Cuers
Cuers [kɥɛʁs] est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Cuers | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Toulon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Méditerranée Porte des Maures | ||||
Maire Mandat |
Bernard Mouttet 2020-2026 |
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Code postal | 83390 | ||||
Code commune | 83049 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
12 550 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 248 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 18″ nord, 6° 04′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 71 m Max. 700 m |
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Superficie | 50,53 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Toulon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Solliès-Pont | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune située à 7 km de Solliès-Pont, 16 de La Valette-du-Var et 22 de Toulon.
Géologie et relief
modifier- Les barres de Cuers - formation géologique[1],[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCuers est arrosée par 3 rivières :
- le Meige Pan,
- le Gapeau[3],
- le Farembert.
- les ruisseaux :
- ruisseau des Cougourdes,
- de Rénégon, de Sainte-Christine, des Partides, de Valcros, des Plans de Loube, de Rémin, des Anduès, du Plan.
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Var, Alpes-Maritimes »[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,1 | 4,3 | 7,1 | 10,8 | 14,1 | 16,4 | 16,1 | 13,1 | 10,2 | 6,1 | 2,9 | 8,8 |
Température moyenne (°C) | 7,9 | 8,3 | 10,9 | 13,8 | 17,7 | 21,7 | 24,4 | 24,2 | 20,4 | 16,5 | 11,7 | 8,6 | 15,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 13,7 | 14,5 | 17,5 | 20,5 | 24,5 | 29,3 | 32,4 | 32,3 | 27,6 | 22,8 | 17,4 | 14,3 | 22,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,1 07.01.02 |
−9,3 11.02.12 |
−9,3 02.03.05 |
−4,4 08.04.21 |
1,3 07.05.19 |
5,5 04.06.06 |
7,9 17.07.00 |
7,2 23.08.07 |
3,1 21.09.17 |
−1,4 22.10.07 |
−8,8 23.11.1998 |
−9,1 20.12.01 |
−9,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
23,3 10.01.15 |
25,1 03.02.20 |
28,4 21.03.02 |
27,9 23.04.09 |
35,1 12.05.12 |
39 27.06.19 |
39,8 20.07.23 |
41,3 05.08.17 |
35,9 05.09.16 |
31,1 28.10.06 |
27,9 14.11.23 |
23,1 30.12.21 |
41,3 2017 |
Précipitations (mm) | 73,4 | 54,8 | 57,4 | 57,1 | 56,7 | 33,5 | 15,6 | 19,3 | 76,6 | 105,5 | 141,4 | 87,6 | 778,9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
13,7 2 73,4 | 14,5 2,1 54,8 | 17,5 4,3 57,4 | 20,5 7,1 57,1 | 24,5 10,8 56,7 | 29,3 14,1 33,5 | 32,4 16,4 15,6 | 32,3 16,1 19,3 | 27,6 13,1 76,6 | 22,8 10,2 105,5 | 17,4 6,1 141,4 | 14,3 2,9 87,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communications et transports
modifierCuers est desservie par plusieurs grandes routes régionales et nationales : la RN 97, CD 14 (Cuers - Grimaud (Var)), CD 40 (Cuers - Puget-Ville), CD 43 (Cuers - Brignoles), autoroute A57. L'une des deux barrières de péage de cette autoroute est implanté à proximité de Cuers, sur la commune de Puget-Ville Péage de Puget-Ville 9 Cuers-sud 10 Cuers-nord.
Transports en commun
modifierTransports aériens
modifierLes aéroports les plus proches sont :
- Aéroport de Toulon-Hyères à 28 km,
- Aéroport de Marseille Provence à 108 km,
- Aéroport de Nice-Côte d'Azur à 122 km.
- Ancienne Base d'aéronautique navale de Cuers-Pierrefeu.
Lignes SNCF
modifier- Gare de Toulon. La gare TGV la plus proche est celle de Toulon, à 22 km. Toutefois, la commune partage la gare de Cuers-Pierrefeu, avec sa voisine, Pierrefeu-du-Var, pour les liaisons TER[10],
- Gare de Marseille-Saint-Charles à 88 km,
- Gare de Nice-Ville à 128 km.
Ports
modifier- Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- Rade de Toulon à 22 km,
- Port de Marseille à 91 km,
- Port Lympia (port de Nice) à 131 km.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Cuers est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierLe tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 7,8 % | 404 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 1,3 % | 69 |
Réseau routier et ferroviaire et espaces associés | 0,6 % | 32 |
Aéroports | 0,4 % | 19 |
Vignobles | 29,2 % | 1494 |
Vergers et petits fruits | 0,9 % | 47 |
Oliveraies | 1,3 % | 68 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 0,6 % | 32 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 3,5 % | 180 |
Forêts de feuillus | 3,9 % | 201 |
Forêts de conifères | 17,7 % | 905 |
Forêts mélangées | 12,6 % | 645 |
Végétation sclérophylle | 20,0 % | 1024 |
Source : Corine Land Cover[16] |
Cuers dispose d'un plan local d'urbanisme[17].
Histoire
modifierPréhistoire et Antiquité
modifierDe nombreuses traces d'occupation humaine ont été retrouvées sur le territoire communal, les plus anciennes remontant à 2500 av. J.-C.. Les Ligures, puis les Romains, s'installèrent ensuite dans la région de Cuers, laissant notamment les traces de trois camps romains, et d'un oppidum en haut de la Barre de Cuers[18].
Le Moyen Âge
modifierAfin d'échapper aux invasions sarrasines, fréquentes dans la région au VIIIe siècle, les habitants du village se réfugient dans les environs ; ils donnent ainsi naissance aux hameaux de Valcros et Saint-Laurent.
A l'époque mérovingienne, Cuers fait partie du comté de Fréjus. Les terres passent ensuite dans les mains du vicomte de Marseille, aux alentours de 970, qui en fit don aux moines de l'abbaye de Saint-Victor, en 1032[18].
Isnard de Glandevès (1340-1409), viguier de Marseille (1380), lieutenant du sénéchal (1405), fut seigneur de Cuers, de Pourrières et de Glandevès. Il fut le premier enfant de Guillaume Féraud de Glandevès, seigneur de Cuers et de Thorame et de Louise de Villeneuve. Il fut selon le baron du Roure « un des seigneurs les plus puissants et les plus considérés de Provence[19] ». Il fut l'objet de la reine Marie de Blois qui le couvrit de dons.
Le , Béatrix de La Roche était dame de Cuers et du Revest[20] ; elle était mère du chevalier Raymond de Montealbano[21].
Époque moderne
modifierLe , Éric Borel, âgé de 16 ans, assassine sa famille à Solliès-Pont puis tue à la chaîne plusieurs personnes à Cuers avant de se suicider[22].
Blasonnement
modifierLes armoiries de Cuers se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierSource pour la période 1790-1897 : Joseph Salvarelli, les administrateurs du département du Var, Draguignan, Imprimerie Olivier-Joulian, 1897
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[29],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 12 550 habitants[Note 6], en évolution de +15,86 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierL'ancienne base aéronavale a été reconvertie en pôle industriel et commercial en destination de l'industrie de l'aviation et de la défense. Le cœur du village ne compte pas d'agents économiques d'envergure mais c'est à la périphérie, dans les zones d'implantation plus récentes, que se comptent les nouvelles installations.
Agriculture
modifierL'Histoire du village est en effet très marquée par l'agriculture, à la fois par la culture des céréales, du tabacs, des vers à soie, mais également par l'élevage bovin et ovin.
L'agriculture actuelle est plus tournée vers les productions viticoles et oléïcoles[18]. La commune fait partie de la zone de production de l'huile d'olive de Provence AOC, des vins Maures (IGP) et Côtes-de-provence.
Tourisme
modifier- Hôtels-restaurants[32].
- Gîtes de France[33].
- Chambres d'hôtes.
Commerces
modifierCommerces et services de proximité[34].
Vie locale
modifierEnseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[35] :
- La commune dépend de l'académie de Nice[36].
- Les élèves de Cuers suivent leurs études dans le village, qui dispose de deux écoles maternelles, deux écoles primaires, une école primaire bilingue français/provençal (la seule dans le Var), une école primaire privée, deux collèges et un lycée professionnel.
- La ville a la particularité de posséder sur son territoire la seule école publique bilingue français-provençal du département du Var et de l'académie de Nice (récompensée par le Prix Louis-Vouland de la Vocation Provençale en 2011)[37].
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[38] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Hôpitaux à Pierrefeu-du-Var, La Farlède, La Valette-du-Var, Hyères.
Cultes
modifier- La paroisse catholique de Cuers dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de Cuers[39].
- Culte musulman, mosquée D'ER-Rahma.
Services publics
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine religieux :
- Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption[40]
- Grandes orgues[41],[42], 1668, M.H.[43],[44],
- Mobilier de la Collégiale Sainte-Catherine, Saint-Pierre, Notre-Dame-de-l'Assomption[45].
- Ancienne église du couvent des Bernadines.
- Chapelles[46] :
- Ancienne chapelle Saint-Jacques[47],
- Ancienne chapelle Saint-Laurent[48],
- Ancienne chapelle Sainte-Thérèse[49],
- Chapelle du Tiers-Ordre-de-Saint-François ou de la Corde[50]
- Chapelle Notre-Dame-de-Santé[51],
- Chapelle Saint-François[52],
- Chapelle Saint-Louis (Valcros)[53],[54],
- Chapelle Saint-Pierre[55],
- Chapelle Sainte-Christine[56],
- Chapelle Saint Roch[57],[58].
- Mosquée D'ER-Rahma[59].
- Monument aux morts[60] : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962).
Patrimoine civil :
- Rues du Vieux Cuers - vestiges ruines du château[61] (panorama).
- Oppidum de Cuers, avec remparts, qui a fait l'objet d'une inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 6 juin 1977[62].
- Oppida pré-romains - ancien aqueduc romain (M.H.)[63].
- Portes anciennes du vieux village - fontaines - lavoirs.
- Bassins et fontaines (Fontaines du coq[64], de Saint-Pierre[65],...).
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean Gallois (1632-1707), abbé du prieuré de Cuers, savant universel et membre de l'Académie française.
- François Arène (1794-1852), homme politique, député du Var.
- Benjamin Flotte (1812-1888), militant blanquiste, est né et mort à Cuers.
- Gustave Meyrier (1842-1930), diplomate français, né à Cuers.
- André Martel ( à Toulon – à Cuers, Var), écrivain et poète français. Connu aussi sous les pseudonymes de « Papapafol du Paralloïdre » et « Le Martélandre ». Régent du Collège de Pataphysique.
- Marcelle Drutel (1897-1985), écrivain provençal, Majoral du Félibrige, originaire de Cuers, où elle est inhumée après y avoir vécu de 1956 jusqu'à sa mort.
- Pierre Miremont (1901-1979), mort à Cuers, écrivain en langue d'oc, Majoral de félibrige.
- Le capitaine Albert Litas (1905-1944), compagnon de la Libération, y décède des suites de blessures le .
- Alexandre Lofi (1917-1992) - officier au sein des Commandos Kieffer- il participe notamment au débarquement de Normandie en juin 1944. Décédé à Cuers le 22 mars 1992, il y est enterré.
- Serge Martina (1943), acteur, écrivain et scénariste français, né à Cuers.
- Patrik Cottet-Moine (1964), mime, acteur, humoriste français. Adjoint culture à la mairie de Cuers de 2020 à 2023.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Toulon comprend une ville-centre et 26 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifier- Carte géologique du BRGM
- L'hydrogéologie de la partie occidentale de la dépression permienne bordant à l'Ouest le Massif des Maures (Bassin de Cuers), par Yves Travi. Géologie Méditerranéenne Année 1982 9-2 pp. 129-138
- Communes traversées par Le Gapeau
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cuers » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Cuers » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- accès à la commune
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Cuers ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- PLU
- Histoire de Cuers
- Baron du Roure, Glandevès, p. 14.
- Les Seigneurs du Revest et de Dardennes du Moyen Âge à la Révolution
- Gérin-Ricard, Actes, p. 214.
- (fr)Caroline Delabroy, « «J’ai voulu redonner une mémoire à la tuerie de Cuers», Bruno Masi revient sur cette fusillade tombée dans l'oubli », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Vexillologie et Héraldique provençale. Méditerranée Porte des Maures : Cuers »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site personnel de Dominique Cureau (consulté le ).
- Le conseil municipal est dissous et une nouvelle élection est organisée.
- « De nouvelles élections eurent lieu le 8 septembre 1901. Sur 718 votants, la liste de M. Brun, avocat, socialiste remporta 500 voix contre 200 à son adversaire M. Emmanuel. Cela permit à François Brun de devenir maire. » [1]
- La fiche biographique de REYMONENQ Raoul, Paul sur le Maitron en ligne
- [2]
- La fiche biographique de GUIGOU Guy, Léon, Marcel sur le Maitron en ligne
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Hébergements et restauration
- Gîte de France
- Commerces et services de proximité
- Etablissements scolaires
- Établissements d'enseignements
- Le Prix de la Vocation provençale
- Professionnels et établissements de santé
- paroisse de Cuers
- L'église Notre-Dame de l'Assomption
- Les orgues de Cuers
- Notice no IM83000807, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de Cuers
- Cuers, collégiale Saint Pierre : Orgue Charles Royer, 1669
- Ancienne collégiale Notre-Dame-de-l'Assomption, antérieurement Saint-Pierre
- Notice no IA00060126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Mobilier de la Collégiale
- Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
- Ancienne chapelle Saint-Jacques
- Notice no PA00091366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle Saint-Laurent
- Ancienne chapelle Sainte-Thérèse
- Chapelle du Tiers-Ordre-de-Saint-François ou de la Corde
- Chapelle Notre-Dame-de-Santé
- Chapelle Saint-François
- Chapelle Saint-Louis (Valcros)
- La chapelle St-Louis de Valcros, sur petit-patrimoine.com/]
- Le patrimoine de Cuers, sur provence7.com/
- Sainte-Christine
- Chapelle Saint Roch
- La chapelle Saint-Roch
- Mosquée D'ER-Rahma
- Monument aux morts
- Notice no PA00097915, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Château
- Base Eligis Culture : Patrimoine archéologique de Cuers
- Sites et patrimoine de Cuers, sur www.culture.eligis-web.com/
- La fontaine du Coq
- La fontaine Saint-Pierre
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Lei couioun de Cuers, de Gabriel Trotobas Editions de la Pignato 1935. Réédité en 2008 par Edicioun Prouvènço d'Aro.
- Histoire chronologique de Cuers de René Jacob Editions Lacour-Ollé 2006
- Orphéon, légende de Georges Perpes, Les Cahiers de l'Égaré, 2019.
- Paroisse Notre Dame de l'Assomption – Cuers
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Cuers, p. 398
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Cuers sur le site de l'Institut géographique national
- Cuers sur le site de l'Insee
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Tourtour
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Régions, Architecture, Mobilier, Images, Vocabulaires, Collections, Bibliographie, Accès géographiques, Ethnologie, dans les Bases Mérimée, Palissy, Mémoire, ArchiDoc, Commune de Tourtour