Buire-au-Bois

commune française du département du Pas-de-Calais

Buire-au-Bois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Buirois

Buire-au-Bois
Buire-au-Bois
L'église Notre-Dame.
Blason de Buire-au-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Thierry Bascour
2020-2026
Code postal 62390
Code commune 62182
Démographie
Gentilé Buirois
Population
municipale
238 hab. (2021 en évolution de +4,85 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 47″ nord, 2° 09′ 11″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 142 m
Superficie 11,81 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Buire-au-Bois
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Buire-au-Bois
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Buire-au-Bois
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Buire-au-Bois

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à 4 km au nord-est d'Auxi-le-Château.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Communes limitrophes de Buire-au-Bois
Haravesnes Fillièvres Rougefay
Vaulx   Boffles
Auxi-le-Château Nœux-lès-Auxi

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 11,81 km2 ; son altitude varie de 49 à 142 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Sur le territoire de la commune se trouve le fossé Chatillon, petit cours d'eau naturel de 2 km qui ne court que sur la commune[3].

 
Réseau hydrographique de Buire-au-Bois[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages

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La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10] :

  • les « paysages du val d’Authie, qui concerne 83 communes, se délimitent : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70 % en culture[11] ;
  • les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.
Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : les bois de la Justice, bois d'Auxi-le-Château et Pâture Mille trous qui couvrent 1 518 ha. Cette ZNIEFF se répartit sur les communes d'Auxi-le-Château, Buire-au-Bois, Nœux-lès-Auxi et Beauvoir-Wavans[13].

et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Buire-au-Bois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,8 %), prairies (23,9 %), forêts (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (2,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par les routes départementales D 102, D 117 et la D 941 qui relie Frévent et Abbeville[20].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Buires en 1141 (petit cart. de Dommartin, f° 42 r°), Bures en 1284 (Bibl. nat., lat. 10112, f° 191 v°), Buyres en 1343 (ch. d’Art., Ricouart, p. 281), Buires lez Aulchy le-Chasteau en 1638 (Colbert, Flandre, t. CXL, f° 1 v°), Buire-Bertonval en 1720 (Saugrain)[21], Buire aux Bois en 1793 et Buire-aux-Bois et Buire-au-Bois depuis 1801[1].

Buire semble reproduire un Buria, formé sur le vieux haut-allemand bûr : « hutte , habitation »[22], du germanique burja, qui signifie « cabane » (puis sans doute hameau).

Au-Bois d'Orimont, ou de Pinchemont attesté sous les formes Pincemont en 1156 (bibl. de Nielles-lez-Bléquin, ms.) et Pinchemont en 1159 (cartul. de Dommartin, f° 56 b v°)[23].

Histoire

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Avant la Révolution française, Bachimont, lieu situé sur l'actuelle commune de Buire-au Bois était le siège d'une seigneurie[24],[25].

Les seigneurs de Bachimont :

  • Simon de Lamiré, chevalier, est seigneur de Bachimont (lieu situé sur Buire), Bourseville, Bouillancourt et Allenay au XVIIe siècle. Il a épousé Bonne de Collaut ou de Collant[24].
  • Robert de Lamiré de Bachimont, (1627-1688), né à Bachimont, fils de Simon de Lamiré, alchimiste, empoisonneur, impliqué dans l'affaire des poisons.
  • Charles Antoine Denis de Caboche est seigneur de Bachimont au XVIIIe siècle. Il est noble, chevalier de Saint-Louis et colonel dans l'artillerie royale[25].
  • Marie Anne Charlotte Guislaine Julie de Caboche, fille de Charles Antoine Denis, épouse le Édme Antoine du Puget, capitaine au corps royal d'artillerie. Il bénéficie le d'une sentence de noblesse reconnaissant son appartenance à cette classe sociale. À cette date, il demeure à Bachimont et déclare vouloir se fixer dans la province d'Artois. Il est né à Joinville le de Jean Pierre du Puget, procureur du roi des traites foraines de Joinville et de Marie Françoise Guillaumez[25].

À la fin du XIXe siècle, un ouvrier agricole découvre un filon de phosphate (engrais agricole) qui est exploité pendant une vingtaine d'années[26].

Durant la Seconde Guerre mondiale, la présence d'une rampe de lancement de V1 dans la commune est la cause de bombardement par les Alliés. Située sur le hameau de Bachimont, les vestiges de cette rampe de lancement, d'un bunker et d'un bâtiment de stockage sont toujours visibles[26].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[28]. À l'initiative des intercommunalités concernées[29], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[30] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants ;
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants.

Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [31],[32] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [33].

Circonscriptions administratives

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La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroit et passe de 26 à 84 communes.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, La commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? René Hulot DVG  
mars 2001 2003 Marcel Dubois    
2003 2020 Marie-José Dubois PS puis DVG Enseignante retraitée
Réélue pour le mandat 2014-2020[34],[35],[36],[37]
23 mai 2020 En cours
(au 3 février 2022)
Thierry Bascour DVG Cadre de la fonction publique[38],[39]

Équipements et services publics

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Espaces publics

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La commune obtient sa première fleur au concours des villes et villages fleuris lors du dévoilement du palmarès le [40],[41].

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[42], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[43].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Buirois[44].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 5], en évolution de +4,85 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
686704701847831802800769785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
704726699641612530507543634
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
546463435377375375384382400
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
345308272244225210203202219
2017 2021 - - - - - - -
230238-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 114 hommes pour 118 femmes, soit un taux de 50,86 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,9 
8,8 
75-89 ans
6,0 
24,8 
60-74 ans
27,4 
25,7 
45-59 ans
25,6 
13,3 
30-44 ans
12,8 
15,0 
15-29 ans
11,1 
11,5 
0-14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Sports et loisirs

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La commune dispose de deux sentiers de randonnée :

  • Le sentier de randonnée des Moulins (10,5 km). En direction de Bachimont, il longe les anciennes mines de phosphate et le moulin menteur pour atteindre le fond d’Haravesnes. Après un passage aux anciennes rampes de lancement de V1, il jouxte le château et traverse le bois du Tambour pour revenir à Buire-au-Bois[50] ;
  • Le sentier de randonnée du bois Patou[50].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'or à trois maillets de sinople; au chef du même chargé d'un gland feuillé de deux pièces d'or[53].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • L. Ledieu, Notice sur Bachimont, hameau de l'Artois, sous l'Ancien Régime, Amiens, Piteux, 1899[54].

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé Chatillon (E5501550) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Buire-au-Bois et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310013296 - bois de la Justice, bois d'Auxi-le-Château et Pâture Mille trous », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Insee, « Métadonnées de la commune de Buire-au-Bois ».
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  22. Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 46.
  23. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  24. a et b Roman d'Amat, « Bachimont (Robert de Lamiré, sieur de »), dans Dictionnaire de Biographie française, tome IV, Paris, 1948, Letouzey et Ané.
  25. a b et c Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 110, lire en ligne.
  26. a et b Lisa Lasselin, « Buire-au-Bois, bienvenue dans un village d’antan », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  28. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  30. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  31. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
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  34. Alexis Degroote, « Bilan de maire à Buire-au-Bois : la mairie a fait peau neuve, maintenant, il faut se pencher sur le cas de l’église… : Pour l'instant, Marie-José Dubois ne souhaite pas encore s'exprimer sur une probable candidature en mars 2014. Une maire qui a connu un mandat bien rempli avec son équipe, avec notamment la rénovation de la mairie. Une équipe qui a aussi commencé à réfléchir sur un autre dossier : celui de l'église, fermée depuis maintenant bientôt deux ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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