Bouin-Plumoison
Bouin-Plumoison est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Bouin-Plumoison | |||||
L'église Saint-Firmin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Pierre Liefhooghe 2020-2026 |
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Code postal | 62140 | ||||
Code commune | 62661 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Boumoisiens | ||||
Population municipale |
509 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 22′ 54″ nord, 1° 59′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 128 m |
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Superficie | 6,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hesdin (banlieue) |
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Aire d'attraction | Hesdin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | bouin-plumoison.fr/ | ||||
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La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierCommunes limitrophes
modifierLe territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[1].
Paysages
modifierLa commune est située à la jonction de trois paysages tels qu'ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[2] :
- le « paysage montreuillois », qui concerne 98 communes, et qui se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[3] ;
- le « paysage du val d’Authie », qui concerne 83 communes, et qui se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
- Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
- L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70% en culture[4] ;
- les « paysages du Ternois » qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.
- Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
- Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspace protégé et géré
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].
Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune un terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France : le marais de Guisy, d'une superficie de 13,201 hectares[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : la forêt domaniale d'Hesdin et ses lisières. Elle est située dans le Ternois et s’étend sur le plateau de l’Aa et sur le rebord sud d’un glacis incliné vers la dépression synclinale de la Canche[14].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] :
- les marais d’Aubin-Saint-Vaast et de Bouin-Plumoison qui s’étendent dans le fond de la vallée de la Canche, sur la rive gauche du fleuve, entre les communes d’Aubin-Saint-Vaast au Nord-Ouest et Bouin-Plumoison au Sud[15] ;
- la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin. Cette zone humide recelant des marais tourbeux, s'étend d'Étaples à Hesdin sur une superficie de 12 059 hectares[16].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bouin-Plumoison est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hesdin[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[19]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,1 %), prairies (19,8 %), forêts (16 %), zones urbanisées (7,1 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierBouin
modifierBouin est attesté sous les formes Boin versus Marcounelle (1139) ; Buin (1144) ; Boiin (XVIIe siècle) ; Boyn (1257) ; Boim (1296) ; Boins (1400) ; Bouhaing (1403) ; Bouyn (1443) ; Bovyn (1507) ; Bouin (XVIIIe siècle)[23].
Durant la Révolution, la commune de Bouin a porté le nom de Bouin-Beaurepaire[24].
Plumoison
modifierPlumoison est attesté sous les formes Plume Oyson en 1321 (ch. d’Artois, A. 393), Plumeoison en 1331 (abb. de Saint-André-au-Bois), Plumoyson en 1376 (ch. d’Artois, Ricouart, p. 493), Plumoin en 1783 (Épigr., Montreuil, p. 198)[25].
Bouin-Plumoison
modifierLes communes de Bouin et de Plumoison ont fusionné le [26],[27].
Histoire
modifierEn octobre 1705, des lettres données à Fontainebleau permettent à François de Salperwick de relever le titre de marquis de Grigny. François de Salperwick et sa femme Marie Charlotte de Harchies déclarent consentir à ce qu'Antoinette Philippe de Bassecourt jouisse sa vie durant de la terre de Grigny. François de Salperwick est seigneur du Fresnoy, Crehem, Hestruval, Plumoison, Quiesy, Ristade, Marconnelle, Héricourt et Leuzeux, mousquetaire de la seconde compagnie de la garde du roi, commandée par le sieur de Jouvelle, a assisté aux prises de Valenciennes, Cambrai, Saint-Omer, à la bataille de Cassel. Il est fils de feu Louis de Salperwick et d'Antoinette Philippe de Bassecourt et neveu de Jean Baptiste de Bassecourt, marquis de Grigny. Il peut relever ce titre de marquis en y ajoutant et y incorporant les terres de Fresnoy, Quisy et Marconnelle qui relèvent aussi du château d'Hesdin, pour en jouir après le décès de sa mère qui suivant les intentions de son frère, lui avait fait don de la terre de Grigny par acte du 17 janvier 1703[28].
En 1970, la commune de Plumoison a absorbé celle voisine de Bouin[27],[29] peuplée de 185 habitants au recensement de 1968[24].
Les Templiers et les Hospitaliers
modifierÀ Plumoison était un membre ou dépendance de la commanderie de l'ordre du Temple d'Angers qui passe aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple. Elle était composée de deux corps de bâtiments, de jardins et de futaies[30].
Par contre, c'est à la commanderie hospitalière d'Angers que Mathieu Chenau, pourtant de la paroisse de Villévêque, fait don de tous ses biens[30].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierPierre Liefhooghe entre au conseil municipal à la suite des élections municipales de juin 1995, comme conseiller. Il devient adjoint au maire à la suite des élections de 2008 puis maire à l'issue des élections de 2020.
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
---|---|---|---|---|
Début | Fin | |||
Alfred Boulard (d)[31] | 6 ans | |||
René Fristot (d)[31] | 6 ans | |||
Robert Therry (né le ) | 18 ans | |||
Jean-Pierre Deneuville (d)[32],[33],[34],[35],[36] (né le ) | 19 ans et 2 mois | divers droite | ||
Pierre Liefhooghe (d) (né le ) | En cours | 4 ans, 6 mois et 27 jours |
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Boumoisiens'[37].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2021, la commune comptait 509 habitants[Note 8], en évolution de +4,73 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 256 femmes, soit un taux de 51,41 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Firmin de Bouin.
- L'église de la Nativité Notre-Dame de Plumoison, plus aucun office depuis les années 1970[26],[43].
- À la suite du regroupement, en 1970, des communes Bouin et Plumoison, la commune de Bouin-Plumoison dispose de deux monuments aux morts[44].
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierLes armes de Bouin-Plumoison se blasonnent ainsi : Taillé au premier d'or aux trois doloires de gueules ordonnées en orle, celle en chef à senestre contournée, au second de gueules à l'oie contournée d'argent. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine dans le Pas-de-Calais
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier relatif aux rattachements de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 9]
- « Bouin-Plumoison » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Hesdin comprend deux villes-centres (Hesdin et Marconnelle) et six communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bouin-Plumoison et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505983 - marais de Guisy », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007265 - Forêt domaniale d'Hesdin et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030074 - Les marais d’Aubin-Saint-Vaast et de Bouin-Plumoison », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Hesdin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bouin-Plumoison ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hesdin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bouin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Claire de Vregille, « Se séparer d’une église ? C’est plus difficile qu’il n’y paraît : le cas de Bouin-Plumoison », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 378, lire en ligne.
- Fabrice Leviel, « Alors que trois com de com ne feront bientôt qu’une, ces communes montreuilloises qui ont déjà fait l’expérience de la fusion... : Les communautés de communes de l’Hesdinois, du Val de Canche et de Canche-Ternoise vont bientôt ne faire qu’une. Les communes de Bouin-Plumoison, Maresquel-Ecquemicourt et Bréxent-Énocq ont, elles, fusionné il y a longtemps. Hesdin a tenté de faire une grande agglomération en englobant les villages voisins, sans succès. Que tirer de ces expériences ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Robert Favreau, « L’enquête pontificale de 1373 sur l'ordre de L'Hôpital dans le grand prieuré d'Aquitaine » in Bibliothèque de l’École des chartes, juillet-décembre 2006, vol.164, n° 2, p. 453
- « Sur les bords de Canche, Les Peupleraies a des allures de havre de paix », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Le camping municipal de Bouin-Plumoison Les Peupliers a été fondé en 1977 sous l'ancien maire, René Fristot. Toutefois, l'idée de ce projet datait de 1975 et émanait de son prédécesseur, Alfred Boulard. »
- Romain Douchin, F. L. et P. L., « Une voiture pulvérise une trentaine de tombes à Bouin-Plumoison », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« « Encore deux mètres et la voiture ressortait du cimetière après l’avoir traversé de part en part », indique le maire Jean-Pierre Deneuville sous le choc. »
- « Bouin-Plumoison : Jean-Pierre Deneuville donnera priorité à la mise en sécurité de l’église », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Jean-Pierre Deneuville est commercial en machines agricoles, retraité depuis 1999. Il est entré au conseil municipal en 1977 en tant que conseiller, avant de devenir premier adjoint en 1995. Il est maire depuis 2001. Il sera candidat aux prochaines élections. « À ma dernière réunion de conseil municipal, j’ai annoncé que je me représentais, et quand la liste sera complète, on définira la place de chacun. » »
- « Bouin-Plumoison : Jean-Pierre Deneuville reconduit dans son fauteuil de maire », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Vendredi, à la salle des fêtes, s’est tenue la réunion d’installation du conseil municipal élu le 23 mars. Jean-Pierre Deneuville étant seul candidat, il est élu à l’unanimité et devient délégué titulaire à 7 Vallées Comm. »
- Guide économique du Nord-Pas-de-Calais, La Voix du Nord, , 320 p. (ISBN 2-84393-090-1), p. 275.
- Annuaire des mairies du Pas-de-Calais (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 335 p. (ISBN 978-2-35258-162-8), p. 72 :
.« Appartenance politique : DVD »
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bouin-Plumoison (62661) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « L'église de la Nativité Notre-Dame de Bouin-Plumoison », sur patrimoines.pasdecalais.fr (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).