Conliège
Conliège est une commune française, située dans le département du Jura, dans la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la Communauté de Communes ECLA.
Conliège | |||||
Vue générale de Conliège | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Jura | ||||
Arrondissement | Lons-le-Saunier | ||||
Intercommunalité | Espace Communautaire Lons Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Cordellier 2020-2026 |
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Code postal | 39570 | ||||
Code commune | 39164 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
656 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 39′ 20″ nord, 5° 36′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 302 m Max. 550 m |
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Superficie | 6,05 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Lons-le-Saunier (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lons-le-Saunier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Poligny | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Jura
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Ce village d'un peu plus de 700 habitants au début des années 2000— et qui a quelques atouts esthétiques[1] — essaie de compenser une perte d'activité capturée par la zone commerciale proche de Lons-Perrigny. Les habitants se nomment les Conliègeois et Conliègeoises.
Géographie
modifierCommunes limitrophes
modifierGéologie
modifierLe territoire communal repose sur le bassin houiller du Jura, où le charbon est découvert par un sondage[2].
Transports
modifierConliège fait partie des communes autour de Lons-le-Saunier bénéficiant de bus du réseau Tallis-Malis. Le village était autrefois desservi par les chemins de fer vicinaux du Jura.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 353 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,6 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Conliège est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lons-le-Saunier[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), prairies (12,4 %), zones urbanisées (7,7 %), cultures permanentes (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %), terres arables (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Tourisme, histoire et héraldique
modifierTourisme
modifierLe bourg de type village-rue se développe en longueur dans un schéma en Y dont l’une des branches suit le ruisseau - la Vallière - et l’autre prend en écharpe le versant de la reculée. La partie basse, dont les noms des rues sont sans ambigüité - Rue Basse et Rue Neuve - offre un voyageur un paysage bâti caractéristique des XIXè et début du XXè siècles, tandis que la rue montante, la rue Haute, est bordée de bâtiments généralement plus anciens. Distribuées selon un plan d’urbanisation mitoyenne et serré, les façades XVIIIè y dominent. Mais de nombreuses portes cochères et ouvertures portent soit à la clef, soit au linteau une date plus ancienne, XVIe ou du XVIIe siècles. Cette abondance de marques dans l’architecture est un indice fort d'une forme d'aisance que la ville a connu à l’Époque moderne, plusieurs grandes familles locales y ayant élu domicile[16]. La rue Haute qui s’est appelée un moment Grand’Rue est potentiellement une des plus belles rues du département du Jura. La famille seigneuriale de Binans (aussi Binan ou Binand), y tint justice dans une maison encore visible (porte cochère remarquable). L’habitat ancien de Conliège exhibe clairement ce moment d’expansion sociale qui a fait entrer définitivement la Franche-Comté dans la sphère économique française. Divers monuments s’ajoutent à la palette : l’Eglise Notre-Dame, située au nœud du “Y”, flanquée de la mairie et du monument-aux-morts, borde la place qui est bercée par les trois filets d’eau qui dégueulent (sens propre, sens ancien) des dauphins de la fontaine d'époque Louis-Philippe. Une maison dite Maison de la Familiarité qui fonctionnait avec l’église borde l’autre côté de cette place. En haut de la rue Haute, une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lorette précède une fontaine-captage de style belle-époque. L’ouvrage le plus populaire est sans doute l’ermitage (écriture ancienne : hermitage) qui, perché haut sur le versant nord de l’entrée de la reculée, est accessible par un chemin de randonnée qui conduit à Saint-Étienne-de-Coldre. Trois oratoires sont dispersés sur le territoire de la commune : celui de Sainte Anne (lien ici) sur le chemin qui monte à l'ermitage, celui du Saint-Esprit, face aux n°s 44 et 46 la rue Haute et celui de Saint-Roch dont le Saint qui fut vénéré pour éloigner la peste a disparu. Malgré un plan de circulation difficile à gérer, la promenade dans les rues de Conliège est plaisante. Ajoutons que les gares, gardes-barrières, tunnels et viaducs des voies ferrées qui bordent la Voie Verte conduisant de Perrigny à Revigny et au-delà de Louhans à Clairvaux-les-Lacs offrent au promeneur un parcours en pente douce des plus variés.
Histoire
modifierLe bourg de Conliège, qui a compté plus de 1 000 habitants au début du XIXe siècle[17], est un passage naturel entre la ville de Lons-le-Saunier et le premier plateau jurassien par la reculée de Revigny. À la réforme cantonale de 2014, qui verse le village dans le nouveau canton de Poligny, Conliège perd son étiquette de chef-lieu de canton. En voie de devenir une cité résidentielle à la périphérie de Lons-le-Saunier, la « ville » ou « villette » (même source) a compté tous les corps de métier. La commune déborde sur un important espace agricole situé sur le plateau. La vigne occupait la quasi-totalité des versants. Cette culture a régressé brutalement à la suite de la crise du phylloxéra de la fin du XIXe siècle. Abandon accéléré par les conséquences des deux guerres mondiales du XXe siècle qui - outre la décimation de la population mâle en 1914-18 - ont empêché la reprise économique et accéléré l'exode rural vers la ville proche (6 km). Deux voies ferrées ont desservi Conliège « en bas » (le Tramway ou Tacot) et « en haut » (le train) pendant un peu plus d'un demi-siècle, le « train » à voie standard ayant mieux résisté (dernière circulation 1953[18]) que le Tram. Au début du XXIe siècle, la vigne retrouve progressivement une place notable sur les coteaux et la démographie se relève assez nettement. Plusieurs lotissements, dont certaines maisons ont pris soin de prendre un peu de cachet, se déploient à l’écart de la voie de circulation principale (la RD 678).
En 2014, le village ainsi que celui de Perrigny ont accueilli la 18e Percée du vin jaune. 43 000 personnes ont participé à cette manifestation ; Jean-François Stévenin en était le parrain.
Héraldique
modifierPolitique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2021, la commune comptait 656 habitants[Note 5], en évolution de −3,24 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierCulture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifier- Nécropole tumulaire de Conliège (VIe-Ve s av. J.-C.), au lieu-dit "la Croix des Monceaux", inscrit au titre des monuments historiques depuis 1993[24].
- Église de l'Assomption de Conliège incluant l'église de l'Assomption (XIVe-XVIe-XVIIe-XVIIIe), Place de l'Église, inscrit au titre des monuments historiques depuis 2009[25].
- Ermitage de Conliège Saint-Étienne (XVIIe), à Coldre[26], inscrit au titre des monuments historiques depuis 1998[27].
- Oratoire Saint-Roch (XVIIe), au lieu-dit "à Vertancul", inscrit au titre des monuments historiques depuis 2009[28].
- Chapelle Notre-Dame-de-Lorette (XVIIe), Rue Haute, inscrite à l'IGPC depuis 1986[29].
- Oratoire du Saint-Esprit (XVIIIe), Rue Haute, inscrit à l'IGPC depuis 1986[30].
- Presbytère (XVIIIe), Rue Haute, inscrit à l'IGPC depuis 1986[31].
- Croix de chemin (XIXe), Rue Basse, inscrite à l'IGPC depuis 1986[32].
- Oratoire Sainte-Anne (XIXe), au lieu-dit "Sainte-Anne", inscrit à l'IGPC depuis 1986[33].
Patrimoine civil
modifier- Maisons vigneronnes (XVe-XVIe-XVIIIe), dont la moitié se trouvent Rue Haute, inscrites à l'IGPC depuis 1986[34],[35],[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43],[44],[45],[46],[47],[48].
- Ancienne Maison de la Familiarité (XVIIIe), Place de l'Eglise, dont le portail est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1970[49].
- Maison de la Familiarité (XVIIIe), Rue Haute, inscrite à l'IGPC depuis 1986[50].
- Fontaine (XIXe), Place de l'église, inscrite à l'IGPC depuis 1986[51].
- Moulin du Salot (XIXe-XXe), Rue Basse, inscrit à l'IGPC depuis 1995[52].
- Tunnel piétonnier sous-ferroviaire des Cent Marches (XIXe)[53].
Patrimoine naturel
modifier- Reculée de Vertancul.
- Reculée de Revigny.
- Ruisseaux Vallière et Diane.
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Ermitage de Conliège.
-
Vue depuis l'Ermitage de Conliège en direction de Lons-le-Saunier.
Personnalités liées à la commune
modifier- Mile (ou Emiland) Pariset (XVIe s), archiprêtre et chancelier de l'église de Mâcon.
- Louis Nachon (1898-1983), député sous la troisième République.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Lons-le-Saunier, il y a une ville-centre et dix communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Chaffanjon, « pages perso », Autour de Conliège, deux vallées, deux voies ferrées, Août 2013, consulté le 1er novembre 2014
- Georges Lienhardt, Géologie du bassin houiller stéphanien du Jura et de ses morts-terrains, Éditions Technip Chambéry, Impr. réunies, coll. « Mémoires du BRGM », , p. 39, figure 15.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Conliège et Montmorot », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lons le Saunier », sur la commune de Montmorot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lons-le-Saunier », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Conliège ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Rousset, A. Dictionnaire historique, géographique et statistique des communes de la Franche-Comté, département du Jura. Besançon: Bintot. Vol. II. 1854, p. 275
- Rousset, A. Dictionnaire historique, géographique et statistique des communes de la Franche-Comté, département du Jura. Besançon: Bintot. Vol. II. 1854, p. 272-281
- Daniel Chaffanjon, déjà cité
- Bernard Girard, « Alain Brune (1944-2006) », Racines Comtoises, 20 décembre 2008, consulté le 8 mai 2010
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Nécropole », notice no PA00125403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise de l'Assomption », notice no PA39000091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site de l'Ermitage
- « Ermitage », notice no PA000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Saint-Roch », notice no PA000092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Notre-Dame-de-Lorette », notice no IA00015011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire du Saint-Esprit », notice no IA00015012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00015014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix », notice no IA00015033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Sainte-Anne », notice no IA00015036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maisons 1 à 16 », notice no IA00015016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 17 », notice no IA00015018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 18 », notice no IA00015020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 19 », notice no IA00015021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 20 », notice no IA00015022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 21 », notice no IA00015023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 22 », notice no IA00015024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 23 », notice no IA00015025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 24 », notice no IA00015026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 25 », notice no IA00015027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 26 », notice no IA00015028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 27 », notice no IA00015029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 28 », notice no IA00015030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 29 », notice no IA00015031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 30 », notice no IA00015032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de la Familiarité, Place de l'Eglise », notice no PA00101837, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de la Familiarité, Rue Haute », notice no IA00015013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine », notice no IA00015034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin », notice no IA39000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Boucle du Tunnel des 100 Marches: C'est En France, « Tunnel des cents marches (Conliège) » (consulté le ).