Causes perdues et musiques tropicales
Causes perdues et musiques tropicales est le dix-neuvième album de Bernard Lavilliers enregistré en studio, paru le .
Sortie | |
---|---|
Durée | 41:55 |
Genre | Chanson française |
Producteur | Sylvain Taillet |
Label | Barclay |
Albums de Bernard Lavilliers
Pour la chanson d’ouverture du disque, Lavilliers retrouve Bonga Kuenda, importante figure de la musique angolaise avec qui il a déjà travaillé en 1988. Le titre de l'album vient d'une discussion avec François Mitterrand dans les années 1980. Alors invité au ministère de la Culture en compagnie d'autres artistes, Lavilliers se voit demander par le Président de la République ce qu'il fait de ses journées. Il répond à cela « comme toujours, je chante des causes perdues sur des musiques tropicales » [1].
Pistes
modifier- Angola, en duo avec Bonga Kuenda dit « Bonga » — (Bonga Kuenda - Bernard Lavilliers / Bonga Kuenda) — 4:05
- L'Exilé — (Bernard Lavilliers / Bonga Kuenda - Bernard Lavilliers) — 3:14
- Causes perdues, avec Spanish Harlem Orchestra — (Bernard Lavilliers / Bernard Lavilliers - Xavier Tribolet, arrangement de Oscar Hernández) — 5:26
- Je cours — (Bernard Lavilliers, arrangement Fred Pallem) — 4:31
- Sourire en coin — (Bernard Lavilliers / Alain Antonelli) — 4:04
- Possession — (Adaptation : Bernard Lavilliers sur les motifs de Alfonsina y el mar (Ariel Ramirez / Félix Luna) — 3:07
- La nuit nous appartient — (Bernard Lavilliers / Teófilo Chantre) — 3:21
- Coupeurs de cannes — (Bernard Lavilliers / Mino Cinelu) — 3:23
- Identité nationale — (Bernard Lavilliers / Mino Cinelu - Bernard Lavilliers, arrangement Fred Pallem) — 2:42
- La Côte des squelettes — (Bernard Lavilliers) — 3:49
- Cafard, avec Spanish Harlem Orchestra — (Adaptation Bernard Lavilliers sur une musique de Ruben Blades, arrangement de Oscar Hernández) — 4:07
La version Coffret collector Disque-Livre inclut une version Bonus inédite de :
- On the Road Again — (Bernard Lavilliers / Sebastian Santa Maria) — 5:13 avec Afro-Cuban All-Stars
Réception critique
modifierSylvain Siclier, dans le quotidien Le Monde, estime que « la voix chaude, très présente, de Lavilliers donne une vie arc-en-ciel à ses textes »[2].
Notes et références
modifier- Biographie sur rfimusique.
- Sylvain Siclier, entrefilet « Un chant de caresses », Le Monde, 19 novembre 2010 (no 20474, daté du samedi 20 novembre 2010), en accompagnement d'un entretien accordé par l'artiste à Véronique Mortaigne, et publié sous le titre « Enfin ! La lutte des classes est de retour. ».