BlaBlaCar

marque et plateforme de covoiturage

BlaBlaCar est une marque et une plateforme communautaire payante de mobilité développée par la société Comuto.

BlaBlaCar (Comuto)
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de la marque.
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de BlaBlaCar.
Type CovoiturageVoir et modifier les données sur Wikidata
Pays d'origine FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Date d'introduction Voir et modifier les données sur Wikidata
Propriétaire(s) actuel(s) Comuto (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site officiel www.blablacar.com et www.blablacar.frVoir et modifier les données sur Wikidata

La société propose une prestation de covoiturage : BlaBlaCar, un service de transport en bus longue distance : BlaBlaCar Bus, une prestation de déplacement pendulaire : BlaBlaCar Daily et un service de location de trottinette électrique : BlaBla Ride.

Historique

modifier

Covoiturage.fr (2004-2013)

modifier

Vincent Caron, étudiant à l'École polytechnique de l'université d'Angers, fonde en Covoiturage.fr, une plateforme de covoiturage mettant en relation des conducteurs et des passagers souhaitant partager un trajet en voiture et les frais associés. Les conducteurs publient leurs places disponibles et les passagers les réservent en ligne, sur des trajets dont la distance moyenne est de 330 kilomètres[1],[2].

Comuto
Histoire
Fondation
Cadre
Forme juridique
Société anonyme à conseil d'administration (s.a.i.) 
Domaine d'activité
Traitement de données, hébergement et activités connexes 
Siège
Pays
Organisation
Effectif
450 employés 
Fondateurs
Frédéric Mazzella, Francis Nappez (d), Nicolas Brusson (d) 
Président
Directeur
Nicolas Brusson (d) 
Filiale
Comuto Pro (d) 
Identifiants
SIREN
TVA européenne
OpenCorporates

En 2006, Frédéric Mazzella[3] fonde avec Nicolas Brusson[4] et Francis Nappez[5], la société anonyme Comuto[6] qui deviendra la société mère de tous les services du réseau covoiturage[7],[8]. Ils mettent en ligne la première version du site internet sous le nom de domaine covoiturage.fr acheté à Vincent Caron.

En , Comuto développe la version communautaire de Covoiturage.fr en ajoutant un système d'avis utilisateurs, portraits, biographies, etc.[réf. nécessaire]. Covoiturage.fr se positionne comme une combinaison d'un site de voyage et d'un site communautaire. Dès , Covoiturage.fr devient le site de covoiturage le plus utilisé en France[9].

En , Comuto étends sa plateforme dans une version espagnole du site, sous le nom Comuto.es (rebaptisée BlaBlaCar.es en ). Durant l'année , Comuto inaugure de nombreux nouveaux services de covoiturage pour plusieurs sociétés et mairies : la MAIF, Ikea, Vinci Park, la RATP, le Groupe Carrefour, la ville de Montrouge et une trentaine d'autres services de covoiturage[10]. La société lance une application mobile sur iPhone en [11] et sur Android en .

En , Comuto s'implante au Royaume-Uni et lance BlaBlaCar.com[12].

En , Comuto rachète Covoiturage.com, créé en par Thomas Herlin[13].

En , Covoiturage.fr intègre un système de réservation informatique, ce qui permet aux passagers de payer en ligne leur trajet et aux conducteurs de percevoir la participation aux frais par virement après le trajet. Le service est testé à partir de dans l'Ouest de la France. Le service de réservation en ligne permet ainsi à Covoiturage.fr de mettre en place son modèle économique final et de prélever une commission sur les transactions effectuées entre conducteurs et passagers. Auparavant le paiement s'effectuait de main à main entre le passager et le conducteur[14],[15].

Entre et , Comuto développe BlaBlaCar en Italie, au Portugal, en Pologne, aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Belgique[réf. nécessaire].

BlaBlaCar (depuis 2013)

modifier
 
Frédéric Mazzella, lors d’une conférence à Londres en .

En , BlaBlaCar se déploie en Allemagne[16]. Le service français Covoiturage.fr est renommé BlaBlaCar le afin d'uniformiser le réseau[17].

En , BlaBlaCar s'implante en Ukraine et en Russie[18]. Début , BlaBlaCar lève 100 millions de dollars auprès d'Index Ventures pour devenir leader mondial du covoiturage[19],[20], et en , la société compte plus de 10 millions d'utilisateurs[21],[22].

En , BlaBlaCar est présentée comme le leader mondial du covoiturage[23]. En , BlaBlaCar s'ouvre vers l'Inde[24]. En , la société poursuit son expansion internationale avec le rachat de son concurrent allemand Carpooling et de Autohop, une société hongroise présente en Hongrie, Roumanie et dans les Balkans[25],[26]. Le même mois, BlaBlaCar rachète Rides, une start-up mexicaine. Cela lui permet de s'implanter aussi au Mexique, d'employer 290 personnes sur 3 continents et de compter 20 millions d'utilisateurs membres dans 19 pays[27].

Le , BlaBlaCar signe un accord de partenariat avec la société Axa pour assurer ses utilisateurs lors de leurs déplacements[28]. En , elle annonce une nouvelle levée de fonds de 200 millions de dollars dans le but d'accélérer son déploiement dans les pays d'Amérique latine et d'Asie[29]. En la SNCF noue un partenariat avec BlaBlaCar pour proposer des solutions de covoiturage aux passagers lors des grèves de trains, un partenariat historique pour les concurrents[30].

En , BlaBlaCar signe un partenariat en France avec les sites Kombo et GoEuro basée sur une rémunération à la mise en relation[31].

À l'automne , Frédéric Mazzella cède son poste de directeur général à Nicolas Brusson et devient président de la société[32].

En , le service de covoiturage annonce le lancement d'un nouveau service : la location de voiture à longue durée[33].

Le , BlaBlaCar change son identité visuelle et la charte graphique de sa plateforme. En parallèle, un nouvel algorithme progressivement mis en place permet aux utilisateurs d'augmenter le nombre de trajets potentiels en proposant des étapes supplémentaires proches des lieux de départ et d'arrivée des passagers[34].

En 2018, la société compte 65 millions d’utilisateurs référencés dans 22 pays[35].

 
Logo de Less, racheté par BlaBlaCar en .

Le , l'entreprise annonce le rachat pour un montant non communiqué de Less, start-up créée deux années auparavant par Jean-Baptiste Rudelle, cofondateur de Criteo, et spécialisée dans le covoiturage courte-distance[36] afin de faire profiter le service BlaBlaLines des technologies et des ingénieurs de Less[37]. Au printemps 2018, à l'annonce du projet de loi pour la réforme de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), le site mise sa communication sur les grèves afin d'inciter les usagers à utiliser le covoiturage[38].

 
Un car BlaBlaBus en à la gare routière de Paris Bercy.

Le , BlaBlaCar s'associe à Axa pour lancer une nouvelle assurance pour ses utilisateurs.

En , BlaBlaCar acquiert la plateforme de covoiturage russe BeepCar[39].

En , elle rachète à la SNCF sa filiale Ouibus et annonce dans le même temps une levée de fonds de 100 000 000 [40]. La SNCF entre à cette occasion au capital de la société, pour un montant non spécifié. En , BlaBlaCar annonce que les Ouibus seront rebaptisés BlaBlaBus avant la fin de l'année [41]. BlaBlaCar souhaite implanter ces nouveaux cars à l'étranger en reliant 60 villes du Benelux et d'Allemagne. BlaBlaBus concurrence directement FlixBus, qui dispose alors de 95 % de parts de marché en Allemagne[42],[43].

La loi relative à la lutte contre la fraude du [44], impose aux plateformes de service de particulier à particulier, tel BlaBlaCar, de transmettre aux services fiscaux un relevé annuel du montant des transactions reçues par les membres percevant plus de 3 000  par an. En effet, au-delà de ce montant, l'activité est considéré comme une activité professionnelle.

Fin , la société intègre le Next40[45].

En , la société complète son offre par un partenariat avec un service de trottinettes électriques, BlaBla Ride[46], afin de permettre aux usagers de finir les trajets automobiles effectués[47]. La même année, durant la pandémie de Covid-19, le fonctionnement de l'entreprise se réduit à 5 % de l'activité usuelle, et la moitié des employés sont mis au chômage partiel[48]. Par la suite, elle est contrainte d'appliquer des mesures d'hygiènes et de respect des distanciations et propose une option pour limiter le nombre de passagers, aux dépens de la rentabilité pour les conducteurs[49].

En , les BlaBlaBus prennent le nom et la livrée rouge de BlaBlaCar[50]. En , l'entreprise annonce une levée de fonds de 115 millions de dollars, qui la valorise à 2 milliards de dollars[51].

En , BlaBlaCar annonce sa volonté d'acquisition de Klaxit, entreprise spécialisée dans le covoiturage domicile-travail[52],[53]. Cette acquisition, destinée à générer des synergies entre Klaxit et son service Blablacar Daily sur le segment des trajets courte distance, est finalisée en [54].

Services

modifier

Covoiturage longue distance

modifier

Covoiturage pendulaire

modifier

En , BlaBlaCar ouvre un nouveau service dédié au covoiturage sur des trajets courtes durées effectués quotidiennement lors des déplacements pendulaires. Le service est nommé BlaBlaLines[55].

Transport en bus longue distance

modifier

Critiques et controverses

modifier

Augmentation des commissions

modifier

La mise en relation entre usagers, gratuite pendant de nombreuses années, devient payante en [56],[57]. L'entreprise n'a cessé d'augmenter les commissions prélevés sur les trajets des passagers depuis sa création[58].Ce qui entraine le départ de certains utilisateurs déçus vers d'autres plateformes (covoiturage-libre.fr, carpooling...)[15],[35],[59].

En , en fonction de la date de réservation, les frais s'élèvent de 0,66 +7,92 % à 1,19 +12,48 % du prix du trajet[60]. Depuis 2015, ces frais ne dépendent plus de la date de réservation et ont été revus progressivement à la hausse[58]. En 2022, l'entreprise ne communique plus sur le calcul des commissions de réservation, mais ceux-ci varient de 20 à 30% du prix du trajet[61].

Modèle économique

modifier

Dans ses 12 premières années d'existence, la société n'a jamais été rentable, avec un modèle économique changé à six reprises. En , la société annonce être en bénéfice sur les huit premiers mois[62],[63]. Une situation qui peut s'expliquer aussi par les importants investissements effectués[Lesquels ?] ces dernières années[64].

Génération de certificats d’économies d’énergie en partenariat avec TotalEnergies

modifier

Le , Le Monde révèle que BlaBlaCar profite d'un soutien avalisé par l’État, à hauteur de plusieurs dizaines de millions d’euros par an, selon un mécanisme de partenariat avec TotalEnergies mis en place en 2012. BlaBlaCar donne à ses nouveaux inscrits des cartes carburant chez TotalEnergies, qui verse plusieurs dizaines d’euros pour chaque conducteur enregistré et achète des certificats d’économies d’énergie (CEE) ainsi générés et surévalués. Ce montage est discrètement validé par le ministère de l’écologie. Blablacar est la principale entreprise à bénéficier de CEE pour du covoiturage[65].

FlixBus ouvre une procédure judiciaire à l'encontre de Blablacar, trouvant le procédé inéquitable entre les différents acteurs du transport. Cette disposition est invalidée par le Conseil d'État le [66].

Critique du modèle écologique et sociétal

modifier

Selon le journaliste Fabien Ginisty, la « promesse écologique de BlablaCar fleurte avec le mensonge ». Il dénonce la destruction du lien social propre au covoiturage, le greenwashing, l'ubérisation, la position dominante sur le marché, mais aussi ses partenariats avec les filières des transports et de l’énergie (Renault, Vinci, TotalEnergies...)[61],[67],[68].

Selon une étude de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), « 69% des passagers délaissent le train au profit du covoiturage avec BlaBlaCar »[68].

Concurrence

modifier

Des services concurrents existent sur Internet, proposant le même fonctionnement d'une mise en relations d'usagers par annonces, mais souvent sans appliquer de frais de réservation comme l'entreprise BlaBlaCar[69]. Ces services restent peu concurrentiels, étant moins développés car n'ayant pas atteint leur masse critique[70].

Des groupes de mise en relation de covoitureurs regroupés par zone géographique ciblée existent indépendamment sur les réseaux sociaux[71]. Ceux-ci subissent également une concurrence directe de la part de Blablacar qui propose des services locaux pour ces parts de marché[72].

Des services de bus tentent de s'implanter sur ce même type de marché économique et sur les grands axes de circulation[73].

Malgré ces alternatives, BlaBlaCar reste en situation de quasi-monopole sur le marché, avec 90 % des parts en en France[74],[75].

Identités visuelles

modifier

Références

modifier
  1. « Frédéric Mazzella : le patron de BlaBlaCar, nouvelle icône du digital made in France »  , sur Entreprendre, (consulté le ).
  2. Fabien Ginisty, Blablacar et son monde : enquête sur la face cachée du covoiturage, Le Passager clandestin - L'Âge de faire, , 224 p. (ISBN 9782369355700, lire en ligne).
  3. Pauline Damour, « Qui est Frédéric Mazzella, l'atypique fondateur de BlaBlaCar », Challenges,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  4. Jamal El Hassani, « "BlaBlaCar proposera cet été son plus gros réseau de bus jamais déployé" »  , sur Le Journal du Net, (consulté le )
  5. Yves Vilaginés, « Francis Nappez : Dans le trio des pionniers du covoiturage, Nicolas est blablabla, Frédéric blabla et Francis bla... », Les Échos,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  6. « Comuto (PARIS 11) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 491904546 », sur Societe.com (consulté le ).
  7. Valérie Collet, « Les cars Ouibus rachetés par BlaBlaCar », Le Figaro,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  8. Jean-Michel Gradt, « Comment le covoiturage a conquis la France », Les Échos,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  9. Gille Musi, « Covoiturage.fr veut faire sauter les freins du partage de voiture », L'Express,‎ (lire en ligne  ).
  10. Paul Molga, « L'irrésistible ascension du covoiturage », Les Échos,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  11. Clément Pétreault, « Comuto, le covoiturage intelligent », Le Point,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  12. « Comuto embarque 7,5 M Euros de plus et ouvre la porte à Accel Partners »  , sur Capital Finance, Les Échos, (consulté le )
  13. G.C., « Dix ans après, que sont devenues ces entreprises (8/10) : Keeneo »  , sur Le Journal des entreprises, (consulté le ).
  14. Romain Baly, « Covoiturage.fr fiabilise son service »  , sur journalauto.com, (consulté le )
  15. a et b Ludwig Gallet, « Pourquoi Covoiturage.fr est devenu payant », L'Express,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  16. Valérie Froger, « Allemagne/Blablacar : Une équipe dédiée sur place »  , Les Échos, (consulté le ).
  17. « Covoiturage.fr devient BlaBlaCar », sur infos-75.com (consulté le ).
  18. Claire Bouleau, « Comment le champion français du covoiturage, BlaBlaCar, impose son modèle en Europe », Challenges,‎ (lire en ligne  ).
  19. Flore Fauconnier, « BlaBlaCar lève 100 millions de dollars pour devenir le leader mondial du covoiturage »  , sur Le Journal du Net, (consulté le ).
  20. « Covoiturage : BlaBlaCar lève 100 millions de dollars », sur Clubic Pro, (consulté le ).
  21. « Covoiturage : Blablacar a passé le cap des 10 millions de membres », Challenges.
  22. « Le boom du covoiturage en trois chiffres-clés »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Boursorama, .
  23. Claire Bouleau, « En moins de dix ans, BlaBlaCar est devenu un leader mondial », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Blablacar, le rouleau compresseur du covoiturage, débarque en Inde », Challenges.
  25. « BlaBlaCar avale son principal rival, consolidation dans la mobilité collaborative », Challenges, (consulté le ).
  26. « Blablacar rachète son principal concurrent européen », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Julien Bouissou, « Les aventures indiennes de Blablacar, une jeune pousse française », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Économie - Actualités, vidéos et infos en direct », Le Monde (consulté le ).
  29. « Nouvelle levée de fonds de 200 millions de dollars de BlaBlaCar », L'Usine Nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Mythe ou réalité ? BlaBlaCar appartient à la SNCF ? », sur Startups Nation, (consulté le ).
  31. « GoEuro déferle sur le transport européen », sur business.lesechos.fr, .
  32. Mounia Van de Casteele, « Blablacar : pourquoi Mazzella passe le volant à Brusson », La Tribune,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  33. « BlaBlaCar propose des voitures neuves à ses meilleurs chauffeurs », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  34. « Blablacar tente de se relancer grâce à un nouvel algorithme », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. a et b Romane Ganneval, « Mobicoop, l’alternative à Blablacar », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne  , consulté le ).
  36. Mounia Van de Casteele, « Plus de concurrents pour moins de voitures », France Culture,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Elsa Dicharry, « Covoiturage : Blablacar accélère dans les trajets courte distance », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  38. « La grève à la SNCF, un laboratoire pour le covoiturage et Blablacar », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « BlaBlaCar se paie la plateforme de covoiturage BeepCar », sur Génération NT, (consulté le ).
  40. « La SNCF vend Ouibus à Blablacar », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Racheté par BlaBlaCar, Ouibus sera rebaptisé BlaBlaBus », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « BlaBlaCar va lancer des lignes de bus en Allemagne », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « BlaBlaCar veut défier FlixBus avec BlaBlaBus », Tribune de Genève,‎ (ISSN 1010-2248, lire en ligne, consulté le ).
  44. Loi no 2018-898 du 23 octobre 2018 relative à la lutte contre la fraude
  45. « Next40 : Evaneos, HomeExchange, BlaBlaCar parmi les pépites françaises », sur L'Echo Touristique, (consulté le ).
  46. « Avec ses covoiturages au point mort, BlaBlaCar se tourne vers les trottinettes », Le Journal du Net, .
  47. « BlaBlaCar lance « BlaBla Ride » avec les trottinettes électriques Voi », 20 Minutes (consulté le ).
  48. « #EtAprès : Airbnb, BlaBlaCar… le Covid-19 a-t-il tué le partage ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
  49. « Covoiturage : voici comment respecter les règles d’hygiène et de distanciation », sur Cnews (consulté le ).
  50. Pauline Damour, « Les BlaBlaBus, devenus BlaBlaCar, reprennent la route fin mars », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. « Blablacar lève 115 millions de dollars et se valorise 2 milliards », sur Le Journal du Net (consulté le ).
  52. « Covoiturage : BlaBlaCar va racheter la plateforme Klaxit », Capital,‎ (lire en ligne  ).
  53. « BlaBlaCar veut Klaxit, leader du covoiturage domicile-travail en France », 20 Minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. « Blablacar rachète Klaxit, leader du covoiturage courte distance »  , sur PoleSocietes, (consulté le ).
  55. Lionel Steinmann, « Après le covoiturage longue distance, BlaBlaCar vise les trajets domicile-travail »  , Les Échos, (consulté le ).
  56. « Depuis 2011, Blablacar fait payer les réservations », Midi Libre,‎ .
  57. Nadine Boursier, « Covoiturage.fr devient payant et ça fait réagir », Ouest-France,‎ .
  58. a et b Thomas Rocher, « Le covoiturage est-il devenu trop coûteux ? », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  59. Pascale Krémer, « Covoiturage : « Toute la France monte dans ma voiture » », Le Monde,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  60. Nicolas Robineau, « Blablacar, le covoiturage tué par la finance et l’appât du gain »  , blog de Mediapart, (consulté le ).
  61. a et b « Enquête sur BlaBlaCar et 3 autres conseils de lecture »  , Alternatives économiques, (consulté le ).
  62. Thibault Marotte et Arnaud Le Gal, « Frédéric Mazzella : « Blablacar a essayé six modèles économiques » », Les Échos, (consulté le ).
  63. Thomas Giraudet, « BlaBlaCar annonce être rentable pour la première fois de son histoire — 3 ans après être devenue une licorne », sur Business Insider France, (consulté le ).
  64. Béatrice Mouedine, « BlaBlaCar : Le spécialiste du covoiturage se remet enfin de la crise provoquée par le Covid », sur Radio Classique, (consulté le ).
  65. « Derrière le succès de Blablacar, un contrat secret et des économies d’énergie surévaluées », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  66. Camille Allain, « Covoiturage : Pourquoi les utilisateurs de Blablacar ne toucheront plus leur prime », 20 minutes,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  67. Natacha Marbot, « “BlaBlaCar, c’est l’économie du partage de miettes, un business basé sur la méfiance” »  , Télérama, (consulté le ).
  68. a et b Virginie Hilssone, « Fabien Ginisty : "On a tendance à penser que le covoiturage est écolo mais ce n'est pas ce qu'il se passe" »  , sur Mouv', (consulté le ).
  69. Juliette Bonneau, « Trouver des alternatives gratuites à BlaBlaCar, c’est possible ? », 20 Minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. « Notre banc d'essai des principaux sites de covoiturage », Capital,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  71. « Pays bellegardien : Comment trouver le covoitureur idéal ? », La Tribune républicaine de Bellegarde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. « BlaBlaCar avale le covoiturage local, c’est grave ? », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  73. « Une concurrence sérieuse pour BlaBlaCar », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. « BlaBlaCar monopolise le covoiturage : et la libre concurrence, alors ? », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  75. « Covoiturage : Mobicoop, l'alternative solidaire à Blablacar », Reporterre (consulté le ).
  76. (en-US) « BlaBlaCar Logo, symbol, meaning, history, PNG, brand »  , sur logos-world.net (consulté le ).

Annexes

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier