Bélesta (Pyrénées-Orientales)
Bélesta Écouter est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
Bélesta | |||||
Vue générale de Bélesta. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Roussillon Conflent | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Bourniole 2020-2026 |
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Code postal | 66720 | ||||
Code commune | 66019 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ballestrucs | ||||
Population municipale |
212 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 43′ 06″ nord, 2° 36′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 122 m Max. 561 m |
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Superficie | 20,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | La Vallée de l'Agly | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Riberette. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bélesta est une commune rurale qui compte 212 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 475 habitants en 1901. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Ballestrucs.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Bélesta se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 19 km de Prades[3], sous-préfecture, et à 23 km de Rivesaltes[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Cassagnes (2,6 km), Caramany (3,6 km), Montalba-le-Château (4,6 km), Ille-sur-Têt (5,3 km), Rasiguères (5,4 km), Planèzes (5,5 km), Néfiach (5,5 km), Trévillach (6,4 km). Sur le plan historique et culturel, Bélesta fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[6].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Cassagnes, Montner, Millas, Néfiach, Ille-sur-Têt, Montalba-le-Château et Caramany.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 2 052 hectares. L'altitude varie entre 122 et 561 mètres[8]. Le centre du village est à une altitude de 360 m[9].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].
Hydrographie
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 813 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Paul-de-Fenouillet à 13 km à vol d'oiseau[13], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,9 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[17] :
- le « massif du pic Aubeill » (740 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;
- le « massif du Sarrat d'Espinets » (1 772 ha), couvrant 6 communes du département[19],
- le « plateau de Rodès et de Montalba » (2 677 ha), couvrant 5 communes du département[20] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[21].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bélesta est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,9 %), cultures permanentes (31,3 %), forêts (25,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierRisques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Bélesta est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[26].. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[27]
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Bélesta est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Toponymie
modifierEn occitan, le nom de la commune est Belhestar et en catalan, Bellestar. Elle est appelée traditionnellement Belhestar de la Frontièra en occitan et Bellestar de la Frontera en catalan. Cette dénomination vient du fait que, entre le XIIIe et le XVIIe siècle, le territoire du village jouxtait au nord l'ancienne frontière séparant le royaume de France du royaume d'Aragon, frontière établie en 1258 par le traité de Corbeil et supprimée en 1659 par le traité des Pyrénées.
Le peuplement d'origine se nommait Riberach. Il se déplace vers le milieu du XIIe siècle, sans doute pour des raisons défensives, et la nouvelle implantation prend alors le nom de Bel Estar. La première mention du nouveau nom date de 1173 (alode de Riberacho seu de Pulcro novo Estar). En 1312, à propos du château, on parle de castrum de Pulchro Stare[9]. Pulcro ou pulchro vient du latin pulcher, ayant pour sens « beau » ou « joli »[29].
Histoire
modifierLes lieux de Caladroy et Jonquerolles sont cités dès 1020 dans le testament de Bernard de Besalú.
En août 1260, les habitants de Bélesta sont excommuniés pour s'être appropriés les revenus de l'église de Saint-Barthélémy de Jonquerolles.
Politique et administration
modifierCanton
modifierEn 1790, la commune de Bélesta est incluse dans le canton de Latour-de-France, qu'elle ne quitte plus par la suite[30],[8].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de la Vallée de l'Agly.
Administration municipale
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie ancienne
modifierLa population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 5], en évolution de −8,62 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[39] | 1975[39] | 1982[39] | 1990[39] | 1999[39] | 2006[40] | 2009[41] | 2013[42] |
Rang de la commune dans le département | 122 | 112 | 126 | 130 | 141 | 140 | 142 | 138 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
modifierLe secteur du collège est Ille-sur-Têt[43].
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Fête patronale et communale : 24 et 25 août[44] ;
- Journées de la céramique de Bélesta : fin avril-début mai.
Santé
modifierSports
modifierÉconomie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 111 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 248 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 580 €[I 5] (19 350 € dans le département[I 6]).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 10,8 % | 17,4 % | 19,7 % |
Département[I 8] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 122 personnes, parmi lesquelles on compte 76,2 % d'actifs (56,6 % ayant un emploi et 19,7 % de chômeurs) et 23,8 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 43 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 71, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,9 %[I 11].
Sur ces 71 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
modifier19 établissements[Note 8] sont implantés à Bélesta au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 19 entreprises implantées à Bélesta), contre 30,5 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
modifier1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 58 | 35 | 15 | 8 |
SAU[Note 9] (ha) | 517 | 589 | nd | 192 |
La commune est dans les « Corbières du Roussillon », une petite région agricole occupant le nord du département des Pyrénées-Orientales[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (58 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 192 ha[47],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
modifierLangue locale
modifierBélesta se situe dans la zone linguistique occitane, où la voyelle "u" est prononcée [y] et non [u], ce qui est un fait reconnu par les chercheurs, occitanistes[48] et catalanistes[49].
Monuments et lieux historiques
modifier- Bornes frontières.
- Château de Bélesta, du XIIe siècle, qui abrite un musée.
- Caune de Bélesta, grotte où furent trouvés des vestiges préhistoriques dont certains sont exposés au musée du château.
- Puits à glace.
- Dolmen de Bélesta.
- L'église Saint-Barthélemy de Bélesta, église romane.
- L'église Saint-Barthélemy de Jonqueroles, autre église romane, en ruines.
- Château de Caladroy.
- Chapelle Saint-Michel du château de Caladroy.
- Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus du château de Caladroy.
- Llébrès, hameau d'origine médiévale en ruine.
-
Le dolmen de Bélesta
-
Puits à glace
-
Église Saint-Barthélemy de Bélesta (vue ouest)
-
Inscription au-dessus du portail de l'Église Saint-Barthélemy de Bélesta, date 1648
-
Ancienne porte fortifiée
-
Musée de la Préhistoire
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Église Saint-Barthélemy de Jonqueroles
-
Chapelle du Sacré-Cœur de Jésus du château de Caladroy
-
Chapelle Saint-Michel du château de Caladroy
-
Château de Caladroy
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierLes armes peuvent se blasonner ainsi : De sable au chevron renversé d'argent accompagné de trois macles mal ordonnées du même. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Françoise Claustre, La cauna de Bélesta : une tombe collective il y a 6000 ans, Toulouse, Centre d'anthropologie des sociétés rurales, (ISBN 2-9507654 (édité erroné), BNF 36678087)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Bélesta (Pyrénées-Orientales) »..
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bélesta » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bélesta » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bélesta » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bélesta » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- Stephan Georg, « Distance entre Bélesta et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bélesta et Prades », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bélesta et Rivesaltes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bélesta », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 203-204.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bélesta et Saint-Paul-de-Fenouillet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Paul De Fenouillet » (commune de Saint-Paul-de-Fenouillet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Paul De Fenouillet » (commune de Saint-Paul-de-Fenouillet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « ZNIEFF le « massif du pic Aubeill » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Sarrat d'Espinets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Rodès et de Montalba » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Fenouillèdes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune de Bélesta », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bélesta », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Wiktionary
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Liste des maires de Bélesta sur le site MairesGenWeb
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Bélesta, le 21 juin 1815, 31 janvier 2014
- Gérard Maincent, « Bélesta : R. Morin a présenté ses derniers vœux », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Loïs Alibèrt, Gramatica occitana: segon los parlars lengadocians, Institut d'Estudis Occitans [u.a.], (ISBN 978-84-7283-554-2 et 978-2-85910-274-6)
- Henri Guiter, Atlas linguistique des Pyrénées Orientales, Paris, Centre National de la Recherche Scientifique,