Bryozoa
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Les Bryozoaires (Bryozoa, du grec brúon 'mousse' et zōon 'animal') peuvent faire référence aux :
- Bryozoa lato sensu (Ehrenberg, 1831)[1], un ancien embranchement, aujourd'hui obsolète, qui regroupait ectoproctes et entoproctes. Ce rapprochement a été invalidé par la plupart des études de phylogénie moléculaire[réf. nécessaire]. On notera cependant qu'une étude de 2007 propose de le réhabiliter[2] alors qu'une autre étude, publiée un an plus tôt (en 2006) confirmait la polyphylie du groupe[3].
- Bryozoa stricto sensu (Ehrenberg, 1831), maintenant synonyme d'Ectoprocta[4].
Polyzoa (John Vaughan Thompson, 1830) est un synonyme de Bryozoa lato sensu.
Absorption de CO2
modifierDes études conduites au pôle sud suggèrent que la fonte de glace par réchauffement local entraîne une augmentation de la masse des Bryozoa, laquelle à son tour génère une plus grande capture de CO2 et un effet puits de carbone[5],[6].
Références
modifier- (en) Z.-Q. Zhang (dir.), Animal Biodiversity: An Outline of Higher-level Classification and Survey of Taxonomic Richness (Addenda 2013).
- (en) Bernhard Hausdorf et al., Spiralian Phylogenomics Supports the Resurrection of Bryozoa Comprising Ectoprocta and Entoprocta, 2007.
- (en) Yale Passamaneck & Kenneth M. Halanych, Lophotrochozoan phylogeny assessed with LSU and SSU data: Evidence of Lophophorate polyphyly, 2006.
- (en) P. E. Bock et D. P. Gordon, "Phylum Bryozoa Ehrenberg, 1831", dans Zootaxa, 2013, 3703(1), p. 67-74 [PDF].
- southern ocean removing carbon dioxide from atmosphere more efficiently, American Geophysical Union, 10 septembre 2015.
- Scientist has found melting ice caps have led to increase in bryozoans who absorb CO2, news.com.au, 22-09-2015.