DZ Mafia

gang et cartel de la drogue français

La DZ Mafia (de el-Djazaïr ou Dzaïr, Algérie en arabe) est un cartel de la drogue français originaire des quartiers nord de Marseille actif en France et accusé de meurtres, d'assassinats à forfait, de trafics de stupéfiants et d'enlèvements.

Dzayr Mafia
Image illustrative de l’article DZ Mafia
Marseille, territoire principal de la Dzaïr Mafia.

Fondé par Mehdi Abdelatif L dit «Tic» et Lamine Laribi
Lieu Marseille
Territoire Provence-Alpes-Côte d'Azur, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne
Ethnies présentes Algériens
Nombre de membres Plusieurs centaines de membres et affiliés
Activités criminelles Trafic de stupéfiants, Contrat d'assassinat, Tueurs à gages, Meurtres, Kidnapping, Trafic d'armes, Corruption, Incendies criminels, Extorsion, Proxénétisme, Fraudes
Rivaux Yoda, Les Blacks

Histoire

Le gang apparaît en 2010 dans la cité de la Paternelle dans le 14e arrondissement de Marseille[1],[2], dirige par Mehdi Abdelatif Laribi , surnommé « Tic », impliqué dans le trafic de drogue et de violents conflits avec d'autres groupes criminels. En 2017, il est condamné à 10 ans de prison pour un triple assassinat survenu en 2011[3],[4]. La rivalité entre son gang et celui de Félix Bingui, dit « Yoda », engendre une série de règlements de comptes en 2023. Laribi dirige ses activités depuis l'étranger, où il est en fuite.

La DZ Mafia se procure principalement de la cocaïne grâce à des réseaux de fournisseurs belges, néerlandais et espagnols[5]. Selon un enquêteur, interrogé par Le Monde : « Leur modèle, c’est la Mocro Maffia », selon lui, des liens existeraient avec ces trafiquants passés maîtres dans l’acheminement de la cocaïne entre l’Amérique du Sud et l'Europe. « La DZ Mafia est un cartel au sens que c’est bel et bien une entente, une fédération d’associations criminelles, ce qui permet à d’autres d’obtenir de sa part, selon les cas, un appui logistique avec fourniture de main-d’œuvre, un soutien ou un simple “laisser-faire” tant qu’il n’y a pas d’opposition d’intérêts »[6].[style à revoir]

Début décembre 2024, 22 personnes sont mises en examen notamment pour « assassinat en bande organisée », « tentative d’assassinat en bande organisée » et « vol en bande organisée ». Au total, cent dix-neuf personnes ont été interpellées, dont plus de 100 mises en examen, depuis le 1er octobre en lien avec le gang DZ Mafia, à l’issue d’enquêtes qui ont prouvé la diversification du réseau. 73 sont placées en détention provisoire, 33 restant sous contrôle judiciaire[7]

Guerres de gangs

Guerre de gang contre Yoda (2023-2024)

Avant 2023, les deux clans cohabitaient : les guetteurs du gang des Yoda, à l'entrée de la Cité de La Paternelle, au sein des quartiers Nord criant assez fort quand la police intervenait dans la cité pour que ceux de la DZ Mafia puissent se cacher avant l'arrivée des forces de l'ordre[réf. nécessaire].

Mais une explosion des ventes de drogue en 2020 lors des confinements liés à la pandémie de Covid-19 et l'installation d'un drive à proximité de l'autoroute A7 entraîne des convoitises. Les relations se tendent entre les deux groupes[réf. nécessaire]. De plus, les chefs de la DZ, alors en prison depuis 2017, les deux frangins ne peuvent plus gérer leurs affaires courantes, essentiellement liées au trafic de stupéfiants. Dans leur dos, Félix B. «le Chat», jubile. L’absence des deux frères, qui cohabitaient avec le Chat entre les murs de la Paternelle, conduit Félix B. à développer tranquillement son business avec ses alliés du clan des Yoda, du nom du héros de Star Wars dont la figure est taguée sur un mur de la Paternelle. Un affront qui ne passe pas aux yeux de ses voisins de toujours[8].

Interrogée, une source policière qui a suivi la guerre entre la DZ Mafia et les Yodas n'est pas en mesure de déterminer précisément ce qui met le feu aux poudres. Mais plusieurs éléments remontent aux autorités. Notamment la diminution de l'entraide entre les guetteurs, ainsi que la tentative d'homicide d'un des lieutenants des Yodas début 2023[9].

En , dans une boîte de nuit en Thaïlande, située dans une station balnéaire du sud du pays, Mehdi Abdelatif L et Félix Bingui, (patron du gang Yoda, du nom du personnage Yoda) se retrouvent face à face. Au cours d’un échange houleux, l’un des caïds reçoit plusieurs glaçons sur la tête en guise de provocation, déclenchant une bagarre générale[10]. « Félix était alcoolisé et faisait le gros. Il a balancé un glaçon sur la tête de "Tic" et de là tout est parti en couille, ils ne se sont pas battus sur place mais depuis, ils se disputent les points de deal. » Raconte une petite main de la DZ sur procès-verbal[11].

Après cette altercation, une véritable « vendetta » se met en place à la Paternelle mais aussi ailleurs dans des cités hébergeant des points de deal appartenant aux deux gangs[10].

Jusqu'à l'arrestation de Félix Bingui en mars 2024, la DZ sort victorieuse du conflit, au prix de 35 morts, principalement des contrats délégués à de jeunes tueurs sur le territoire métropolitain et en Espagne. Forte de ce succès sanglant, la DZ cherche depuis à prendre le pouvoir sur le narcotrafic à Marseille, à s'implanter sur l'ensemble du territoire français et à diversifier ses activités criminelles dans une dérive mafieuse[12].

Guerre de gang contre les Blacks (Depuis 2024)

Suite à l'affaire du meurtre d'un chauffeur de VTC dans le 3e arrondissement de Marseille, tué à tort par un jeune de 14 ans pour le compte de la DZ Mafia le [13], le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, confirme lors d'une conférence de presse tenue le le lien entre ce meurtre et l'existence d'un conflit actuel opposant, dans le 3e arrondissement de Marseille, la DZ Mafia et le clan dit 'des Blacks' de la cité Félix-Pyat, notamment pour la prise de contrôle du point de deal de la cité du Moulin-de-Mai. Il affirme par ailleurs que « l'immense majorité des règlements de comptes, des 'narchomicides', qu'a subis l'agglomération marseillaise en 2024, sont liés de près ou de loin à ce conflit ».[14].

La police marseillaise est prévenue de la localisation du tueur de 14 ans par le commanditaire de l’assassinat lui-même, Hassen, 23 ans et en prison lors des faits[15].

Le mercredi , dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, la DZ Mafia dément toute responsabilité dans la mort du chauffeur VTC, affirmant que cet incident a été orchestré dans le but de porter atteinte à leur image. Ils expliquent également que le détenu se réclamant de la DZ Mafia serait un « mythomane ». Le mode opératoire ne « correspond en rien », de « l’enfant de 14 ans » à « l’utilisation d’un VTC pour commettre un crime »[16]. Nonobstant, la DZ Mafia ne nie pas dans cette vidéo son actuel conflit avec les Blacks. Selon les observateurs, cette séquence médiatique constitue un événement fondateur dans l'histoire de la DZ. « Elle a désormais la prétention de devenir une mafia française, en s'inscrivant dans la société et en défiant l'État, soupire un magistrat marseillais. On passe un cap inquiétant. »[12].

Expansion au-delà de la région PACA et en France

Rudy Manna, porte-parole du syndicat Alliance Police Sud, explique que la DZ Mafia cherche à élargir son emprise sur le marché lucratif du trafic de stupéfiants, motivée par les gains financiers potentiels. Le trafic de drogue génère des millions d’euros chaque mois, incitant les membres du gang à étendre leurs activités dans d’autres villes de la Méditerranée et partout en France.

Nîmes, ville impactée par le trafic depuis des années, a connu plusieurs fusillades impliquant la DZ Mafia[17].

Le , la préfecture du Var, prend un arrêté interdisant la venue de tous les individus connus pour trafic de stupéfiants dans les Bouches-du-Rhône, afin d'endiguer l'intrusion de la DZ Mafia sur le marché Hyérois. Ils ne pourront ni circuler, ni stationner sans motif légitime, selon les dires du Préfet[18],[19].

Le travail au long cours de la police judiciaire a lui aussi payé, avec le démantèlement de nombreuses équipes de jeunes tueurs à gages. Le procureur de la République de Marseille affirmait par exemple en juin que sur toute l'année 2023, 189 personnes avaient été mises en examen pour des faits liés aux règlements de comptes sur fond de trafic de drogue[20].

Pour autant, les autorités ne veulent pas crier victoire trop vite, de nouveaux conflits pouvant éclater à tout moment[style à revoir], et alors que, selon un enquêteur joint par France info, la très puissante et dangereuse DZ Mafia continue d'étendre son influence bien au-delà de Marseille et contrôle désormais des points de deal à Sète, Avignon, Valence, Rennes, et même Toulouse[20],[21].Une force de frappe qui permet à la DZ Mafia d’étendre aujourd’hui son influence au-delà de nos frontières, jusqu’à Bruxelles. "La Belgique se trouve au centre de l’Europe et offre un accès assez facile au marché de la cocaïne. Il y a des liens établis avec la DZ Mafia", assure Ine Van Wymersch, la commissaire nationale aux drogues.

Le 11 août dernier, dans le quartier Malbosc, au nord de Montpellier, trois hommes cagoulés, affirmant être de la police, forcent l'entrée d'un immeuble, et se rendent directement dans un appartement, d'où ils expulsent une jeune fille terrifiée, sous la menace de fusils d'assaut. L'instant d'après, ils répandent dans le logement un jerrican de carburant, et y mettent le feu, avant de s'enfuir. Quatre interpellations ont eu lieu. L'une des interpellées raconte qu'elle effectue des « missions », pour convoyer son compagnon, un homme de main au service de la DZ Mafia[22].

Partenaires et alliés

Devenu un cartel à la française, une sorte de label criminel, la DZ dispose désormais de multiples canaux d'acheminement de la drogue — haschich, cannabis et cocaïne — en nouant des partenariats avec des groupes criminels puissants et ne se contente plus d'importer depuis le Maghreb[12]. Selon plusieurs sources policières, elle entretient des relations commerciales avec la Mocro Maffia , l'organisation criminelle européenne basée aux Pays-Bas, la 'Ndrangheta italienne et les réseaux entre le port du Havre (Seine-Maritime) et l'Amérique latine.[réf. nécessaire]

Autres activités de la DZ Mafia

Immersion dans la vie politique

Le gang est même soupçonné d’avoir des ambitions plus larges, notamment dans le domaine politique. Une source judiciaire confie au Monde que certains membres pourraient chercher à infiltrer le milieu politique pour sécuriser leur emprise sur la région[23]. «Sans véritable opposition, ceux qui tiennent ce cartel vont multiplier les extorsions au-delà des rappeurs et, pourquoi pas, demain financer des campagnes électorales pour s’attirer la complaisance de certains politiques», prévient un observateur interrogé par nos confrères[24].

Menaces d'extorsions et « Taxe DZ Mafia »

Alors que la DZ Mafia agissait principalement dans le narcobanditisme et narcoterrorisme[réf. nécessaire], le groupe criminel se diversifie dans l'extorsion et le racket. Le cartel de la drogue, qui bénéficie d’une certaine hégémonie sur le trafic de stupéfiants à Marseille, et bien au delà se spécialiserait désormais dans les extorsions de commerces et d’établissements partout dans le sud de la France[25]. En effet, le , au petit matin, une fusillade à l'arme lourde a lieu sur la route dans le quartier du Grand Travers, à Mauguio-Carnon, à la suite d'un showcase du rappeur SCH dans une discothèque de La Grande-Motte, un kilomètre plus loin. Quatre personnes sont dans le véhicule d'où partent les tirs. Ils font un mort, le passager, et un blessé dont le pronostic vital est engagé, le chauffeur du véhicule. Tous deux font partie de l'entourage du rappeur. SCH est a priori visé, mais a changé de voiture à la fin de sa prestation, ce qui lui a possiblement sauvé la vie[26]. Selon des sources proches du dossier cité par Le Parisien, cette tentative de meurtre suivrait le mode opératoire de la DZ Mafia. SCH avouera même auprès de gendarmes qu'il était victime de tentatives d'extorsion depuis plusieurs mois[27].

La DZ Mafia s'invite aussi dans le monde de la nuit marseillaise. Le , aux alentours de 23 heures, trois individus cagoulés et vêtus de noir débarquent à scooter devant un night-club réputé du quartier de l’Opéra. Face aux physionomistes de l’établissement, ils se montrent intransigeants[28] : ils veulent s’entretenir avec les responsables. En leur absence, c’est un videur qui se voit remettre un téléphone. Au bout du fil, un homme se présentant comme membre de la redoutable DZ Mafia exige le paiement d’une “commission”[29].

Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 2024, une fusillade a lieu devant la boîte de nuit "Seven" à Saint-Péray, en Ardèche. Cette attaque provoque la mort de Nicolas Dumas, un rugbyman de 20 ans du club de Romans-sur-Isère, tué par balle perdue. Le tireur présumé de la fusillade a été identifié à partir d'une capture d'écran d'une vidéosurveillance du guichet SNCF de la gare de Valence (Drôme). Le fugitif soupçonné se trouvait dans la cité de la Bricarde, un lieu de deal important de Marseille, quand les policiers de la BAC Nord l'ont interpellé vers 18 heures, ce lundi. Les magistrats de la Juridiction interrégionales spécialisée (Jirs) de Marseille désormais chargée de l'enquête pensent que le raid meurtrier du commando en Ardèche aurait pu être commandité depuis Marseille, par la DZ Mafia qui harcèle plusieurs boîtes de nuits depuis des mois pour les obliger à payer des dettes[30].

Cambriolages et vols

La DZ Mafia s'est aussi spécialisée, plus récemment[Quand ?], dans les cambriolages et les vols afin d'obtenir davantage de sources de financements pour le futur de l'organisation. Le 28 janvier, quatre personnes s’étaient introduites au domicile d’un couple à La Seyne-sur-Mer, pour leur voler de l’argent liquide dans des coffres. Cette agression, commanditée depuis la prison par un détenu « présenté comme étant un membre de la DZ Mafia », selon le procureur de Toulon, a entraîné l’interpellation et la mise en examen de huit personnes[31].

La DZ s'en prend aussi aux petit commerces. Dans la nuit du 12 novembre, deux individus âgés d’une vingtaine d’années ont été interpellés dans le 4e arrondissement de la cité phocéenne après le braquage d’une épicerie, a appris Le Figaro de sources concordantes. Le cartel de la drogue, qui bénéficie d’une certaine hégémonie sur le trafic de stupéfiants à Marseille, se spécialiserait désormais dans les extorsions de commerces et d’établissements partout dans le sud de la France[25].

Affaires et trafics sexuels

Outre les assassinats commandités depuis la prison, la DZ est aussi soupçonnée de commander des viols et meurtres au sein même d'établissements pénitentiaires, notamment à Aix-Luynes, où nombre de membres du clan rival, Yoda, sont incarcérés. Ainsi, un détenu affilié à la DZ y a été surpris en train d'imposer des sévices sexuels à un autre prisonnier, le tout sur les instructions en temps réel d'un commanditaire sur Snapchat[12].

Membres

Sur la totalité des personnes mises en examen en 2023 pour homicides volontaires ou tentatives d'homicides volontaires, 11 % étaient des mineurs (soit six au total) et 51 % étaient âgés de 18 à 21 ans, selon le procureur[32].

Selon la police judiciaire de Marseille, la DZ Mafia fonctionne comme une véritable organisation mafieuse : une équipe dirigeante, plusieurs chefs, dont certains sont en détention[19].

Selon M. Frison, certains membres opèrent depuis leur cellule de prison, d’autres sont en liberté ou en cavale à l’étranger, en particulier aux Emirats et au Maghreb[6].

Chefs de la DZ Mafia

En plus des deux fondateurs de la DZ, Mehdi et Lamine Laribi, selon de multiples sources policières et judiciaires, ainsi que des documents confidentiels, la DZ est aujourd'hui dirigée par trois détenus originaires de Marseille (Bouches-du-Rhône) et mis en examen pour de très nombreux faits criminels: Amine O. «Mamine», Madi Z. «la Brute» et Gabriel O. «Gaby»[33]. C'est à ce triumvirat du crime que l'on impute les nombreux assassinats et recrutements de jeunes tueurs à gages commis ces derniers mois[28]. Les méthodes brutales de ces trois hommes pour asseoir l'hégémonie de la DZ sur le narcotrafic français auraient poussé le fondateur historique du clan, Mehdi Abdelatif Laribi, alias «Tic», à se mettre en retrait de la gestion des affaires. «Laribi, c'est un commerçant de la drogue avant tout. Il semble avoir été dépassé par la montée en puissance de la DZ. Ces trois détenus ont pris le pouvoir par la force et ont imposé les assassinats comme méthode d'expansion», observe un haut responsable de la police judiciaire[34].

Mehdi L. « Tic », poursuit une partie de ses activités depuis le Maghreb en laissant les trois détenus s’occuper du recrutement de jeunes «sicarios», utilisés pour éliminer des adversaires ou semer la terreur partout à travers l’Hexagone. « Il est en retrait en Algérie, ce n’est pas un tueur à gages. Mais il n’est pas hors-jeu », nuance une source proche du dossier qui décrit un gang «puissant»[35].

Notes et références

  1. « "Comme une pieuvre" : comment fonctionne la DZ Mafia, l'un des principaux gangs du narcotrafic marseillais ? », sur TF1 INFO, (consulté le )
  2. Luc Leroux, « A Marseille, la guerre entre deux réseaux de trafiquants de drogue, DZ Mafia et Yoda, est de plus en plus meurtrière », Le Monde,‎ (lire en ligne  , consulté le )
  3. « Trafic de drogue : on vous explique la guerre entre Yoda et DZ Mafia à Marseille, après l'arrestation de Félix Bingui », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le )
  4. « "Barbecue marseillais": procès en appel d'un triple assassinat », sur Le Point, (consulté le )
  5. Les bonnes colonnes - DZ Mafia, ascension d’un gang et terreur à Marseille, consulté le
  6. a et b « La DZ Mafia, une PME de la drogue devenue un label criminel aux ambitions mafieuses », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Meurtre d’un proche du rappeur SCH: 22 personnes mises en examen, lefigaro.fr, 7 décembre 2024
  8. « Marseille : qui se cache derrière la DZ Mafia et Yoda, ces gangs auteurs de sanglants règlements de compte ? », sur Le Figaro, (consulté le )
  9. « TOUT COMPRENDRE. DZ Mafia contre Yoda: la guerre des gangs qui déchire le sud de la France », sur BFMTV (consulté le )
  10. a et b Nicolas Farmine, « Marseille : qui se cache derrière la DZ Mafia et Yoda, ces gangs auteurs de sanglants règlements de compte ? », Le Figaro,‎ (lire en ligne  , consulté le )
  11. « Narcotrafic : « Tic », le minot devenu parrain de la DZ Mafia à Marseille », sur Le Nouvel Obs, (consulté le )
  12. a b c et d Par Jérémie Pham-Lê et Jean-Michel Décugis, « La DZ, ce n’est pas des types fondus qui tuent pour le business » : anatomie d’un cartel « made in France », sur leparisien.fr, (consulté le )
  13. « Marseille : Un homme tué d'une balle dans la tête, un adolescent de 14 ans interpellé », sur actu17.fr, (consulté le )
  14. « Marseille : Tueurs à gages, adolescent brûlé vif, chauffeur VTC exécuté... ce qu'a révélé le procureur »  , sur actu17.fr, (consulté le )
  15. B.F., « Marseille : le commanditaire du tueur à gages de 14 ans se réclame de la DZ Mafia »  , La Provence, (consulté le )
  16. « Tueur à gage de 14 ans à Marseille. La DZ Mafia dément être impliquée dans une vidéo lunaire », sur actu.fr, (consulté le )
  17. « Trafic de drogues à Nîmes: qui se cache derrière la DZ Mafia accusée de gangréner le sud de la France? », sur BFMTV (consulté le )
  18. Clément Marna, « Hyères : les dealers marseillais interdits de séjour, le préfet prend un arrêté »  , Le Journal du dimanche, (consulté le )
  19. a et b Hugo Amelin, « Fusillade à la fin d'un concert de SCH : la piste du racket contre le rappeur privilégiée »  , sur RTL, (consulté le )
  20. a et b David Di Giacomo, « Les homicides à Marseille liés au narcotrafic ont été divisés par trois depuis le début de l'année 2024 »  , sur Franceinfo, (consulté le )
  21. Marianne Fenon, « Qu'est-ce que la DZ Mafia, qui tire les ficelles de la drogue à Marseille ? », sur www.linternaute.com, (consulté le )
  22. « Incendie criminel et kalachnikov : l'ombre de la DZ mafia, l'organisation criminelle de Marseille, s'étend dans l'Hérault », sur midilibre.fr (consulté le )
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  25. a et b « Marseille : deux braqueurs se revendiquant de la DZ Mafia interpellés », sur Le Figaro, (consulté le )
  26. Jean-Marc Aubert, « Près de Montpellier. Mauguio : le rappeur SCH était visé, un mort et un blessé grave par balles »  , sur Actu.fr, (consulté le )
  27. Jean-Michel Décugis, Vincent Gautronneau et Éric Bureau, « Tirs mortels contre un proche du rappeur SCH : la piste du racket privilégiée »  , Le Parisien, (consulté le )
  28. a et b « Marseille : DZ Mafia où l'ambition de devenir le plus grand groupe criminel de France », sur www.rtl.fr, (consulté le )
  29. « L’ombre menaçante de la DZ mafia plane sur Marseille », (consulté le )
  30. Par Jean-Michel Décugis Le 5 novembre 2024 à 20h47, « Mort de Nicolas dans une fusillade en Ardèche : la piste d’une action d’intimidation commanditée depuis Marseille », sur leparisien.fr, (consulté le )
  31. Par Le Parisien avec AFP Le 18 octobre 2024 à 16h15, « DZ Mafia : 23 personnes liées au clan de narcotrafiquants mises en examen à Toulon », sur leparisien.fr, (consulté le )
  32. Stéphane Burgatt, AFP, « Narcobanditisme : sur les 47 morts en 2023 à Marseille, 7 victimes mineures », Europe 1,‎ (lire en ligne  , consulté le )
  33. « Il seraient les vrais chefs de la DZ Mafia et sont tous en prison, notamment à Perpignan : qui sont "Mamine", "Gaby" et "la Brute" », sur midilibre.fr (consulté le )
  34. Par Vincent Gautronneau et Jérémie Pham-Lê et Jean-Michel Décugis Le 16 octobre 2024 à 20h28, « « Mamine », « Gaby » et « la Brute » : révélations sur les vrais chefs de la DZ Mafia en France », sur leparisien.fr, (consulté le )
  35. « «Ils n’ont pas de limite» : derrière la DZ Mafia à Marseille, d’influents commanditaires qui opèrent dans l’ombre », sur Le Figaro, (consulté le )