Bataille d'Auneau
La bataille d'Auneau, le , est une bataille de la huitième guerre de Religion qui oppose catholiques et protestants.
Date | |
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Lieu | Auneau (Eure-et-Loir) |
Issue | Victoire du duc de Guise |
Mercenaires étrangers | Armée royale |
Fabien de Dohna | Henri de Guise |
2 000 à 3 000 reîtres | environ 3 000 fantassins (dont 2 500 arquebusiers) et 1 000 cavaliers |
environ 1 000 hommes | faibles |
Huitième guerre de religion (1585–1598)
Batailles
Prélude
Première guerre de Religion (1562-1563)
Deuxième guerre de Religion (1567-1568)
Troisième guerre de Religion (1568-1570)
Quatrième guerre de Religion (1572-1573)
Cinquième guerre de Religion (1574-1576)
Sixième guerre de Religion (1577)
Septième guerre de Religion (1579-1580)
Huitième guerre de Religion (1585-1598)
Guerre des Trois Henri
- Traité de Joinville (1584)
- Édit de Nemours (1585)
- Jarrie (1587)
- Coutras (1587)
- Vimory (1587)
- Auneau (1587)
- Journée des Barricades (1588)
- Arques (1589)
- Ivry (1590)
- Paris (1590)
- Journée des Farines (1591)
- Chartes (1591)
- Poncharra (1591)
- Châtillon (1591)
- Rouen (1591-1592)
- Craon (1592)
- Port-Ringeard (1593)
- Fort Crozon (1594)
- Fontaine-Française (1595)
- Doullens (1595)
- Amiens (1597)
- Édit de Nantes (1598)
Rébellions huguenotes (1621-1629)
- Saumur (1621)
- Saint-Jean-d'Angély (1621)
- La Rochelle (1621)
- Montauban (1621)
- Riez (1622)
- Royan (1622)
- Sainte-Foy (1622)
- Nègrepelisse (1622)
- Saint-Antonin (1622)
- Montpellier (1622)
- Saint-Martin-de-Ré (1622)
- Traité de Montpellier (1622)
- Blavet (1625)
- Île de Ré (1625)
- Traité de Paris (1626)
- Saint-Martin-de-Ré (1627)
- La Rochelle (1627-1628)
- Privas (1629)
- Alès (1629)
- Montauban (1629)
- Paix d'Alès (1629)
Révocation de l'édit de Nantes (1685)
Description
modifierUn mois après la bataille de Vimory, le duc de Guise écrase les troupes de Fabien Ier de Dohna, que les princes protestants envoient à la rescousse du roi de Navarre.
La capitulation, établie à Marsigny-les-Nonnains dispose que « nul français ou étranger ne portera plus les armes contre le roy et que les estrangers ne viendront plus en France que sur sa demande. » Elle fut conclue par le prince de Conti en tant que commandant, le baron de Dohna et le colonel Bourg d'une part et par le roy d'autre part (le duc d'Espernon lui a apporté la lettre à Nevers). Les armées royales retournent vers Paris.