Cesare Correnti

politicien italien

Cesare Correnti, né à Milan le , mort à Lesa le , est un patriote et un homme politique italien, sénateur du royaume d'Italie lors de la XVIe législature.

Cesare Correnti
Fonctions
Député
XVe législature du royaume d'Italie
-
Député
XIVe législature du royaume d'Italie
-
Député
XIIIe législature du royaume d'Italie
-
Député
XIIe législature du royaume d'Italie
-
Député
XIe législature du royaume d'Italie
-
Ministre de l'Éducation publique
-
Député
Xe législature du royaume d'Italie
-
Ministre de l'Éducation publique
-
Député
IXe législature du royaume d'Italie
-
Député
VIIIe législature du royaume d'Italie
-
Député
VIe législature du royaume de Sardaigne
-
Député
Ve législature du royaume de Sardaigne
-
Député
IVe législature du royaume de Sardaigne
-
Député
IIIe législature du royaume de Sardaigne
-
Député
IIe législature du royaume de Sardaigne
-
Sénateur du royaume d'Italie
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
LesaVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Cesare CorrentiVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Parti politique
Membre de
Distinctions
Vue de la sépulture.

Biographie

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Cesare Correnti fait ses études à l'université de Pavie. Il est admis en 1833 dans le collège Ghislieri où, grâce à des amitiés et des lectures clandestines, il cultive ses idées politiques et patriotiques[1]. Il devient le collaborateur de la revue Rivista europea.

Cesare s'oppose à la présence autrichienne et, en 1847, il publie de manière anonyme l'Austria e la Lombardia qui est un réquisitoire contre le pouvoir autrichien. Il est un des agitateurs des cinq journées de Milan mais entretient de mauvais rapport avec un autre leader de l'insurrection, Carlo Cattaneo.

Par la suite, il devient président de la Société royale de géographique italienne de 1873 à 1879. Il est ministre de l'Instruction publique du royaume d'Italie dans les gouvernements Ricasoli II et Lanza, mais il démissionne de cette dernière charge en raison d'accusation d'anticléricalisme[2]. Par la suite, il présente un projet de loi pour favoriser l'instruction élémentaire obligatoire.

Distinction

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 : chevalier grand-croix de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare
 
 : chevalier de l'ordre civil de Savoie
 
 : chevalier grand-croix de l'ordre de la Couronne d'Italie
 
 : officier de l'ordre national de la Légion d'honneur

Ses œuvres

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Liens externes

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Sources

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Notes et références

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  1. Arianna Arisi Rota, Il Collegio Ghislieri della Restaurazione (1818-1848): fermenti di dissenso e tentativi di controllo governativo, «Annali di Storia delle Università italiane», vol. 7 (2003)
  2. AA.VV, Storia d'Italia, Novare, DeAgostini, (ISBN 88-402-9440-6), p. 170