Couvent des Bernardines
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Il a existé de nombreux couvents de bernardines notamment en France. Certains de ces établissements urbains ont été détruits à la Révolution française ou dans des opérations de réhabilitation urbaine alors que d'autres ont été rénovés et reconvertis en établissements d'enseignement.
Définition
modifierBien que toutes les cisterciennes soient qualifiées de « bernardines », on parle en règle générale de « couvent de bernardines » pour les maisons des bernardines réformées et des bernardines d'Esquermes.
Les couvents de ces deux congrégations
modifier- Aix-en-Provence (1639-1761) ;
- Annecy (1639-1792) ;
- Antibes (1637-1792) ;
- Arques (1636-1793) ;
- Belley (1805-1947) ;
- Cavaillon (1641-1773) ;
- Chambéry (1644-1792) ;
- La Ciotat (1642-1792) ;
- Clermont (1646-1790)
- Collombey, maison-mère actuelle des bernardines réformées (1643-actuellement) ;
- Conflans (1637-1793) ;
- Cuers (1640-1792) ;
- Évian (1642-1790)
- Fréjus (1642-1766) ;
- Géronde (1935-actuellement)
- Grenoble (1624-1792) ;
- Lorgues (1638-1736) ;
- Lyon (1642-1790) ;
- Marseille (1639-1791) ;
- Montluçon (1631-1792) ;
- Moulins (1626-1791) ;
- Neufchâtel-en-Bray (1654-1791) ;
- Nice (1661-1792) ;
- Orgelet (1652-1792) ;
- La Plaine, maison-mère actuelle des bernardines d'Esquermes (1949-actuellement) ;
- Pontarlier (1665-1792) ;
- La Roche-sur-Foron (1626-1792) ;
- Rumilly, la première maison-mère des bernardines réformées (1622-1792) ;
- Saint-Jean-de-Maurienne (1626-1796) ;
- Seyssel (1627-1792) ;
- Toulon (1636-1765) ;
- Vienne (1630-1792) ;
- Voiron (1648-1791) ;
- Yvetot (1660-1780).
En caractères gras, les couvents toujours actifs.
Autres couvents
modifier- Anglet (depuis 1838) ;