Liste d'accidents aériens jusqu'en 1949

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Cette liste non exhaustive d'accidents aériens présente les cas disposant de sources sérieuses consacrées au sujet, reprenant les données relatives au vol (compagnie, type d'avion, au départ de, à destination de…), les circonstances de l'accident, des données relatives à l'enquête, ses conclusions, le nombre de victimes et, le cas échéant, leurs qualités (personnalités).

En matière de statistiques des accidents aériens, année après année, il est également utile de savoir que la Flight Safety Foundation (en), créée aux États-Unis en 1947 et qui fait référence sur le sujet au niveau mondial, écarte de toute statistique d’accidents d’« avions de ligne » les aéronefs de moins de 15 passagers, ainsi que ceux à usage militaire, ce qui réduit, par exemple, de moitié les accidents listés ci-dessous pour 2014. Cette limite imposée est justifiée pour ne pas devoir prendre en compte les dizaines, voire les centaines de petits avions (type Piper, Cessna, avion d’affairesetc.) qui s'écrasent chaque année dans le monde, ni les avions militaires qui sont plus ou moins associés et de façon mal définie aux zones de conflits armés, les statistiques retenues par la Fondation ne concernant plus en finale que les avions de transport intéressant la catégorie la plus large des usagers.

Avant 1800

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Années 1780

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De 1800 à 1899

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Années 1890

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  •  : Otto Lilienthal, pionnier de l'aéronautique se tue au cours du quatrième vol en planeur qu'il effectue à Rhinow (Allemagne). Son appareil connaît une perte de sustentation que le pilote allemand n'arrive pas à rétablir. Il chute d'une hauteur d'environ 15 mètres, sans avoir quitté le planeur. Lilienthal souffre d’une fracture de la troisième vertèbre cervicale et tombe rapidement inconscient. Il meurt le lendemain[2].

De 1900 à 1949

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Années 1900

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  •  : sur le terrain de Port-Aviation (Essonne) Eugène Lefebvre est le premier pilote au monde à mourir aux commandes d'un avion motorisé[4].
  •  : à Nice, le constructeur et aviateur espagnol Antonio Fernandez, également tailleur pour dames, chute mortellement[5]. Il est le premier aviateur espagnol tué dans l'activité aérienne[6].
  •  : Mariano de Pola, pilote espagnol et Alexandre Laffont, chef pilote des aéroplanes Antoinette, se tuent au décollage d'Issy-les-Moulineaux, en route pour un raid de Paris à Bruxelles[7].

Années 1910

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  •  : à Saint-Sébastien, en Espagne, Hubert Le Blon, né en 1872, breveté n°38 le 8 mars 1910, fait une chute mortelle dans l'océan[8] en préparant un meeting. C'est le premier accident aérien en terre espagnole.
  •  : à bord d'un Blériot type XI, Jorge Chávez Dartnell passe le col du Simplon et est ainsi le premier à franchir la barrière sud des Alpes par la voie des airs. Mais après 42 minutes de vol, il s'écrase au sud de Domodossola. Alors qu'il tentait d'atterrir et ne se trouvait plus qu'à 20 m du sol, les ailes de son avion se sont brisées. Il succombe à ses blessures quatre jours plus tard[9].
  •  : à Milan, première collision aérienne historique entre le monoplan Antoinette IV (en) du pilote René Thomas et le biplan Farman du capitaine Bertram Dickson. Tous deux s'en sortent mais le second est sérieusement blessé et mourra trois ans plus tard.
  • 21 mai 1911 : Le départ de la course Paris-Madrid est endeuillé par la « catastrophe d'Issy-les-Moulineaux », lorsqu'un concurrent (Louis Émile Train), victime d'ennuis de moteur et cherchant à se reposer, s'abat sur les officiels, tuant le ministre de la Guerre et blessant gravement le président du Conseil.
  •  : pionnier de l'aviation militaire espagnole, le capitaine Celestino Bayo Lucía, né en 1880, breveté en 1912 avec la deuxième promotion de pilotes militaires, meurt à l'aérodrome Cuatro Vientos de Madrid, dans le premier accident aérien mortel militaire de l'armée d'Espagne[10],[11]. Il s'agit du troisième accident aérien à l'aérodrome de Madrid et du troisième aviateur espagnol tué, après Antonio Fernandez et Mariano de Pola[6]. Ce drame mortel suscite la prise de conscience des risques aériens dans ce pays.
  •  : la première femme brevetée au monde, Élisa Deroche, meurt au cours d'un vol d'entraînement, sur un prototype Caudron près du Crotoy. Elle n'était pas aux commandes de l'aéronef[12].

Années 1920

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Le Ca Noviplano 60 après l'accident.
  •  : l'hydravion Caproni Ca Noviplano 60, surnommé le « Capranissimo », conçu par le comte Gianni Caproni, s'abîme sur les eaux du lac Majeur pour son premier vol d'essai, après avoir atteint 60 pieds (soit 18 mètres) d’altitude. Imaginé pour des vols transatlantiques, cet hydravion de tous les superlatifs, au fuselage géant, est un véritable mastodonte : il est doté de huit moteurs Liberty V12 d’une puissance de 400 chevaux chacun, de trois paires d’ailes triplans, pour une longueur de 23,5 mètres et une envergure de 30 mètres. La capacité prévue pour cet hydravion était d’une centaine de passagers. Après l'accident, dû à une mauvaise répartition du lest et un défaut de maîtrise du pilote, l’appareil sera récupéré, mais finira en cendres, prenant feu lors des réparations. Le pilote, le capitaine Semprini, est indemne[14].
  •  : le dirigeable Italia en vol dans le mauvais temps au-dessus du pôle Nord se brise sur la glace à la suite d'une descente incontrôlable.
  •  : à Rio de Janeiro, un hydravion dans lequel avait pris place l’élite intellectuelle du Brésil pour saluer à son arrivée au pays natal le « père de l’aviation », Santos-Dumont, s’abîme dans l’océan à proximité du paquebot Cap Arcona.

Années 1930

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  •  : Deux avions entrent en collision (des Stinson SM-1F Detroiters) au large de Santa Monica lors du tournage d'un film : 9 morts[15]; la cause de l'accident est probablement liée à un éblouissement dû au soleil.
  •  : le dirigeable britannique R101 à destination de Karachi s’écrase sur une colline d'Allonne près de Beauvais (48 morts).
     
    Carcasse du R101 quelques jours après l'accident.
  •  : lors d'un meeting aérien, un avion s'écrase à Hirson (Aisne, France) tuant six personnes[16].
  •  : un Nieuport-Delage D641 s'écrase à Lus-la-Croix-Haute (Drôme, France) occasionnant le décès de trois personnes.
  •  : deux Levasseur PL 10 appartenant à l'escadrille 7S1 du porte-avions Béarn se heurtent en vol au-dessus du village de Pierrefeu-du-Var, à quelques kilomètres au nord de Hyères. Les débris des deux appareils s'écrasent dans un champ de vigne à 300 mètres du village. Des épaves, les villageois retirent les corps des Mt (Maitres) pilotes Lucien Ducreux et Charles Vautrin, du QM mecbo (Quartier Maitre Mécanicien de bord) Yves Bourigan et du QM radbo (Quartier Maitre Radio de bord) Pierre Fayet. Miraculeusement, deux hommes ont survécu, le QM mecbo Emile Bourgand, retrouvé légèrement blessé dans l'un des fuselages, et le QM (Quartier Maitre) arrimeur volant Charles Saliou qui a pu sauter en parachute[17].
  • : Juste après avoir décollé à proximité de Lisbonne, un petit avion heurte un obstacle. Le pilote Juan Antonio Ansaldo survit à son unique passager, le général espagnol rentrant d'exil José Sanjurjo, qui meurt dans l'accident. La thèse la plus courante est que Sanjurjo avait insisté pour emporter beaucoup de bagages, dont des uniformes prestigieux, et ce malgré l'avis du pilote. De plus, les autorités portugaises avaient souhaité que l'avion ne décolle pas du principal aéroport de Lisbonne, mais d'un endroit plus discret (muni d'une piste plus courte), ceci afin d'éviter toute implication dans le soulèvement nationaliste des 17 et 18 juillet 1936 en Espagne, dont Sanjurjo devait être la figure de proue. De ce fait, l'avion n'avait pas pris assez de hauteur en fin de piste[18].
  •  : Le prototype du chasseur américain Northrop XFT s'écrase dans les monts Allegheny alors qu'il participait au développement du chasseur terrestre XP-948. Son pilote fut tué.
  •  : Alors qu'il effectue sa 24e traversée de l'atlantique sud entre Dakar (Sénégal) et Natal (Brésil), Jean Mermoz disparaît en mer à bord d'un Latécoère 300 baptisé « la Croix-du-Sud ». Ont embarqué avec lui Alexandre Pichodou, copilote, Henri Ézan, navigateur, Edgar Cruvelhier, radio, et Jean Lavidalie, mécanicien. À 10 h 43, Edgar Cruvelhier lance en morse le dernier message radio depuis la Croix-du-Sud : « Avons coupé moteur arrière droit », sans détail supplémentaire, et complète en répétant les coordonnées de position : 11°08 Nord, 22°40 Ouest. Malgré de nombreuses recherches maritimes, on ne retrouva aucune trace de l'appareil ni de son équipage.
 
L'incendie du Hindenburg.

Années 1940

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  •  : Collision aérienne de Brocklesby - deux avions entrent en collision et s'encastrent l'un dans l'autre. Ils arrivent miraculeusement à atterrir sans faire de morts. Les deux avions reprennent du service après réparation.
  • Le , le Vol BOAC 777, un Douglas DC-3 de la BOAC, est attaqué par huit chasseurs-bombardiers à long rayon d'action allemands Junkers Ju 88C-6[20], au large de la côte française dans le golfe de Gascogne, entraînant la mort des 17 personnes à bord parmi lesquels l'acteur Leslie Howard.
  • 11 novembre 1943, un appareil de la Royal Air Force percuta à environ 2 400 mètres d'altitude le Monte Cardo, à Venaco près de Corte (Corse). L'équipage composé de six hommes a été tué. Dans les milieux techniques compétents on attribue l'accident outre à la mauvaise visibilité, au fait que le quadrimoteur sinistré n'a pris aucun contact au sol avec les postes français et survolait à une altitude dangereuse la vallée du Mont Cardo qu'entourait un nuage épais.
  •  : un B-24 qui transporte 13 000 litres de carburant et 230 kilos de bombes s'écrase au décollage après avoir heurté un arbre près de l'aérodrome de Nadzab en Papouasie-Nouvelle-Guinée, récemment conquis et remis en état fonctionnel lors de la bataille de Nadzab, et répand du carburant enflammé sur une large superficie. Les 11 membres de l'équipage américain ainsi que 59 soldats australiens qui se trouvent dans la zone sont tués sur le coup ou des suites de leurs blessures, et 92 autres Australiens sont blessés.
  • Un avion de la RAF s'est écrasé le . Un Douglas Boston IIIA venant de Gibraltar au Royaume-Uni. Près de Porto, il a eu des problèmes de moteur et le pilote a décidé de repartir. Près de Tavira, l'équipage a sauté en parachutes et abandonné l'appareil qui a fini par s'enflammer et s'écraser à Monteiro près de Murta au Portugal. Il y a encore les cratères et le chemin ouvert par l'armée portugaise lors du sauvetage de l'épave.
  •  : Le Lightning F5-B d'Antoine de Saint-Exupéry s’abîme en mer. En mission de reconnaissance et d'observation photographique en vue de préparer le débarquement en Provence, il avait quitté Borgo (Haute-Corse) en direction des Alpes. Le pilote allemand et futur animateur de la ZDF, Horst Rippert (frère autodéclaré d'Ivan Rebroff), prétendit 64 ans après les faits avoir abattu l'avion tandis qu'il était aux commandes d'un Messerschmitt Bf 109 : « Si j'avais su que c'était Saint-Exupéry, l'un de mes auteurs préférés, je ne l'aurais pas abattu », a-t-il déclaré. En 1998, un chalutier remonte la gourmette de Saint-Exupéry. En 2000, le plongeur marseillais, Luc Vanrell identifie l'épave au large de l'île de Riou. Elle est remontée à la surface en 2003. Le numéro de série de la carlingue confirme bien qu'il s'agit du Lightning P38 de Saint-Exupéry[21]. Aucune marque de combat n'est visible.
  • 8 septembre 1944 : une armada composée de 1070 bombardiers et 349 avions de chasse (pour la protection des bombardiers) quitte le sol anglais. Les objectifs principaux du jour, les sites industriels allemands des villes de Ludwigshafen, Karlsruhe, Gustavburg et Cassel. Le B-17G 42-31560 du 351st BG 510th BS fait partie de cette mission. Mais pour cet équipage tout ne se déroule pas comme prévu, le moteur n°3 a des problèmes mécaniques, le pilote quitte la formation afin de larguer ses bombes sur un objectif d'opportunité. Après le largage des bombes, ce sont les moteurs n°2 et n°4 qui ont des ennuis mécaniques, ce qui fait perdre rapidement de l'attitude à l'avion. Une fois sorti des nuages, l'appareil est touché à l'avant du fuselage par la Flak (DCA allemande). Le bombardier finit par s'écraser dans le bois de la localité de Beuvange-sous-Saint-Michel, l'équipage de cet avion perd trois membres dont : Le Sgt. Edward JANCSAK, le S/Sgt. Dewey COOPER, le S/Sgt. Wallace VAN WIRT. Cinq autres membres sont faits prisonniers, et un seul échappe aux Allemands, le Sgt. Donald Freeman ; grâce à l'aide de citoyens français, il regagnera sa base en Angleterre. Le même jour deux autres bombardiers américains finissent leur carrière sur le sol lorrain, le B-17G du 398th BG "Shady Lady'' qui se pose dans un pré à Ley, et le B-24 du 466th BG qui finit également dans un pré à quelques mètres du bois de Vigy.
  •  : Glenn Miller, alors qu'il regagne le continent pour préparer l'arrivée de son orchestre (le « Glenn Miller Army Air Force Band ») disparaît au-dessus de la Manche. Son avion a peut-être emprunté un couloir servant au délestage des bombes pour les avions alliés rentrant en Angleterre.
  • Le à 13 h 24, deux bombardiers lourds B-17 de la 327th bomb squadron du 92e bomb group se heurtent violemment au-dessus de Charleroi, en Belgique. Tout l’équipage du B-17G portant le numéro 44-6584 est tué à l’exception du mitrailleur de queue, le sergent Edward Bartley. Sur l’autre B-17G, portant le numéro 43-38675, il n’y a eu qu’une seule victime : le mitrailleur de tourelle ventrale, le sergent Marschall Dellinger. Les deux appareils ont été entièrement détruits ; les causes de l’accident sont indéterminées[22].
  •  : le Vol 513 TWA, s’écrase près de Reading, en Pennsylvanie à la suite de l'apparition de fumée et d'un feu intense. Sur les six membres d'équipage à bord, cinq sont tués.
  •  : le vol Air France assurant la liaison Copenhague-Paris s'écrase. Pas de survivant parmi les occupants du Douglas DC-3, le bilan est de 22 morts.
  •  : le vol Air France assurant la liaison Paris-Londres s'écrase au Blanc-Mesnil. 19 morts et 7 survivants dans l'appareil accidenté, un Douglas DC-3, on compte en outre un décès au sol.
  • et  : deux accidents ont lieu sur la montagne du Cheval Blanc sur la commune de Thorame-Basse (Basses-Alpes, France). Un C-47 de l’US Air Force égaré dans le mauvais temps s’écrase sur la montagne ; trois jours plus tard, un des B-17 envoyés pour porter secours aux éventuels survivants s’écrase lui aussi. Le premier accident fait 11 morts, le second 9 morts et un survivant.
  •  : Un Bristol en provenance de New Dehli s'est écrasé vers 7 heures du matin en Corse sur le Mont Cardo dans la région sud de Corte aux environs de Venaco. L'appareil a heurté la montagne à 2400 mètres d'altitude, les 19 personnes à bord ont été tuées[23].
  •  : l'hydravion Latécoère 631 d'Air France (en) immatriculé F-BDRC s'abîme dans l'océan Atlantique tuant ses 52 occupants (40 passagers et 12 membres d'équipage). L'appareil effectuait la liaison entre Fort-de-France en Martinique et Port-Étienne (aujourd'hui Nouadhibou) en Mauritanie. Des débris de l'appareil sont retrouvés le 4 août.
  •  : un Beechcraft s'abîme en mer dans la Manche avec à son bord le pilote René de Narbonne, fondateur de l'« Escadrille Mercure » (entreprise privée d'avions-taxis), le radio André Robert et quatre passagers, membres de l'équipe de hockey sur glace tchécoslovaque qui se rendaient à Londres pour une compétition. Les causes de l'accident ne feront l'objet que de suppositions. Les corps et les débris de l'appareil ne seront jamais retrouvés.
 
Le FIAT G-212 du vol spécial Avio-Linee Italiane à l'arrière de la basilique de Superga.

Notes et références

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  1. Stéphanie Meyniel, « Le 15 juin 1785 dans le ciel : Raid France – Angleterre : Pilatre de Rozier et Pierre-Ange Romain s’écrasent », sur air-journal.fr, (consulté le )
  2. Jacques MÉRAND, « LILIENTHAL OTTO (1848-1896) », sur universalis.fr (consulté le )
  3. (en) « Wright brothers - Aviation Pioneers, Flight Experiments, Airplane Design | Britannica », sur www.britannica.com (consulté le )
  4. Jérôme Lemonnier, « Essonne. Découvrez qui a enlevé Florimond Dupré à Viry-Châtillon », sur actu.fr, (consulté le )
  5. « Histoire de l’Aviation de Ader à 1910 – Chute mortelle de l’aviateur Antonio Fernandez | Cartes Postales Anciennes », (consulté le )
  6. a et b (es) « Revue espagnole "Aviacion" du premier juillet 1912 », .
  7. « Le 28 décembre 1910 dans le ciel : Alexandre Laffont et Mariano de Pola se tuent en aéroplane », sur Air Journal, (consulté le ).
  8. « Les cent premiers brevets », sur aviatechno.net (consulté le ).
  9. Bernard Amrhein, « 23 SEPTEMBRE 1910 – JORGE CHÁVEZ DARTNELL, PREMIER AVIATEUR À FRANCHIR LES ALPES », sur pilote-de-montagne.com, (consulté le )
  10. (es) « BAYO LUCIA, Celestino ».
  11. « Celestino Bayo Lucía ».
  12. « Courrier-Service. Histoire : Elise Deroche, première femme pilote », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
  13. « L'humanité du 6 avril 1920, page 2, colonne 5 », .
  14. Air Journal
  15. Rapport de l'accident du 2 janvier 1930
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2966515/f4.zoom.langFR%7CLe Figaro du 7 juillet 1931
  17. « Pages généalogiques de Stéphane LOUIS - Charles VAUTRIN », sur stephane.louis.free.fr (consulté le )
  18. Bartholomé Benassar, Franco
  19. Le Petit Journal du 29 juillet 1937.
  20. Junkers Ju 88C-6
  21. « L'avion de Saint-Exupéry aurait été abattu par un aviateur allemand », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Eric Richard Gaillet, Deux shillings correspondance inédite (collision aérienne de Forchies-la-Marche), Charleston, CreateSpace, , 230 p. (ISBN 978-1-5308-6344-0)
  23. Article du journal et photographies
  24. Ronald D. Neal, « Pioneer Without a Cause », Air Classics, vol. 6, no 4, avril 1970

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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