm et l’évêché de Metz, XIe – XIIe siècles », in Histoire des terres de Salm, Société Philomatique Vosgienne, Saint Dié-des-Vosges, 1994.
  • Jules Vannérus, « Les comtes de Salm-en-Ardenne (1029-1415) », Annales de l'Institut archéologique du Luxembourg, Arlon, t. 50, 1919, p. 1-112 ; t. 52, 1921, p. 55-222. — Tirés à part : 112 + 170 p., avec 2 pl. de sceaux.
  • Georges Poull, Gérard Fischer et Marie-Thérèse Fischer, « Salm (famille de) », dans Albert Ronsin (dir.), Les Vosgiens célèbres : dictionnaire biographique illustré, Vagney, Gérard Louis, (ISBN 2-907016-09-1), p. 328-330.

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier