Doyet

commune française du département de l'Allier

Doyet est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Doyet
Doyet
Le château de la Souche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté de communes Commentry Montmarault Néris Communauté
Maire
Mandat
Christiane Touzeau
2020-2026
Code postal 03170
Code commune 03104
Démographie
Gentilé Doyetois[1]
Population
municipale
1 149 hab. (2021 en évolution de −4,49 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 20′ 10″ nord, 2° 47′ 53″ est
Altitude Min. 254 m
Max. 386 m
Superficie 27,58 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montluçon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Commentry
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Doyet
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Doyet
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Doyet
Liens
Site web doyet.fr

Ses habitants sont appelés les Doyetois et les Doyetoises[1].

Géographie

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Localisation

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Doyet est située au sud-ouest du département de l'Allier, à 14,8 km à l'est de Montluçon[2] et à 48,5 km au sud-ouest de la préfecture Moulins[3] à vol d'oiseau.

Sept communes sont limitrophes[4] :

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par la route départementale 2371, ancienne route nationale 145 puis route nationale 371 reliant Montluçon, à l'ouest, à Bézenet et Montmarault, à l'est.

L'autoroute A71 passe sur le territoire de la commune. Une aire de service y est implantée, l'aire de Saulzet, du nom du bois à proximité.

Le territoire communal est également desservi par les routes départementales 38, reliant Doyet à Villefranche-d'Allier ; 69, vers Commentry ; 156, vers Montvicq ; et 456, vers Saint-Angel[4].

 
dolmen de la cabane du Loup

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 782 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Durdat-Larequille à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 879,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Doyet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montluçon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), forêts (7,9 %), terres arables (4,2 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

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Dolhet en bourbonnais du Croissant. La commune fait partie, en effet, du Croissant, zone de transition entre occitan et langue d'oïl[16].

Histoire

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Le dolmen de la Cabane du Loup atteste la présence humaine dans cette région à la période néolithique[17].

De même, des tuiles gallo-romaines et des tessons de poterie, mis au jour dans les champs de la commune, démontrent la présence d’habitations aux premiers siècles de notre ère.

Le premier texte officiel connu faisant mention de Doyet sous la forme Doyaco remonte au XIe siècle, probablement entre 1084 et 1093, sur « un parchemin scellé de deux sceaux en cire jaune ». Une copie de ce parchemin, faite le pour le chapitre de Saint-Ursin de Bourges et déposée comme justificatif parmi les pièces d’un procès intitulé « Doyet : procès pour la possession de la cure »[18] en a été retrouvée. Sur ce parchemin, rédigé en latin, Richard II, archevêque de Bourges, donne au chapitre de Saint-Ursin l’ecclesia de Doyaco, c’est-à-dire l’église de Doyet, don renouvelé en 1095 sur un autre parchemin, et qui incluait également les paroisses voisines de Neuville, Tortezais, Saint-Priest, Jonzais et Deneuille.

L’origine du nom Doyaco, qui s’est plus tard écrit Douyet, reste incertaine : il pourrait s’agir du nom d’un gallo-romain (Doïus), d'un toponyme évoquant des lieux humides ou bien encore d'une évolution de villa de Olii, du nom de la rivière l’Œil qui borne la commune sur sa partie ouest, devenant villa d’Oliaco puis Doyaco, Doyat et finalement Doyet.

Au Moyen Âge, Doyet compte de nombreuses seigneuries dont la notoriété des familles y résidant l’inscrit dans l’histoire :

  • le château de la Chassignole, situé discrètement à l’intérieur d’un parc enclos dans le bourg à proximité de l’église, existe déjà au XVIe siècle, quand il est apporté en dot par Françoise d’Hérisson à son époux Louis de Courtais vers 1575. Ce château, très apprécié à la belle saison par les de Courtais, était délaissé l’hiver pour leur maison de Montluçon, l’hôtel de Courtais rue Notre-Dame, devenu aujourd’hui le musée des Musiques Populaires de Montluçon ;
 
Château de la Chassignole.
  • le donjon de la Souche, classé monument historique (XIIIeXVe siècles), érigé à flanc de coteau à l'est de la commune, reste le seul vestige du château fort d’origine. La maison de la Souche, très ancienne était considérée comme l’une des trente-deux plus mémorables du duché du Bourbonnais[19]. La dernière de la Souche à y habiter est Ysabel de La Souche (1604-1667). Son mariage en 1620 avec le chevalier Gilbert de Courtais (1578-1645) fait se réunir en une seule propriété les domaines de la Souche et ceux de la Chassignole[19] ;
 
Château de Bord.
  • le château fort de Bord, bâti sur un plateau à l’ouest de la commune, s’est également appelé Bord-Peschin à la suite de l’alliance entre la famille du Bertrand, premier seigneur des lieux et la maison du Peschin, en la châtellenie de Moulins[20]. Alors qu'il menaçait ruine, il a été restauré à partir de 1978, ainsi que la chapelle qui avait été édifiée à l’extérieur des murs de l’enceinte du château ;
 
Château d'Ancinay.
  • le château d’Ancinay, au sud-ouest de la commune, proche de celle de Malicorne, est cité comme fief de plusieurs seigneurs : Raophet vers 1300, Philippe vers 1343, Pierre vers 1375, Jean vers 1399. Il en est fait mention en 1569 par Nicolas de Nicolaï dans la description du Bourbonnais[21]. Peu à peu délaissé par ses seigneurs, le bâtiment actuel (probablement reconstruit sur les ruines du château originel) a été successivement occupé par des fermiers exploitant la propriété d’Ancinay puis vendu en 1963 au pépiniériste Georges Delbard qui l’a restauré avec soin.
  • Une autre seigneurie est parfois évoquée, celles des Chièzes, ou des Chaises, ou du Chezaud. D'autres fiefs encore existaient : la Ville, les Cloux[22], mais il n'en reste essentiellement que les noms des lieux-dits où elles se situaient.

On trouve également la trace de deux mottes, une au lieu-dit « le Soudan » et une autre aux Barres.

À la Révolution, Doyet est érigé en chef-lieu de canton du district de Montmarault et le restera jusqu’en l’an IX[23].

L’ère industrielle voit le développement de l’extraction de la houille à Doyet sur un site déjà exploité depuis des temps reculés, initialement à ciel ouvert grâce à un gisement à fleur de surface. La mine, concédée à Amable de Courtais par ordonnance royale du , est ensuite vendue à la compagnie « Châtillon-Commentry » et atteint son apogée entre 1859 et 1882, employant de 700 à 800 ouvriers et produisant jusqu’à 120 000 tonnes de charbon par an[24]. La construction d’une ligne de chemin de fer en 1859 permet son transport jusqu’aux villes de Commentry, Montluçon, Vierzon, Tronçais pour alimenter les forges de la compagnie[25]. L’accroissement de la population qui découle de cette forte activité fait aussi exploser les effectifs scolaires. L’école de garçons construite en 1865 se révèle rapidement top petite : un rapport de l’Inspecteur d’Académie venu visiter les lieux en 1875 décrit « 159 élèves entassés dans une classe de 60 mètres carrés et sous la direction d’un seul maître[26] ». Cette exiguïté va s'aggravant, d’autant qu’un cours complémentaire est créé. Le conseil municipal décide alors en 1887 la construction d’une nouvelle école de garçons « bien installée, pouvant servir pour cours primaire et cours supérieur » sur un terrain attenant à l’école existante, donné par la famille de Courtais[27] L’école est inaugurée en . Un bâtiment dédié à l'éducation des filles est également construit, sur un emplacement donné par la veuve du général de Courtais, et dont la réception finale a lieu en 1881[28].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1770 1783 Mathonat (syndic)    
1783 1787 Merlin (syndic)    
1787 1790 Déchery (consul)    
1790 1793 Déchery (maire)    
1793 An VIII Jardoux    
An VIII An IX Merlin    
An IX 1806 Brunat    
1806 1808 Gomichon    
1808 1812 Gilbert Aucopt    
1812 1821 Charles Lebel de Bellechassaigne    
1821 1826 Antoine Musset    
1826 1830 Gilbert Aucopt    
1830 1848 Henri de Courtais   général
1848 1852 Pierre Paturet    
1852 1857 Philippe Panien    
1857 1865 Gilbert Michard    
1865 1870 Henri Bravard    
1870 1871 Henri de Courtais    
1871 1876 Henri Bravard    
1876 1878 Henri de Courtais    
1878 1881 Thomas Michard    
1881 1884 Claude Fondard    
1884 1900 Vital Peron    
1900 1909 Antoine Mounin    
1909 1914 Pierre Raphaël    
1914 1919 Hippolyte Bourseau    
1919 1935 Gilbert Charlet    
1935 1971 Armand Deschery   mineur
mars 1971 mars 1989 Robert Guillemard   boucher charcutier
mars 1989 mars 1991 André Charvillat   électricien
mars 1991 mars 2008 Jean Tabarant    
mars 2008 mars 2014 Jean-Marc Jeuge    
[Note 2] En cours
(au )
Christiane Touzeau[30] SE-DVD Retraitée
Conseillère départementale du canton de Commentry

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 1 149 habitants[Note 3], en évolution de −4,49 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7116257038238628879791 3181 375
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1722 1622 7302 9413 2703 4443 3233 4253 524
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3203 1522 3601 7861 6761 5511 5031 4551 461
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 4261 4041 2781 1911 2031 1641 2211 2241 237
2017 2021 - - - - - - -
1 1831 149-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Doyet dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école élémentaire publique Lamartine[35].

Le collège Ferdinand-Dubreuil est implanté sur la commune[35]. Il est à ce jour le dernier collège communal de France[réf. nécessaire].

Économie

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La fabrication de tuiles est une activité importante à Doyet au moins depuis le milieu du XIXe siècle. Doyet a donné son nom à une tuile plate traditionnelle en Bourbonnais. Aujourd'hui la Française des tuiles et briques continue cette tradition en produisant des tuiles plates principalement destinées à l'entretien du patrimoine. Elle emploie une trentaine de personnes. Elle est entrée en 2010 dans le groupe Imerys à travers Imerys Toiture ; fin 2018, Imerys Toiture est sorti du groupe Imerys et a pris le nom d'Edilians.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Pierre, néo-romane, construite entre 1875 et 1879 et affectée au culte le .
  • La statue du général de Courtais, député de l'Allier (1842-1849), autrefois sur la place du village, placée aujourd'hui auprès du mausolée où repose le général, dans l'enceinte de l'ancien cimetière.
  • Le pont et moulin de Bord.
  • Les étangs de la Gare, de la Planche, du Prériant, de Saulzet, de la Ville.
  • Le château de la Souche, édifié entre les XIIIe et XVe siècles[36]. Le château, cité en 1359, se compose d'un donjon rectangulaire flanqué d'une tourelle carrée d'escalier débordant en guette interrompant un couronnement sur mâchicoulis[37].
  • Le château d'Ancinet (ou d'Ancinay), à trois kilomètres au sud-ouest du bourg, au-dessus de la vallée de l'Œil. Le château, qui a beaucoup souffert après la Révolution, a été restauré depuis son achat en 1963 par le pépiniériste Georges Delbard. Il comporte un logis principal, flanqué de deux tours d'angle rondes ; une tour d'escalier est accolée à la façade méridionale[36].
  • Le château de Bord, édifié entre les XIIIe et XIVe siècles à trois kilomètres à l'ouest du bourg. Entouré de douves en eau, il comporte un corps de logis sur trois niveaux avec salle des gardes voutée en rez-de-chaussée et cheminée médiévale, ainsi que des cheminées monumentales au premier étage. Une tour se dresse au-dessus du pont-levis et la tour principale comporte des salles aux plafonds en ogives cintrées, décorées de fresques murales. Four à pain.
  • Le château de La Chassignolle.
  • Gare de Doyet-La Presle (gare fermée).

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Le Patrimoine des communes de l'Allier, Flohic, .
  • Maillat, Géographie-histoire de Doyet, Montvicq, Bézenet et Villefranche, .
  • A.-C. Maillat, Géographie, Histoire de Doyet, Montvicq, Bézenet, Villefranche (Allier), Marseille, Laffitte Reprints, , 404 p. (ISBN 2-7348-0035-7)  
  • Huguette Butrus, Odile Berthelot et Michel Augot, Bézenet, Dyey, Montvicq, Charroux, Éditions des Cahiers bourbonnais, 2002.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Réélue en [29].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a et b « Doyet (03170) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre "Doyet" et "Montluçon" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (site personnel de Lionel Delvarre) (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre "Doyet" et "Moulins" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (site personnel de Lionel Delvarre) (consulté le ).
  4. a et b Géoportail (consulté le 19 août 2018).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Doyet et Durdat-Larequille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Durdat-Larequille », sur la commune de Durdat-Larequille - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Durdat-Larequille », sur la commune de Durdat-Larequille - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montluçon », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  17. Le Patrimoine des communes de l'Allier, Paris, Flohic, , 1143 p. (ISBN 2-84234-053-1)
    Canton de Montmarault, p. 808.
  18. Monicat et Defournoux, Chartes du Bourbonnais (918-1522), Crépin-Leblond, , p. 16 et 20.
  19. a et b Maillat 1982, p. 178-179.
  20. Maillat 1982, p. 190.
  21. Maillat 1982, p. 196.
  22. Maillat 1982, p. 197-200.
  23. Georges Rougeron, La formation du département de l'Allier, Montluçon, Imprimerie nouvelle Montluçon, , 39 p., p. 27.
  24. Maillat 1982, p. 14-15.
  25. Maillat 1982, p. 18.
  26. Maillat 1982, p. 34.
  27. Maillat 1982, p. 41.
  28. Maillat 1982, p. 50.
  29. « Christiane Touzeau en route pour un deuxième mandat à Doyet (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
  30. Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 7 juin 2014).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a et b « Annuaire : Résultats de recherche », sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  36. a et b René Germain (dir.), Dominique Laurent, Maurice Piboule, Annie Regond et Michel Thévenet, Châteaux, fiefs, mottes, maisons fortes et manoirs en Bourbonnais, Éd. de Borée, , 684 p. (ISBN 2-84494-199-0), p. 442-446.
  37. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 46 (cf. Doyet).