Discussion:Liste des contre-torpilleurs français

Pas de destroyers dans la marine nationale française, sauf les D.E.

Je vois à tout bout de champs "destroyers". Or, le terme "destroyer" n'a été utilisé qu'une seule fois dans la marine nationale française. Il désignait les 14 destroyers d'escorte ( les "D E") cédés par les USA à la France à partir de 1943 (le Sénégalais, l'Algérien, le Malgache, le Somali, le Hova, le Sakalave, le Berbère, le Touareg, le Tunisien...Etc...). Il y a déjà les "torpilleurs numérotés, avisos-torpilleurs, torpilleurs de haute mer, torpilleurs d'escadre, contre-torpilleurs...et j'en oublie peut être, alors ce n'est pas la peine d'ajouter destroyers et de d'employer cette appellation à tort et à travers.Maurice47 (d) 6 septembre 2011 à 10:57 (CEST)

Ce ne sont pas des contre-torpilleurs

Les escorteurs d'escadre et les frégates ne sont pas des contre-torpilleurs, ce sont des escorteurs d'escadre et des frégates ! Il n'y a plus de nouveaux bâtiments portant le nom de contre-torpilleurs construits après le seconde guerre mondiale. Il y a donc lieu de réduire cette liste uniquement aux bâtiments concernés. Ce n'est pas parce que les anglo-saxons fourent tout dans la catégorie OTAN « destroyers » qu'il faut les suivre dans le WP français. --Licorne37 (d) 5 août 2012 à 18:36 (CEST)

Bonsoir Licorne,

Vous avez raison, les frégates et les escorteurs d'escadre ne sont pas des contre-torpilleurs (même si les escorteurs d'escadre s'inspirent de la classe Volta et reprennent leurs caractéristiques générales).

Les derniers contre-torpilleurs ont été mis en service dans la marine nationale en 1939/40. Il s'agit du Volta et du Mogador. (sabordés tous deux à Toulon le 27 novembre 1942)

Des 6 ou 7 bâtiments de ce type encore en service après novembre 1942 (opération Torch et sabordage de Toulon), 2 ou 3 d'entre eux ont conservé cette appellation. Les 4 autres, survivants des 6 classe Fantasque ont été reclassés croiseurs légers après leur modernisation aux USA en 1943/44. Maurice47 (d) 5 août 2012 à 19:01 (CEST)

Autre incohérence dans la liste des contre-torpilleurs français, puisqu'on y trouve des torpilleurs (classes Bourrasque, Adroit, Hardi, Mélpomène).

La raison de cette incohérence est que cette liste est établie d'après Wikipédia en Anglais et que dans la marine britannique, l'appellation destroyer regroupe les contre-torpilleurs et les torpilleurs qui constituent dans la marine nationale française deux types de bâtiments distincts.

Si personne n'y vois d'inconvénient, je vais supprimer les torpilleurs de cette liste où ils ne sont pas à leur place. Maurice47 (d) 5 août 2012 à 19:29 (CEST)

Je n'avais pas pris le temps de vérifier, mais il me semblait bien qu'il y avait aussi un mélange entre torpilleurs et contre-torpilleurs. Les torpilleurs n'ont rien à y faire non plus évidemment. En fait la liste initiale aurait du s'appeler « Bâtiments de la Marine nationale française considérés par les anglo-saxons comme des destroyers ». Qualifier les frégates horizon de contre-torpilleurs, c'était pour le moins surprenant... --Licorne37 (d) 6 août 2012 à 21:51 (CEST)

Je n'ai pas cru bon de supprimer les torpilleurs de la listes des contre-torpilleurs. A l'inter titre : Seconde guerre mondiale, j'ai ajouté (Contre-torpilleurs et torpilleurs). Maurice47 (d) 6 août 2012 à 23:14 (CEST)

Par contre le titre de l'article Destroyer est trop sélectif puisqu'on y parle de nombreux types de bâtiments qui ne sont pas des destroyers.

Il faudrait intituler cet article : Bâtiments de combats légers, car par rapport aux cuirassés, croiseurs de bataille ou croiseurs lourds et porte-avions les destroyers, les contre-torpilleurs et les torpilleurs ou les frégates et les corvettes sont eux aussi des bâtiments de combat, mais aux déplacements bien plus faibles. Maurice47 (d) 6 août 2012 à 23:38 (CEST)