Chérisy

commune française du département du Pas-de-Calais

Chérisy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Chérisiens.

Chérisy
Chérisy
La mairie.
Blason de Chérisy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Patrick Visentin
2020-2026
Code postal 62128
Code commune 62223
Démographie
Gentilé Chérisiens
Population
municipale
290 hab. (2021 en évolution de −2,68 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 14′ 06″ nord, 2° 54′ 46″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 98 m
Superficie 6,29 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chérisy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chérisy
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Chérisy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Chérisy

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

La commune se situe à 13 kilomètres au sud-est d'Arras (chef-lieu d'arrondissement et aire d'attraction).

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief

modifier

La superficie de la commune est de 6,29 km2 ; son altitude varie de 52 à 98 m[1].

Hydrographie

modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la rivière la Sensée, un cours d'eau naturel non navigable de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[3].

 
Réseau hydrographique de Chérisy[Note 1].

Paysages

modifier

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[4]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records ARRAS (62) - alt : 74m, lat : 50°15'20"N, lon : 2°52'12"E
Records établis sur la période du 01-01-1987 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,4 5,1 8,4 11,2 13,1 13,1 10,7 7,9 4,4 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,3 7,2 10 13,3 16,2 18,4 18,4 15,4 11,5 7,2 4,3 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,2 11 14,9 18,1 21,2 23,6 23,7 20,1 15,2 9,9 6,7 14,8
Record de froid (°C)
date du record
−14,1
12.01.1987
−13,3
07.02.1991
−9,4
13.03.13
−4,4
20.04.17
−1,3
07.05.1997
2,3
05.06.1991
5,1
31.07.15
4,4
02.08.15
0,5
30.09.18
−4
24.10.03
−8,6
24.11.1998
−12,8
29.12.1996
−14,1
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18,2
26.02.19
24,3
31.03.21
26,8
20.04.18
30,5
12.05.1998
34,4
18.06.22
41,7
25.07.19
37,6
06.08.03
34,6
15.09.20
29,3
01.10.11
19,9
07.11.15
16,1
07.12.00
41,7
2019
Précipitations (mm) 56,7 48,7 50,2 42,7 61 60,9 64,9 62,9 57,6 65,4 64 76,4 711,4
Source : « Fiche 62873001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

modifier

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[12].

 
Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme

modifier
 
Une entrée de la commune.

Typologie

modifier

Au , Chérisy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

modifier

Voies de communication

modifier

La commune est à la croisée des routes départementales D 9 et D 38 et se trouve à 3 km de la D 939 qui relie Cambrai et Le Touquet-Paris-Plage[18].

Transport ferroviaire

modifier

La commune se trouve à 13 km au sud-est de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[19].

Toponymie

modifier

Formes successives du nom attestées pour la localité[20],[1]


  • Ceresi, 1104 (cart. de Saint-Amé, fo 1 vo )
  • Cerizi, Cyrisi, XIIe siècle (cart. de Saint-Vaast, p. 271)
  • Cerissi, 1217 (Moreau, t. CXXII, fo 64)
  • Cerisi, 1227 (cart. des chapellenies d’Arr., fo 64 vo )
  • Cherisi, 1359 (Froissart, t. IV, p. 193)
  • Chersy, XIVe siècle (Archives nation., p. 137, fo 32 vo )
  • Cherisie, 1741 (Archives nation., X1a. 9313)
  • Cerisy, XVIIIe siècle (carte de Cassini)
  • Cherisy, 1793
  • Cerisy et Chérisy depuis 1801

Histoire

modifier

Le 22e bataillon de la 5e brigade d'infanterie de la 2e division canadienne d'un effectif de 700 hommes est parti à l'assaut des positions de la ligne Hindenburg tenues par l'Armée impériale allemande dans ce village le 27 août 1918 en fin d'après-midi. Les pertes sont très élevées, il y eut au total (avec les morts de leurs blessures) 123 tués dans ce bataillon et plus de 500 blessés. Le 28 au soir, après avoir pris ce village, il ne restait que 39 hommes valides sous les ordres d’un sergent nommé Joseph Pearson, alors le plus haut gradé du bataillon encore debout, lors de la relève[21],[22].

En mai 1917 des soldats allemands du 114e régiment badois de Constance avaient réussi à reprendre un terrain près de Chérisy qui était tenu par des Britanniques. Les pertes étaient considérables: 168 morts, 335 blessés, 79 disparus. Cette victoire chèrement payée a inspiré l'officier allemand August Leffson à écrire un texte intitulé «Das Lied von Chérisy» [«La chanson de Chérisy»] qui a été mise en musique par Arnold Rust (nl). La mélodie avec un texte assez martial est devenue par la suite l'hymne du régiment. Dans les quatre strophes de la chanson les combattants allemands sont salués successivement comme «les courageux», «les vainqueurs», «les morts» et «les héros» du «régiment vert» (surnom du 114e régiment)[23].

Quand à Constance, pendant le temps du nationalsocialisme, on a construit une nouvelle caserne en 1935/36, on lui donna le nom de «Chérisy-Kaserne» en mémoire de la victoire du 3 mai 1917, glorifiée par la chanson. La caserne fut utilisée par les troupes françaises d'occupation de 1945 à 1977 qui lui donnèrent le nom de «Quartier Bonaparte». Après le départ des Français, ce fut pourtant le nom de «Chérisy» qui survécut quand les casernes furent transformées en bâtiments pour loger les étudiants de l'Université de Constance. Il existe à Constance également une rue de Chérisy («Chérisy-Straße») et une aire de jeux pour enfants qui porte ce nom. Les habitants de Constance en général ne se rendent pas compte de l'origine de la dénomination «Chérisy» dans leur ville[24].

Politique et administration

modifier

Découpage territorial

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités

modifier

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives

modifier

La commune est rattachée au canton de Croisilles, de 1801 à 2014[1] et au canton de Bapaume depuis 2015.

Circonscriptions électorales

modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2004 Marc Savary   Mort en fonction
2004 12 mai 2013[25],[26] Roland Delobelle   Fonctionnaire territorial
Mort en fonction
1 juillet 2013 En cours
(au 5 février 2022)
Patrick Visentin   Responsable de dépôt dans le bâtiment[27]
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

Équipements et services publics

modifier

Justice, sécurité, secours et défense

modifier

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[32].

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Les habitants sont appelés les Chérisiens[33].

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 290 habitants[Note 5], en évolution de −2,68 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390406440500551552557570584
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
588574573567571560524531527
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
486427419196235236230224210
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
200188175189209212253249290
2015 2020 2021 - - - - - -
298290290------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 147 hommes pour 145 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,0 
4,8 
75-89 ans
9,0 
14,4 
60-74 ans
17,4 
21,9 
45-59 ans
20,8 
21,2 
30-44 ans
19,4 
19,9 
15-29 ans
19,4 
17,1 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

modifier

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blason
Écartelé : aux 1er et 4e de gueules à l'écusson d'argent chargé d'un lion du champ, aux 2e et 3e d'azur à la fasce d'or[40].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
  4. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Chérisy et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chérisy ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Dictionnaire topographique de la France - Heuringhem », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  21. « Quand le 22e bataillon (canadien-français) se fit massacrer : la bataille de Chérisy ou la mémoire québécoise impossible », sur carlpepin.com, (consulté le ).
  22. « 1918-CHERISY-2018 - www.cherisy-castor-18.fr », sur cherisy-castor-18.fr via Wikiwix (consulté le ).
  23. Dominik Gügel, Wir waren dabei - Das Konstanzer Infanterie Regiment Nr. 114 und seine Soldaten aus dem Bodenseeraum im Ersten Weltkrieg, Constance 2018, (ISBN 978-3-944741-52-9), pp. 185 -188, avec le texte et les notes de la chanson à la page 186
  24. Voir Dominik Gügel, note no. 13, p.185
  25. « À Chérisy, Roland Delobelle est le maire d'une commune où les jeunes de moins de 12 ans constituent le quart de la population. Autant dire qu'il doit compter avec la jeunesse… : Roland Delobelle a été élu conseiller en 1983, adjoint en 1995 et maire en 2004, à la suite du décès de Marc Savary. Natif d'Athies, où son père Léon fut, pendant trente-cinq ans, élu municipal et président du comité des fêtes tout en épaulant ses cousins maires, Arthur Delobelle et Roland Goubet, il perpétue donc une tradition familiale. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Chérisy: le maire Roland Delobelle est décédé : C'est avec stupeur que les habitants de Chérisy viennent d’apprendre la disparition de leur maire, Roland Delobelle, décédé dans sa soixantième année. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Laurent Boucher, « Le bilan des maires - Chérisy - Patrick Visentin: « Faire bouger plus la commune » : Après le décès brutal de Roland Delobelle le 12 mai, Patrick Visentin a été élu maire le 1er juillet. D’abord deuxième adjoint en 2001 puis premier adjoint, ce responsable de dépôt dans le bâtiment, âgé 54 ans, a été élu par le conseil préalablement complété par l’élection par la population de deux nouveaux conseillers, José Régnier et Freddy Moguet. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. M.-J. A (CLP)., « Chérisy (les projets des maires): la vitesse excessive dans les rues du village est problématique : Chérisy, 307 habitants, fait partie de la communauté de communes du sud Artois. Patrick Visentin a beaucoup de projets pour sa commune. Seul souci, les subventions ne sont pas nombreuses », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chérisy (62223) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  40. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).