Beaulieu-sur-Layon

commune française du département de Maine-et-Loire

Beaulieu-sur-Layon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Beaulieu-sur-Layon
Beaulieu-sur-Layon
L'hôtel Desmazières.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
Maire
Mandat
Martine Chauvin
2022-2026
Code postal 49750
Code commune 49022
Démographie
Gentilé Belloquois
Population
municipale
1 353 hab. (2021 en évolution de −4,85 % par rapport à 2015)
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 41″ nord, 0° 35′ 17″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 104 m
Superficie 12,78 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chemillé-en-Anjou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Beaulieu-sur-Layon
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Beaulieu-sur-Layon
Liens
Site web beaulieu-sur-layon.fr

La commune se situe dans l'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC).

Géographie

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Localisation

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Commune angevine des coteaux du Layon, Beaulieu-sur-Layon se situe au nord de Chemillé en Anjou, sur les routes D 54 (Rochefort-sur-Loire et Val-du-Layon) et D 55 (Bellevigne-en-Layon)[1], à proximité de l'autoroute A87, à 18 km au sud d'Angers et à 35 km au nord-est de Cholet[2].

Son territoire est bordé au Sud par le Layon[1].

La commune se situe sur les unités paysagères des plateaux de l'Aubance et du couloir du Layon[3].

Traversée de Beaulieu via les RD 55 et 54.

Communes limitrophes

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Beaulieu-sur-Layon est limitrophe avec six communes que sont Rochefort-sur-Loire au nord-ouest, Denée au nord, Mozé-sur-Louet au nord-est, Bellevigne-en-Layon à l'est et au sud-est, Chemillé-en-Anjou au sud et Val-du-Layon à l'ouest et au sud-ouest[1].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 659 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records BEAULIEU-S-LAY (49) - alt : 78 m 47° 18′ 24″ N, 0° 35′ 54″ O
Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1988 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,7 2,7 4,3 5,8 9,7 12,2 13,9 14 11,1 8,9 5 2,7 7,8
Température moyenne (°C) 5,8 6,6 9,1 11,1 15,3 18,2 20,2 20,3 16,9 13,4 8,6 5,7 12,6
Température maximale moyenne (°C) 8,8 10,5 13,8 16,4 21 24,3 26,4 26,6 22,8 17,9 12,2 8,7 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−12
02.01.1997
−10,5
12.02.12
−10
01.03.05
−3,6
07.04.08
0,4
14.05.10
4
01.06.11
6,5
12.07.00
6,4
21.08.14
2,4
26.09.10
−3
30.10.1997
−7
21.11.1993
−10
29.12.1996
−12
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
25.01.16
21,2
27.02.19
25
30.03.21
29,6
20.04.18
33,1
26.05.17
39,9
29.06.19
42,7
18.07.22
40
07.08.20
37,1
14.09.20
31,5
03.10.11
23
07.11.15
19
07.12.00
42,7
2022
Précipitations (mm) 62,2 47,2 45,7 49,1 50,3 36 40,8 39,1 49,7 66,4 59,1 64,1 609,7
Source : « Fiche 49022001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Beaulieu-sur-Layon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), forêts (16 %), prairies (12,5 %), zones urbanisées (6,3 %), terres arables (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Formes anciennes du nom : Bellum locum au XVe siècle[16], Beaulieu en 1793 et 1801, Beaulieu-sur-Layon en 1920[17]. Le nom provient du latin bellus locus, traduit en beau lieu c'est-à-dire bel endroit, beau site[18].

Les Beaulieu sont très nombreux en France : Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation: Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay[18]. Les gentilés de ses habitants sont variés : Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien.

Histoire

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Pendant la Première Guerre mondiale, 34 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 3 habitants sont tués[19].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
20 juillet 1796   Pierre-Charles Joubert-Paulmier    
20 mai 1816   Deschamps    
25 juin 1816   Mathurin Martin    
31 août 1830   Joubert-Paulmier    
24 août 1840 (décès) Jacques-Charles Joubert    
28 septembre 1840   Pierre-Charles Deschamps    
1848   Henri Mégraux    
1849   René Pinault    
1865   Pierre-Jean Deschamps    
1884   François Courtin    
1892   Poineau-Pinault    
1900   Adolphe Ploquin    
1904   Ploquin-Dailleux    
1908   Adolphe Ploquin    
1935   Joseph Donneau    
1945   Victor Renou    
1947   Henri Ribière    
mars 1983 mars 2001 Antoine Berthelot   retraité
mars 2001 mars 2014 Marc Silvestre[21]   directeur travaux BTP
mars 2014 mai 2020 Paul Tresmontan[22]   directeur financier
mai 2020 avril 2021
(élection annulée)
Didier Petit[23]    
12 avril 2021 mars 2022 Paul Tresmontan[24],[25]    
12 mars 2022 En cours
(au 15 mars 2022)
Martine Chauvin[26]    
Les données manquantes sont à compléter.

Après les résultats des municipales 2020, un recours est porté auprès du tribunal administratif de Nantes, qui décide le 9 juillet, d'inverser le résultat des élections à la suite de 14 bulletins controversés. La liste adverse fait ensuite appel de la décision devant le Conseil d'État. La cour valide en mars de l'année suivante la décision du tribunal administratif[27],[28],[25]. Un nouveau conseil municipal est mis en place en avril 2021[29]. L'année suivante, à la suite de démissions successives, de nouvelles élections municipales sont organisées en mars 2022[30].

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes Loire Layon Aubance, après disparition de la communauté de communes des Coteaux du Layon[31], elle-même membre du syndicat mixte Pays de Loire en Layon.

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Thouarcé et de l'arrondissement d'Angers[32]. Le canton de Thouarcé compte alors dix-sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. Le canton de Thouarcé disparaît et la commune de Beaulieu-sur-Layon est rattachée au canton de Chemillé-Melay, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[33].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 1 353 habitants[Note 5], en évolution de −4,85 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0051 0097779651 0081 0189961 0681 168
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1851 1341 2261 1881 2001 1231 0951 0291 006
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 018978959854891917932977990
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0259489449959811 0691 3551 4311 416
2018 2021 - - - - - - -
1 3701 353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 695 hommes pour 675 femmes, soit un taux de 50,73 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
1,9 
6,3 
75-89 ans
10,4 
12,2 
60-74 ans
12,3 
23,3 
45-59 ans
21,6 
19,3 
30-44 ans
21,6 
15,1 
15-29 ans
12,9 
22,4 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Vie locale

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Économie

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Sur 128 établissements présents sur la commune à fin 2010, 23 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 48 % de celui du commerce et des services et 19 % du secteur de l'administration et de la santé[40].

La commune se situe dans l'aire d'appellation viticole du Coteaux-du-Layon (AOC). Vingt-sept communes du département, bordant la rivière du Layon, constituent l'aire géographique de l'appellation d'origine contrôlée Coteaux du Layon[41].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments inscrits

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Autres lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 286-289.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c IGN et BRGM, Géoportail Beaulieu-sur-Layon (49), consulté le 14 août 2012
  2. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Beaulieu-sur-Layon (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 7 mars 2015 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 140 et 146 — Données consultables sur WikiAnjou.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  10. « Fiche du Poste 49022001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Beaulieu-sur-Layon ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. Célestin Port 1965, p. 286.
  17. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Beaulieu-sur-Layon, consulté le 20 mars 2022 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  18. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7), p. 26-27.
  19. Port 1965, p. 287.
  20. Célestin Port 1965, p. 289, liste des maires jusqu'en 1965.
  21. Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 26.
  22. « Paul Tresmontan succède à Marc Silvestre », sur Ouest-France, (consulté le ).
  23. « Beaulieu-sur-Layon. Le nouveau conseil municipal est installé », sur Ouest-France, (consulté le ).
  24. « Beaulieu-sur-Layon. La liste de Paul Tresmontan est définitivement élue », sur Ouest-France, (consulté le ).
  25. a et b Conseil d'État, no 442353 (ECLI:FR:CECHS:2021:442353.20210330), Lecture du mardi 30 mars 2021.
  26. « Beaulieu-sur-Layon. Martine Chauvin endosse l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  27. « Beaulieu-sur-Layon. Micmac électoral : le perdant sera-t-il gagnant ? », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  28. « Beaulieu-sur-Layon. Résultat des municipales : la bataille se poursuit devant les tribunaux », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  29. « Beaulieu-sur-Layon. La nouvelle équipe municipale à pied d’œuvre », sur Ouest-France, .
  30. Bruno Jeoffroy, « Maine-et-Loire. Trois listes pour de nouvelles élections municipales à Beaulieu-sur-Layon », sur Le Courrier de l'Ouest, .
  31. Insee, Composition de l'EPCI des Coteaux du Layon (244900734), consulté le 31 août 2013.
  32. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Beaulieu-sur-Layon, consultée le 22 février 2015
  33. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaulieu-sur-Layon (49022) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  40. Insee, Statistiques locales du territoire de Beaulieu-sur-Layon (49), consultées le 5 décembre 2012.
  41. INAO, Fiche Coteaux du Layon, consultée le 2 septembre 2012.
  42. « Eglise », notice no PA00108965, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Hotel Desmazieres », notice no PA00108966, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Logis de la Pinsonniere », notice no PA00108967, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.