Colligis-Crandelain

commune française du département de l'Aisne

Colligis-Crandelain est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Colligis-Crandelain
Colligis-Crandelain
Mairie de Colligis-Crandelain.
Blason de Colligis-Crandelain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Laon
Maire
Mandat
Serge Juilliart
2020-2026
Code postal 02860
Code commune 02205
Démographie
Population
municipale
213 hab. (2021 en évolution de −8,58 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 36″ nord, 3° 38′ 28″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 194 m
Superficie 6,53 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Laon-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Colligis-Crandelain
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Géographie

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Cartographies de la commune
 
  La commune dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique

Localisation

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  Lierval Monthenault  
Trucy N
O    Colligis-Crandelain    E
S
Chevregny Braye-en-Laonnois Pancy-Courtecon

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ailette, la rigole d'alimentation de l'Ailette[1], le canal 01 des Tourbières[2], le canal 03 des Tourbières[3], le cours d'eau 01 de la Vallée du Tambour[4], le cours d'eau 01 du Moulin d'Ecouffeaux[5], le fossé 01 de la commune de Colligis-Craindelain[6], le ruisseau du Moulin Deduits[7] et le ruisseau du Pre Berton[8],[9],[Carte 1].

L'Ailette, d'une longueur de 59 km, prend sa source dans la commune de Sainte-Croix et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Quierzy, après avoir traversé 36 communes[10]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ailette sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,459 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 3,44 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 4,42 m3/s, atteint le [11].

 
Réseau hydrographique de Colligis-Crandelain[Note 2].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le plan d'eau de la commune de Pancy-Courtecon, d'une superficie totale de 0,3 ha (0,2 ha sur la commune)[Carte 1],[12].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martigny-Courpierre à 3 km à vol d'oiseau[15], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Colligis-Crandelain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[20]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40 %), forêts (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), zones urbanisées (7,5 %)[23].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Colligis est attesté sous les formes Curlegis (1136) ; Corlegis (1196) ; Corlegis-in-Laudunesio, Coullegis (1233) ; Territorium de Courlegis (1242) ; Corliegis (1243) ; Courliegis (1261) ; Collegis (1393) ; Coulliegis (1405) ; Coilliegis (1411) ; Couliegis (1413) ; Coulliegy (1519) ; Colliegis (1554) ; Coulligis (1617) ; Coulliegis (1630) ; Coilegis (1675) ; Coilligis (1690) ; Couïllegis (1709)[24].

Crandelain est attesté sous les formes Cruandelen, Cruandelein (1136) ; Parrochia de Crandelain (1145) ; Communia Crandelanii (XIIIe siècle) ; Crandelein (1261) ; Grandelayn (1263) ; Communia de Croandelain (1285) ; Crandelin (XIIIe siècle) ; Grandelaing (1405) ; Crandelain-en-Laonnois (1470) ; Grandelain (1579) ; Crendelain[25].

Histoire

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  • Crandelain fusionna, entre 1790 et 1794, avec la commune de Malval, pour former la commune de Crandelain-et-Malval.

D´origine plus récente que Crandelain, Colligis n´était qu´un hameau au XIIe siècle, dépourvu de chapelle ; elle lui est adjointe en 1196.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Colligis-Crandelain est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Laon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aulnois-sous-Laon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[20]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Laon-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[20], et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2008 Georges Hébert    
mars 2008[28] juillet 2020 Catherine Harant DVG Réélue pour le mandat 2014-2020[29]
juillet 2020 En cours
(au 28 juillet 2020)
Serge Juilliart   Cadre retraité

Démographie

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Évolution

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 213 habitants[Note 4], en évolution de −8,58 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
195200174181232191206206205
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
215220218221213212197182180
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
18516816094170170136133131
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
155133144145152145152148181
2015 2020 2021 - - - - - -
233219213------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Crandelain-et-Malval

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Avant d'être rattachée à Colligis, Crandelain-et-Malval était une commune indépendante avec sa propre démographie.

Évolution de la population de Crandelain-et-Malval
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
208229236246242239245251238
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
223206190201191178162173142
1901 1906 1911 1921 - - - - -
15415314731-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates antérieures : habitants
(Source : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1921[34])

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Jean-Baptiste Sébastien Bréval, compositeur et violoncelliste auteur d'un Traité de violoncelle op. 42 (toujours utilisé) édité à Paris au Métronome, Émile Benoit éditeur - cessionnaire éditions Francis Salabert.

Il est né à Paris le et décédé à Colligis le [35].

Il fut très populaire en son temps. Il créa de nombreuses œuvres innovantes. Seule sa sonate en do est encore jouée souvent de nos jours. Il n'existe pas de biographie importante disponible de ce compositeur aux « mélodies élégantes » (cf. Alain Pâris).

Une autre source d'information existe dans Le Dictionnaire de la Musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles sous la direction de Marcelle Benoit (Ed. Fayard 10/1992).

Un article de Carl de Nys qui lui est consacré nous apprend entre autres que « son traité de violoncelle fut édité en 1804 chez Imbault à Paris [ce qui n'est pas conforme aux mentions imprimées sur l'exemplaire cité plus haut]. Sa production musicale comporte cinq symphonies concertantes, sept concertos pour violoncelle, des quatuors concertants et dialogués dans lesquels le premier violon peut être souvent remplacé par une flûte, des duos, des sonates, etc. » [36].

On peut également trouver des articles concernant Bréval dans le Dictionnaire de la musique française, collection Références sous la direction de Marc Vignal chez Larousse, 1988, extraits du dictionnaire en deux volumes publié par Larousse en 1982[37].

Héraldique

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  Blason
Parti : au 1er d'argent à deux épées de gueules passées en sautoir, surmontées d'une losange du même, soutenues du mont de trois coupeaux de sinople, ouvert du champ et mouvant de la pointe, au 2e d'azur à la crosse d'or et à la fleur de lys du même brochant sur la pointe de la crosse et à la rivière ondée en fasce d'argent brochante[38].
Ornements extérieurs
Deux croix de guerre 1914-1918[39]
Détails
Le parti dextre concerne Colligis et le parti senestre Crandelain.
Au 1er du parti, les deux épées rappellent les combats de 1914-1918. La losange est empruntée à la famille de Lespinay, originaire du Vermandois, seigneur de Colligis de 1750 jusqu'à la Révolution et qui portait : d'argent à trois losanges de gueules. Le mont ouvert du champ représente la carrière du mont de Colligis célèbre pour son banc de calcaire grossier exploité dès le haut Moyen Âge.
Au 2e du parti, la crosse fait référence à l'abbaye Saint-Jean de Laon, propriétaire du village jusqu'à la Révolution et qui portait : d'azur à une crosse d'or posée en pal, cantonnée de quatre fleurs de lys du même et chargée sur le fut de deux autres fleurs de lys aussi d'or brochant sur le tout.
La fasce ondée représente la rivière Ailette qui traverse la commune.
Blason adopté par la municipalité en 1931.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 02/03/2024 à 03:06 TU à partir des 172 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1988 au 01/07/2002.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Colligis-Crandelain » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la rigole d'alimentation de l'Ailette »
  2. Sandre, « le canal 01 des Tourbières »
  3. Sandre, « le canal 03 des Tourbières »
  4. Sandre, « le cours d'eau 01 de la Vallée du Tambour »
  5. Sandre, « le cours d'eau 01 du Moulin d'Ecouffeaux »
  6. Sandre, « le fossé 01 de la commune de Colligis-Craindelain »
  7. Sandre, « le ruisseau du Moulin Deduits »
  8. Sandre, « le ruisseau du Pre Berton »
  9. « Fiche communale de Colligis-Crandelain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  10. Sandre, « l'Ailette »
  11. « Station hydrométrique « L'Ailette à Colligis-Crandelain [Crandelain]» », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  12. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Colligis-Crandelain et Martigny-Courpierre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Laon », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 73.
  25. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 84.
  26. « communauté d'agglomération du Pays de Laon - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  28. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  29. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Crandelain-et-Malval », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  35. Source : Alain Pâris, Dictionnaire encyclopédique de la musique Tome I - Robert Laffont
  36. Cet article fait des références bibliographiques intéressantes :
    Honneger, Marc [Ed.] Dictionnaire de la Musique - Paris, Bordas, 1979, 4 vol.
    Sadie, Stanley [Ed.] The New Grove Dictionary of Music and Musicians - London, Macmillan, 1980, 20 vol.
    Brook, Barry S. La Symphonie française dans la seconde moitié du XVIIIe siècle - Paris, publications de l'Institut de Musicologie de l'Université de Paris, 1962, 3 vol., XXIV-684 P.,VIII-726 p., 231p.
  37. De nos jours, tous les élèves de conservatoires et d'écoles de musique utilisent ce traité avec bénéfice et plaisir. Il est dommage pour les mélomanes que les œuvres de ce compositeur ne soient pas plus largement diffusées en concert et en enregistrements. Informations collectées le 13 février 2008 à Paris.
  38. « 02205 Colligis-Crandelain (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  39. La commune porte deux croix de guerre 1914-1918 en raison de ses communes fondatrices, Colligis et Crandelain-et-Malval. Colligis-Crandelain est née en 1923 de la fusion de ses deux communes par le décret du , qui ont reçu chacune la croix de guerre 1914-1918 en 1920.