Cabara

commune française du département de la Gironde

Cabara est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Cabara
Cabara
L'entrée du village et les berges de la Dordogne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
Thierry Blanc
2020-2026
Code postal 33420
Code commune 33078
Démographie
Population
municipale
494 hab. (2021 en évolution de −4,63 % par rapport à 2015)
Densité 144 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 41″ nord, 0° 09′ 31″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 63 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Cabara
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Cabara
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Cabara
Liens
Site web www.cabara.org

Ses habitants sont appelés les Cabos.

Géographie

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Localisation

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La commune de Cabara est située dans la région naturelle de l'Entre-deux-Mers, en rive gauche de la Dordogne.

Communes limitrophes

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Elle est limitrophe de Branne à l'ouest et de Saint-Aubin-de-Branne au sud. Elle est séparée de Saint-Sulpice-de-Faleyrens au nord-ouest, de Vignonet au nord-est et de Sainte-Terre à l'est par la Dordogne qui forme une limite naturelle.

Hydrographie

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Rattachée à la circonscription du bassin versant Adour-Garonne, Cabara se situe en rive gauche de la Dordogne, sur le territoire, en aval de la Cère, du bassin versant de la Dordogne[1]. La rivière enserre la commune dans une boucle en « épingle à cheveux » qui s'écarte au nord-est et la sépare de Saint-Sulpice-de-Faleyrens au nord-ouest, de Vignonet au nord-est et de Sainte-Terre à l'est. Le ruisseau des Goths, petit ruisseau de 2 km de longueur, prend sa source dans le sud-ouest de la commune, en limite de Saint-Aubin-de-Branne et se jette dans la Dordogne au nord-ouest, à hauteur de Branne[2],[3].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 850 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité

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Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Cabara[11],[12]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[13].

Cabara fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[14],[15], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[16].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Cabara est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57,6 %), eaux continentales[Note 2] (15,1 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Cabara est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2021[26],[22].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cabara.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 243 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 243 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[31]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

Histoire

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Politique et administration

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La mairie

La commune de Cabara fait partie de l'arrondissement de Libourne. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Branne supprimé au nouveau canton des Coteaux de Dordogne[33],[34]. Cabara fait également partie de la Communauté de Communes de Castillon Pujols

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 2008 Jacques Chandès PS Retraité France-Télécom
mars 2008 en cours Thierry Blanc SE Viticulteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 494 habitants[Note 4], en évolution de −4,63 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
710710698651610667634640621
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
579545552533530495503452493
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
510515463438435407394374366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
350361335319341337347350473
2018 2021 - - - - - - -
510494-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune est située dans l'aire géographique de production de l'entre-deux-mers[39], appellation d'origine contrôlée des vins blancs secs issus du vignoble du même nom. Toute la région produit en outre des rouges, des clairets, des rosés, des blancs secs, doux ou effervescents sous les dénominations bordeaux et bordeaux-supérieur[40].

Équipements, services et vie locale

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Lieux et monuments

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Personnalité liée à la commune

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  • Jules Brisson (1828-1902), journaliste, écrivain, publiciste, éditeur de presse, y est né. Fondateur de la revue "les Annales politiques et littéraires" et du "Journal de l'Université des Annales". Est le père d'Adolphe Brisson (1860-1925), journaliste, critique dramatique, futur directeur des dites Annales à Paris, l'époux d'Yvonne Sarcey (1869-1950).
  • Jean-Joseph Brisson (1868-1957), officier de marine, y est né.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[30].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Le bassin versant de la Dordogne sur le site de l'agence de l'eau Adour-Garonne (lire en ligne)
  2. Cabara sur le site du système d'information sur l'eau du bassin Adour-Garonne (lire en ligne)
  3. Le ruisseau des Goths sur le site du SANDRE (lire en ligne)
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Cabara et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  12. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  13. Espèces, INPN, consulté le .
  14. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  15. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  16. Espèces, INPN, consulté le .
  17. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cabara ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cabara », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cabara », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  30. Article R214-112 du code de l’environnement
  31. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  34. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Cahier des charges de l'appellation entre-deux-mers
  40. Guide des régions et des appellations : Bordeaux — Entre-deux-Mers