Conseil national des femmes d'Irlande

Histoire
Fondation	1973
Sigle	(en) NWCI
Type	Organisation à but non lucratif
Pays	Irlande
Site web	(en) www.nwci.ie

Le Conseil national des femmes d'Irlande^[1]^,^[2] (anglais : National Women's Council of Ireland ; irlandais : Chomhairle Náisiúnta na mBan in Éirinn), abrégé NWCI, est une organisation représentative des femmes et des groupes de femmes en Irlande^[3].

La mission de la NWCI est d'atteindre l'égalité hommes-femmes et de donner aux femmes les moyens de travailler ensemble pour éliminer les inégalités. Il revendique une communauté de 300 000 femmes en république d'Irlande^[4].

La NWCI a travaillé progressivement pour approfondir et élargir sa base de membres afin de représenter un large éventail d'intérêts des femmes en Irlande. Il a joué et continue de jouer un rôle déterminant dans l'élaboration du programme pour les droits des femmes en Irlande^[5]. Aux côtés d'autres organisations, il s'est prononcé contre les mesures d'austérité visant les parents seuls et d'autres groupes de femmes vulnérables. La NWCI a subi d'importantes réductions de financement pendant la période d'austérité. Ces derniers temps, la NWCI s'est particulièrement concentrée sur des questions telles que la santé mentale des femmes, la violence et l'obligation de rendre des comptes au gouvernement irlandais dans le cadre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes.

Histoire

En 1973, un groupe de féministes, présidé par Hilda Tweedy de l'Association irlandaise des femmes au foyer, a créé le Conseil pour le statut de la femme, dans le but d'obtenir l'égalité hommes-femmes. Rosaleen Mills en a été la première vice-présidente, succédant à Tweedy en 1976^[6].

Au cours des années 90, les activités du conseil comprenaient le soutien de projets financés par le Fonds social européen et la gestion de programmes et de forums sur les femmes, et le leadership. En 1995, à la suite d'un examen stratégique, il a changé son nom en Conseil national des femmes d'Irlande.

Références

↑ OCDE, La réforme de la réglementation en Irlande 2001, Paris, OCDE, coll. « Examens de l'OCDE de la réforme de la réglementation », 2002, 394 p. (ISBN 9789264293359, lire en ligne ), p. 174
↑ HCDH, « Instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme » , sur docstore.ohchr.org, 4 décembre 2019 (consulté le 26 mars 2023)
↑ « Archived copy » [archive du 13 décembre 2012] (consulté le 29 décembre 2012)
↑ Beesley, Arthur, « Vulnerable women blamed for maternity cutbacks », The Irish Times, Dublin,‎ 3 juin 2004
↑ (en) Cullen et Murphy, « Gendered Mobilizations against Austerity in Ireland », Gender, Work & Organization, vol. 24, n^o 1,‎ 1^er janvier 2017, p. 83–97 (ISSN 1468-0432, DOI 10.1111/gwao.12154, lire en ligne)
↑ Evers, « Mills, Rosaleen Patricia Broughton », Dictionary of Irish Biography - Cambridge University Press, 2019 (consulté le 16 avril 2020)

Liens externes

(en) Site officiel

[OCDE_2002-1] OCDE, La réforme de la réglementation en Irlande 2001, Paris, OCDE, coll. « Examens de l'OCDE de la réforme de la réglementation », 2002, 394 p. (ISBN 9789264293359, lire en ligne ), p. 174

[HCDH_2019-2] HCDH, « Instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme » , sur docstore.ohchr.org, 4 décembre 2019 (consulté le 26 mars 2023)

[nw-3] « Archived copy » [archive du 13 décembre 2012] (consulté le 29 décembre 2012)

[vul-4] Beesley, Arthur, « Vulnerable women blamed for maternity cutbacks », The Irish Times, Dublin,‎ 3 juin 2004

[auto-5] (en) Cullen et Murphy, « Gendered Mobilizations against Austerity in Ireland », Gender, Work & Organization, vol. 24, n^o 1,‎ 1^er janvier 2017, p. 83–97 (ISSN 1468-0432, DOI 10.1111/gwao.12154, lire en ligne)

[6] Evers, « Mills, Rosaleen Patricia Broughton », Dictionary of Irish Biography - Cambridge University Press, 2019 (consulté le 16 avril 2020)

[1]

[2]

[3]

[4]

[5]

[6]