Discussion:Publications antisémites en France

Dernier commentaire : il y a 2 ans par Rigmarole and paraphernalia dans le sujet Giraudoux antisémite et raciste
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Comment peut-on mettre Silbermann dans la liste des ouvrages antisémites ? C'est tout le contraire... Olivier.juin 9 novembre 2006 à 14:24 (CET)Répondre

L'antisémitisme de plume

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J'ai rajouté cette référence bibliographique. Se référer au sommaire et à l'index des noms de personnes. Cette étude porte sur la période 1940-1944. Elle étudie les interventions de Louis-Ferdinand Céline, Lucien Rebatet, Henri Labroue (1880-1964), Georges Mauco (1899-1988), Armand Bernardini, Jean Boissel, Bouvreau, Robert Brasillach, Paul Chack, Pierre Clémenti, Pierre Costantini (Parti populaire français - PPF), Henry Coston, Marcel Déat, Jacques Ploncard, Robert-Julien Courtine, Pierre-Antoine Cousteau, Darquier de Pellepoix, Jean Drault, Urbain Gohier, René Martial (1873-19..), Georges Montandon, Georges Oltramare, Lucien Pemjean, Henri-Robert Petit, Paul Riche, Sezille.--Antivolt 13 mars 2007 à 15:36 (CET)Répondre

Suppression d'un ouvrage inexistant

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"Léon de Poncins, Les Protocoles des sages de Sion, Grasset, 1921. Traduction et introduction de Roger Lambelin."

J'ai supprimé ce titre car il ne semble pas exister. 0 référence sur Google. Et pourtant toutes les oeuvres principales de Poncins y sont référencées. Il est très étrange que seul Wikipedia France évoque ce livre. Cordialement.19 septembre 2007 à 00:26 (CEST)

Article incomplet

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Rien sur les publications antisémites après 1945 ? Galufa 28 octobre 2007 à 07:25 (CET)Répondre

A vérifier

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Est-on certain que le député Georges Bonnet est bien l'auteur du "Juif ou l'internationale du parasitisme" ? Il y a peut-être une confusion avec un homonyme, auquel cas le lien induit en erreur. Utilisateur:Invité 7 août 2011 à 16:43 (CET)Répondre

C'est effectivement "Georges Saint-Bonnet" ! Merci !
Je rectifie.
--D.N. (d) 7 août 2011 à 17:02 (CEST)Répondre
PS : En fait, c'était bien placé dans l'ordre alphabétique à "S" : donc, quelqu'un a "rectifié" de manière erronée.

"Concernant Georges Saint Bonnet et afin d'actualiser votre article, il serait intéressant que vous consultiez la page Wikipédia de l'auteur en question, ainsi que celle discussion, où vous trouverez de larges extraits de son ouvrage jugé antisémite ainsi que de nombreuses mises à jour qui démentent le caractère antisémite de cet auteur.

Cordialement."--Témoin33 (discuter) 10 février 2014 à 19:07 (CET)Répondre

http://fr.wiki.x.io/wiki/Georges_Saint-Bonnet

http://fr.wiki.x.io/wiki/Discussion:Georges_Saint-Bonnet

L'auteur est déjà dans la liste. J'ai ajouté des ouvrages publiés après 1945. Nul doute qu'il va falloir sourcer. --Spiessens (discuter) 10 février 2014 à 23:24 (CET)Répondre
Après consultation du dit livre, j'ai retiré celui-ci de la liste. Sans commentaire. --Spiessens (discuter) 16 février 2014 à 11:42 (CET)Répondre

Compléments

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Après avoir corrigé les homonymies, j'ai complété la bibliographie (qui reste trop franco-française à mon humble avis) et aussi créé une partie "notes" (beaucoup de choses restent ici à sourcer). Par ailleurs, j'ai cru utile d'indiquer des renvois sur des articles plus détaillés et aussi de mettre en ligne une liste, encore une, celle des écrivains et éditeurs condamnés en 1944-45 pour faits de collaboration avérés durant l'Occupation. Quant aux publications antisémites post-1945, je n'ai aucune source à ma disposition (pour le moment). --Spiessens (d) 19 juillet 2012 à 23:46 (CEST)Répondre

Introduction

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Ne pourrait-on pas fusionner la dernière phrase "Sont uniquement répertoriés ici les écrits de nature polémique produits par des auteurs francophones, qu'ils soient écrivains ou journalistes, et publiés en France", qui est en partie redondante avec la première, après avoir déterminé quelle est la formulation adéquate : "imprimé" ou "publié" en France ? --Cyberic71 (discuter) 19 décembre 2014 à 11:23 (CET)Répondre

C'est ce que je me demande Cyberic71, vous avez raison de le notifier... Merci ! --Spiessens (discuter) 19 décembre 2014 à 15:41 (CET)Répondre

Neutralité : À corriger d'urgence: ... il faudrait ajouter la quasi-totalité de la presse régionale de l'époque : mais ici les auteurs ne présentent que la presse bretonne!

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Neutralité - À ces publications, il faudrait ajouter la quasi-totalité de la presse régionale de l'époque, entièrement d'accord avec ce constat et cette formulation. Mais les auteurs de cet article ne présentent que la presse bretonne, de plus avec un paragraphe et un gros titre. Tout lecteur breton peut se sentir stigmatisé, montré du doigt et se pose, à juste titre la question, de la raison de ce choix politique que rien ne peut justifier. Pour avoir étudié cette question, et avoir lu quantité d'articles, pour ne citer que Le Figaro comme journal "national", et presque toute la liste des titres bretons donnée ici, je sais que ces articles, publiés en Bretagne, ne contenaient qu'une pâle copie de l'antisémitisme déversé quotidiennement par la presse parisienne et déjà bien avant Hitler. Quelle est donc la motivation inavoué qui a poussé le(s) auteur(s) a donner la liste complète des publications d'une région, alors qu'il se contente de la phrase 'À ces publications, il faudrait ajouter la quasi-totalité de la presse régionale de l'époque' pour toutes les autres régions de France. S'il s'agit de donner l'impression, que l'antisémitisme était plus fort en Bretagne qu'ailleurs, c'est réussi, mais c'est contraire à la réalité, la majorité des Bretons ignoraient la question juive et avaient vu la première fois de leur vie un homme de cette religion que s'ils avaient fait un voyage à Paris. --2.11.16.39 (discuter) 22 mai 2015 à 12:50 (CEST)Répondre

Je ne sais pas ce qu'il en est des publications bretonnes par rapport aux autres régions, mais l'ensemble de l'article pose le problème de qui juge du caractère antisémitique, d'où ma demande de référence dès l'introduction. Pour certains l'évidence prime mais pour d'autres c'est la perplexité. D'où par exemple mon commentaire ajouté sur Giraudoux. Pour les publications je pense qu'il faut s'en remettre à la présence ou non dans l'article Wiki correspondant du caractère antisémitique, un peu comme l'on fait lorsqu'on a un doute sur une catégorisation. Cordialement --Priper (discuter) 22 mai 2015 à 19:03 (CEST)Répondre
Pour la presse on peut se référer à la Catégorie:Presse antisémite française --Priper (discuter) 22 mai 2015 à 23:11 (CEST)Répondre
Excellente remarque : si la liste fait doublon avec la catégorie, supprimons la liste. Et si on perd certains journaux sans article, c'est qu'ils ne méritent pas un article ... ni d'être cités ici.--Olevy (discuter) 22 mai 2015 à 23:25 (CEST)Répondre
Je ne suis pas du tout d'accord avec le qualificatif d'excellence... Ce petit refnec de Piper remet sur le tapis la vieille méthode qui consiste à prouver quelque chose d'indéniable, donc à remettre en question la pertinence de cet article, etc., etc., et de fil en aiguille on en arrive à la négation pure et simple de textes antisémites commis par certains auteurs par ailleurs publiés en poche, qu'il faudrait trouver excusables, accidentelles, circonstancielles, tout ça parce qu'un lecteur a écrit ici (mais relisez donc ce message !) que l'on risquait de froisser la soit disante communauté bretonne et se faisant, la victimise, et zou, encore un retournement : stop. Ces lamentables procédés me dégoûtent. Continuez sans moi vos compromis, ras le bol.--Spiessens (discuter) 23 mai 2015 à 14:31 (CEST)Répondre
Stop. Je ne cherche pas la polémique. Beaucoup de listes brutes mélangent les torchons et les serviettes et c'est le cas ici. L'absence de références et de contextes sur un sujet qui reste délicat est souligné et mérite un autre type de réponse que j'éviterai de qualifier. Étant de nature pacifique, je m'en tiendrai à la seule précision que j'ai apporté sur Giraudoux, et je vais m'éloigner illico de cet article pour ne froisser personne.--Priper (discuter) 24 mai 2015 à 11:08 (CEST)Répondre

Giraudoux antisémite et raciste

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Bonjour,

On prend bcp de gants pour ménager Giraudoux, dont les thuriféraires, sur sa p. wkp, ont supprimé les références accablantes concernant son antisémitisme. On convoque aussi des admirateurs obscurs pour minimiser ses "bons mots". En voici une partie, extraite de Pleins pouvoirs", qui connu un considérable succès sous l'occupation:

"Entrent chez nous tous ceux qui ont choisi notre pays, non parce qu'il est la France, mais parce qu'il reste le seul chantier ouvert de spéculation ou d'agitation facile, et que les baguettes du sourcier y indiquent à haute teneur ces deux trésors qui si souvent voisinent : l'or et la naïveté. Je ne parle pas de ce qu'ils prennent à notre pays, mais, en tout cas, ils ne lui ajoutent rien. Ils le dénaturent par leur présence et leur action. Ils l'embellissent rarement par leur apparence personnelle. Nous les trouvons grouillants sur chacun de nos arts ou de nos industries nouvelles et anciennes, dans une génération spontanée qui rappelle celle des puces sur un chien à peine né.

Entrent chez nous, sous le couvert de toutes les révolutions, de tous les mouvements idéologiques, de toutes les persécutions, non pas seulement ces beaux exilés de 1830 ou de 1848 qui apportaient là où ils allaient, États-Unis, Europe Centrale, Afrique du Sud, le travail, la conscience, la dignité, la santé, mais tous les expulsés, les inadaptés, les avides, les infirmes. Sont entrés chez nous, par une infiltration dont j'ai essayé en vain de trouver le secret, des centaines de mille Askenasis, échappés des ghettos polonais ou roumains, dont ils rejettent les règles spirituelles, mais non le particularisme, entraînés depuis des siècles à travailler dans les pires conditions, qui éliminent nos compatriotes, tout en détruisant leurs usages professionnels et leurs traditions, de tous les métiers du petit artisanat : confection, chaussure, fourrure, maroquinerie, et, entassés par dizaines dans des chambres, échappent à toute investigation du recensement, du fisc et du travail. Tous ces émigrés, habitués à vivre en marge de l’État et à en éluder les lois, habitués à esquiver toutes les charges de la tyrannie, n'ont aucune peine à esquiver celles de la liberté ; ils apportent là où ils passent l'à-peu-près, l'action clandestine, la concussion, la corruption, et sont des menaces constantes à l'esprit de précision, de bonne foi, de perfection qui était celui de l'artisanat français. Horde qui s'arrange pour être déchue de ses droits nationaux et braver ainsi toutes les expulsions, et que sa constitution physique, précaire et anormale, amène par milliers dans nos hôpitaux qu'elle encombre.

En ce qui concerne les migrations provoquées par lui-même, notre État n'a pas eu plus de prévoyance. Il n'a jamais été guidé que par des considérations matérielles. D'abord, alors qu'il pouvait choisir parmi les races les plus voisines de la nôtre, il a favorisé l'irruption et l'installation en France de races primitives ou imperméables, dont les civilisations, par leur médiocrité ou leur caractère exclusif, ne peuvent donner que des amalgames lamentables et rabaisser le standard de vie et la valeur technique de la classe ouvrière française. L'Arabe pullule à Grenelle et à Pantin.

Un vieil ami de régiment, bien français (il répond même au nom de Frisette), est venu, les larmes dans les yeux, me demander mon aide pour sauver de l'expulsion ses voisins. Il m'en fit, malgré son enthousiasme, une description tellement suspecte que je décidai d'aller les voir avec lui. Je trouvai une famille d'Askenasis, les parents, et les quatre fils, qui n'étaient d'ailleurs pas leurs fils. Ils n'avaient, naturellement, aucun permis de séjour. Ils avaient dû pénétrer en France soit en utilisant les uns après les autres le même permis, par cette resquille qui nous servait, lycéens, à voir les matches Carpentier, soit en profitant des cartes de l'exposition, soit grâce à l'entremise d'une de ces nombreuses agences clandestines qui touchent de cinquante à mille francs par personne introduite, qui s'arrangent même pour dénoncer leurs clients à la police, les faire expulser, afin de les réintroduire à nouveau et toucher une seconde fois la prime. Le soi-disant père avait pu aussi s'engager comme ouvrier agricole, et, admis sous ce titre, se gardant bien de rejoindre la campagne, il s'était installé avec sa famille au centre de Paris. Et ce bon M. Frisette, qui a des enfants, des neveux qui étudient, et dont certains cherchent vainement une place, venait me supplier d'obtenir l'équivalence de droits avec ses enfants, ses neveux, pour ces étrangers dont déjà on devinait qu'ils seraient leur concurrence et leur saignée. L'assortiment était complet. C'en était comique. On devinait celui qui vendrait les cartes postales transparentes, celui qui serait le garçon à la Bourse, puis le courtier marron, puis Staviski ; celui qui serait le médecin avorteur, celui qui serait au cinéma d'abord le figurant dans Natacha, puis M. Cerf, puis M. Natan. Il y avait même, excuse et rédemption qui ne laissait pas de me troubler, celui, à regards voilés, qui pouvait être un jour Israël Zangwill.

Aucun papier, que des faux. Ils étaient là, noirs et inertes comme les sangsues en bocal ; mais ni M. Frisette, ni Mme Frisette, émus de leur sort, et qui imaginaient leur neveu et leur petite-nièce ainsi abandonnés dans un pays étranger, ni la concierge, qu'ils avaient achetée par un col en faux putois, ne se résignaient à les voir quitter la ville de Henri IV et de Debussy.

Concluons. Dans l'équipe toujours remarquable des hommes d’État qui prétendent à la conduite de la France, le seul qui aura compris, celui auquel il conviendra de tresser plus tard des couronnes aussi belles qu'au ministre de la paix, sera le ministre de la race (...).

Qu'importe que les frontières du pays soient intactes, si les frontières de la race se rétrécissent et si la peau de chagrin française est le Français ! (…)

Le pays ne sera sauvé que provisoirement par les seules frontières armées : il ne peut l'être définitivement que par la race française, et nous sommes pleinement d'accord avec Hitler pour proclamer qu'une politique n'atteint sa forme supérieure que si elle est raciale, car c'était aussi la pensée de Colbert et de Richelieu."

J'espère que cela suffira à ôter la formule qui semble dédouaner ce triste sire de l'accusation d'antisémitisme, n'en déplaise au sieur Body... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Rigmarole and paraphernalia (discuter), le 25 décembre 2021 à 21:42 (CET)Répondre

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