Discussion:Nicole Bricq

Dernier commentaire : il y a 10 ans par Jbdepradines dans le sujet Mme Bricq et la gastronomie française
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Mutation

modifier

J'aimerais connaitre les raisons précises du refus en masse de ma dernière modification. Le revert de Critias :

  1. fait perdre la mention que le nom de Bricq était pressenti au Commerce extérieur pour Ayrault 1 (il suffit de lire la presse de l'époque)
     
  2. conserve une redite (l'industrie pétrolière comprend Shell, Total et l'UFIP)
      mais j'ai préféré gardé le détail car industrie pétrolière c'est trop vague (d'ailleurs je ne voyais pas ça comme une redite, mais comme une précision)
  3. affirme comme certain la version du Monde, largement nuancée par d'autres sources.
    D'autres sources secondaires et sérieuses reprennent l'article en parlant bien de révélations (LCP 26/06/2012 par exemple)
  4. sous-entend que les pétroliers ont demandé directement la tête de Bricq, ce qui est faux (il faut comprendre que le dédit par Hollande et Ayrault, demandé par les pétroliers, rendait la position de Bricq inconfortable)
    Pas d'accord, l'article ne dit pas qu'ils ont demandé la tête de Bricq (formule outrancière) mais bien qu'ils ont poussé à son changement de poste.
  5. efface les doutes internes au ministère de la possibilité légale de tenir la suspension des permis
    on peut le mettre en amont mais ça n'a pas de rapport direct avec le changement de ministère
  6. confond un blog du redac chef du nouvelobs.com avec l'hebdo Le Nouvel Observateur
     

Je ne vois pas où je m'éloigne des sources indiquées. Merci de m'éclairer. HaguardDuNord (d) 27 juin 2012 à 01:23 (CEST)Répondre

Je n'aurais pas dû faire un revers global (c'est une pratique détestable), mea culpa. Je trouvais que la nouvelle formulation n'attribuait pas les points de vue et donc s'éloignait des sources. Je reprends la plus grande part de tes apports dans l'article et j'espère que nous pourrons trouver un consensus (commentaires des différents points dans le corps de ton message). Merci pour ton indulgence et ta compréhension Haguard. --Critias [Aïe] 27 juin 2012 à 08:19 (CEST)Répondre
Merci pour la prise en compte de mes remarques. Cependant, c'est amusant comme on comprend différents les sources.
Le plus simple d'abord : La Tribune dit « Certains conseillers ministériels font remarquer que Nicole Bricq n'avait pas pris toute la mesure de son ministère. Son portefeuille est large, en effet, puisqu'il comprend l'écologie, mais aussi l'Equipement et les transports. Il s'agit de gérer quelque 60.000 fonctionnaires... ». Le reformuler en « le ministère aurait été jugé trop large pour Nicole Bricq » me semble biaisé, car on ne sait pas si c'est pour (le jugement étant alors extérieur à Bricq) ou par (le jugement de Bricq elle-même). Une solution peut être de citer texto l'article.
Pour le Monde. Que cela ait été repris, c'est certain, mais d'autres sources ont complétés ou douté de cette version. Donc utiliser "révéler" pour Le Monde, est placé son contenu comme vérité, quand les autres sont dans l'interprétation, alors que rien ne peut nous permettre aujourd'hui de trancher entre ces versions (à terme, on pourra déterminer probablement la version la plus souvent retenue). Sur le contenu enfin, je ne lis toujours pas une demande de Shell ou Parisot de mutation. « Comment expliquer cette volte-face gouvernementale ? (...) c'est surtout la voix des groupes pétroliers et des industriels qui semble avoir pesé. La colère de Shell a été suivie de celle de Total, de l'Union française des industries pétrolières (UFIP) et de Laurence Parisot, présidente du Medef, qui en ont appelé directement à Matignon, voire à la présidence de la République. "Au-delà d'une querelle avec un ministère en particulier, nous avons expliqué deux ou trois petites choses au gouvernement, précise Jean-Louis Schilansky, président de l'UFIP. En l'occurrence, le respect de la parole de l'Etat français. (...) La décision du ministère de l'écologie était un signal négatif donné aux investisseurs étrangers. Sans parler de l'absence de toute concertation..." ». La volte-face est celle de la décision sur les forages, pas la nomination ministérielle et c'est là-dessus que les pressions se sont exercées. Qu'un ministre dédit ne puisse pas rester en poste est une conséquence, pas l'objectif. Selon Marianne, c'est aussi pour Ayrault une remise en cause de son pouvoir [1]. D'ailleurs, le même qui avoue avoir "expliqué 2 ou 3 choses au gouvernement", nie la demande de changement de ministre [2]. Bref, le dossier guyanais est le contexte central, repris par toutes les sources, ce qui diffère c'est l'interprétation des causes directes. HaguardDuNord (d) 2 juillet 2012 à 22:05 (CEST)Répondre
Plusieurs choses  :
  • Entièrement d'accord pour La Tribune
  • « cette mutation est due aux pressions » ce n'est pas la même chose que « les pétroliers ont demandé directement la tête de Bricq »
  • Le Monde n'emploie pas le conditionnel. Les autres sources ne disent pas que Le Monde s'est trompé (ou alors d'autres qu'il faut ajouter à l'article), et Nicole Bricq n'a pas démenti (certes, ce ne serait qu'une source primaire, mais bon).
  • les autres sources font plus que reprendre l'info, elles en parlent comme étant une vérité établie
  • Il y a eu beaucoup de points de vue sur le sujet, mais est-ce pertinent de tous les ajouter ? (je pose vraiment la question, ce n'est pas réthorique)
  • quand un sujet fait l'objet d'un large consensus, il n'y a pas de mal à suivre cette vision consensuelle, et présenter une éventuelle vision alternative comme étant le fait d'une vision marginale. --Critias [Aïe] 2 juillet 2012 à 22:36 (CEST)Répondre
Non, je ne veux pas une liste des commentaires, loin de là  . Je ne suis même pas pour l'attribution dans le corps du texte (si tout le monde est d'accord, on peut écrire cette mutation est due à...). Mais, écrire « cette mutation est due aux pressions de l'Union française des industries pétrolières, des entreprises Shell et Total ainsi de la présidente du MEDEF Laurence Parisot qui ont appelé directement le premier ministre et le président de la République François Hollande » c'est dire que les pressions étaient orientées contre le poste de Bricq, alors qu'a priori (encore une fois, par rapport à ce que je comprends), elles l'étaient contre la décision de Bricq. Au moins, il faudrait ajouter « qui ont appelé directement le premier ministre et le président de la République pour que le gouvernement revienne sur la décision de suspendre les permis de forages en Guyane ». Après (c'est pas urgent), le Monde pourrait aider à ajouter des éléments (opposition aux gaz de schiste, a priori favorable des écolo, volonté de réforme du code minier...). HaguardDuNord (d) 2 juillet 2012 à 23:41 (CEST)Répondre


Mme Bricq et la gastronomie française

modifier

Je ne comprends pas pourquoi le paragraphe que j'avais ajouté dans la page Bricq a été supprimé. Ni pourquoi un administrateur a, de cette sorte, justifié ce que j'appellerais un vandalisme. L'information a suscité de très nombreux articles de presse (beaucoup plus qu'aucune des activités de cette ministre depuis son changement d'affectation -Voir ci-dessus). Il n'y a, à mon avis, aucune raison de ne pas la retrouver dans WP. Merci. Voici le texte supprimé "==Gastronomie française== Mme Bricq s'est fait remarquer le 27 mars 2014, en critiquant ouvertement, s'adressant au Premier Ministre, sur le perron de l'Élysée, le dîner de gala servi dans le palais présidentiel au Président de la République chinoise Xi Jinping en visite officielle en France. « C'était dégueulasse ! » a t-elle dit. Filmée par la télévision, cette réaction a suscité un « buzz » considérable dans les médias1,2,3." ↑ http://www.lexpress.fr/actualite/politique/cuisine-degueulasse-a-l-elysee-nicole-bricq-crache-dans-la-soupe_1504218.htmlhttp://www.lexpress.fr/styles/saveurs/voici-le-menu-de-l-elysee-degueulasse-selon-nicole-bricq_1504220.htmlhttp://www.bfmtv.com/politique/nicole-bricq-sortant-matignon-a-lelysee-cetait-degueulasse-742291.html Merci de me fournir une explication. Et faute d'argument valable -et non d'usage politique pour préserver la réputation d'une ministre mal en point -de rétablir mon texte. Merci. jbdepradines (discuter) 29 mars 2014 à 18:35 (CET)Répondre

L'incident figure sur la page du cuisinier, pour qui ce n'est pas anecdotique loin de là (comme pour le président de la République d'ailleurs).--Albergrin007 (discuter) 29 mars 2014 à 18:55 (CET)Répondre
Je doute que qui que ce soit puisse avoir comme préoccupation, en ce moment, de « préserver la réputation » de cette personnalité politique qui, ce n'est pas lui faire injure, n'est pas exactement au premier plan de l'action gouvernementale, et ce alors que, d'un bord à l'autre de l'échiquier politique, les préoccupations doivent être tout autres, et moins futiles que ce buzz qui a peu de chance de faire boire une tasse supplémentaire à un gouvernement mal en point.
Il est probable que, s'il est indispensable (je dis bien » si ») aux yeux de certains de rapporter divers éléments de la conjoncture politique française actuelle, il y a probablement des choses beaucoup plus intéressantes et moins anecdotiques à raconter. Hégésippe (discuter) [opérateur] 29 mars 2014 à 19:02 (CET)Répondre
Votre jugement est très aimable. Mais Wiki n'est pas fait pour soutenir, ralentir, gêner, aider… l'action des "politiques", ni de faire boire une coupe de lie de plus à l'exécutif. S'il y a sur Wiki une page sur cette ministre dont vous dites vous même qu'elle ne se situe "pas exactement au premier plan de l'action gouvernementale", il serait insensé de ne pas y faire figurer cette action d'éclat, relevée par toute la presse et donc utile pour le lecteur qui voudrait s'informer à brûle pourpoint, sur cette Mme Bricq. À supposer que lors d'un hypothétique remaniement, cette dame perde son poste, cet incident pourrait avoir eu son effet et son absence dans la page Wiki, serait un lacune grave. Quant à l'aspect "anecdotique" se l'"affaire" c'est vous qui en jugez ainsi. Je peux vous dire qu'à tous niveaux de la population française, cette affaire "anecdotique" a eu plus d'écho que ce que vous pensez. Mais vous ne devez pas rencontrer beaucoup de monde… sinon vous le sauriez. Bien cordialement. jbdepradines (discuter) 30 mars 2014 à 00:34 (CET)Répondre
Une ministre n'a pas appréciée son repas à l'élysée, et préfère la cuisine de Matignon.
Ce commentaire avait vocation à être public ? Si oui, elle l'aurait dit directement devant les journalistes, présents en nombre...
Clairement, ce commentaire n'était pas destiné à être repris par la presse, comme pas mal de propos que n'importe qui peut tenir avec des proches.
Ces propos ont t'ils un impact politique ? Personne à l'heure actuelle ne peut affirmer une telle hypothèse.
Les propos tenus ont un impact sur la réputation des cuisines élyséennes ? Beaucoup trop tôt pour le dire également.
Une fois qu'on retire les articles "d'actualité", il reste quoi de l'information ? Rien... --Fanchb29 (discuter) 29 mars 2014 à 19:16 (CET)Répondre
La question nest pas de savoir si le propos était ou non destiné au public. Grâce à la télévision il a été révélé au grand public. Et son effet est dévastateur… Pour le reste veuillez vous reporter à ma réponse ci-dessus faite à un Wikipédien chevronné. jbdepradines (discuter) 30 mars 2014 à 00:37 (CET)Répondre
jbdepradines, ton propos m'intéresse vraiment. Comment fais-tu pour connaître en 24 heures l'écho d'un événement « à tous niveaux de la population française », hormis, bien sûr, la présence du fait dans différents journaux ? — t a r u s¡Dímelo! 30 mars 2014 à 00:51 (CET)Répondre

Déjà en constatant l'écho de cette information dans les commentaires des divers journaux de gauche ) droite et sur les réseaux sociaux, en rencontrant des personnes diverses (une trentaine disons dans des sociétés multiples); en percevant son évocation dans les émissions de radio ou de télévision, en ayant aussi une certaine expérience personnelle et professionnellement acquise de l'impact sur les publics via des échantillons maîtrisés…Rappelez moi dans quelques jours vous me direz si je me suis trompé. jbdepradines (discuter) 30 mars 2014 à 01:15 (CET)Répondre

En effet, certains métiers, comme les commerçants par exemple, peuvent être amenés à aborder le même sujet trente fois dans la même journée, je n'y avais pas pensé, mais je comprends l'idée. Je ne me risquerai pour ma part jamais à dire que trente personnes que j'ai croisées en 24 h sont assez représentatives mais ceci n'engage que moi. De toute façon, plus je me renseigne sur ce cancan réalisé sur un perron, plus je pense que c'est sans doute la seule chose qui restera de cette ministre. Il n'y a qu'à voir l'article, qui vaut ce qu'il vaut certes, mais qui ne mentionne strictement RIEN sur ses actions depuis son arrivée au ministère (les dernières informations traitent de ses « défis à venir » en juillet 2012). Alors, résumer près de deux ans dans un ministère par huit lignes sur une phrase qui a duré sept secondes, c'est sans doute une vision de l'encyclopédisme qui doit pouvoir se défendre. Et puis, finalement, il sera tellement plus commode d'expliquer sa disparition lors du prochain remaniement par cette phrase aussi maladroite que honteuse plutôt que par son éventuelle inaction au sein du ministère !… — t a r u s¡Dímelo! 30 mars 2014 à 03:14 (CEST)Répondre

Pour info: http://www.lexpress.fr/actualite/politique/remaniement-les-ministres-qui-trainent-des-boulets_1504696.html From jbdepradines (discuter) 31 mars 2014 à 10:28 (CEST)Répondre

Revenir à la page « Nicole Bricq ».