Auvers (Haute-Loire)

commune française du département de la Haute-Loire

Auvers est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Auvers
Auvers (Haute-Loire)
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes des Rives du Haut Allier
Maire
Mandat
René Soulier
2020-2026
Code postal 43300
Code commune 43015
Démographie
Population
municipale
48 hab. (2021 en évolution de −21,31 % par rapport à 2015)
Densité 2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 49″ nord, 3° 24′ 11″ est
Altitude Min. 756 m
Max. 1 496 m
Superficie 21,5 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Auvers
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Auvers
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Auvers

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Auvers se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 61 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 52 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 29 km de Langeac[3], bureau centralisateur du canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : La Besseyre-Saint-Mary (3,1 km), Desges (4,6 km), Paulhac-en-Margeride (5,7 km), Pinols (6,2 km), Tailhac (6,6 km), Chazelles (7,2 km), Venteuges (7,6 km), Pébrac (9,3 km).

Elle est traversée par le 45e parallèle nord et est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 6,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 045,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records AUVERS (43) - alt : 1134m, lat : 44°59'59"N, lon : 3°22'17"E
Records établis sur la période du 01-01-1986 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −4 −4,4 −2 0,1 3,5 6,6 7,9 8 5,3 3,4 −0,5 −3,2 1,7
Température moyenne (°C) −0,7 −0,4 2,8 5,4 9,2 12,8 14,8 14,8 11,1 7,9 3 0 6,7
Température maximale moyenne (°C) 2,7 3,6 7,6 10,6 14,9 19 21,7 21,6 16,9 12,4 6,4 3,1 11,7
Record de froid (°C)
date du record
−23,2
17.01.1987
−21
10.02.1986
−24,5
01.03.05
−11,5
22.04.1991
−5,5
15.05.1995
−3,1
06.06.1989
−0,1
25.07.1986
−2,5
30.08.1986
−5
08.09.1996
−11,3
25.10.03
−15
22.11.1998
−18,5
15.12.01
−24,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
16
16.01.1993
18,8
20.02.1998
20,3
17.03.04
23,3
30.04.05
26,6
11.05.12
35
27.06.19
33,7
23.07.19
33,6
13.08.03
29,5
16.09.1987
24
12.10.01
19,2
08.11.15
15,2
16.12.1989
35
2019
Précipitations (mm) 75,2 65,7 63,2 95,8 101,1 87,5 82,3 77,4 93 107,8 110,9 85,4 1 045,3
Source : « Fiche 43015001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

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Le principal cours d'eau qui traverse la commune est la Desges.

Géologie et relief

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La commune se situe dans les monts de la Margeride, un massif caractérisé par une formation granitique au sud et métamorphique au nord[11]. Son point culminant, le mont Mouchet, atteint 1 496 mètres d'altitude.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Auvers est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,8 %), prairies (17,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 84 en 2013 et de 81 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 26,1 % étaient des résidences principales, 61,4 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Auvers en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (61,4 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Auvers en 2018.
Typologie Auvers[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 26,1 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 61,4 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 12,5 12,4 8,2

Hameaux et lieux-dits

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Villages : Chanteloube, Lair, la Valette, Nozeyrolles.

Maisons isolées : Collony, le Mont Mouchet, le Pavillon.

Toponymie

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Le toponyme aurait une origine gauloise, issu d'Arvernus, surnom ethnique, ou composé d'are, « devant », et vern-, « aulne »[16].

Mansus d'Alvers (1459), Auvercium (1505), Auvers (1511), Anvers (1888)[17].

Histoire

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Entre Pavillon et Chanteloube, six silex ont été retrouvés par J. Richard dans les années 1970[18].

La commune de Nozeyrolles, créée durant la Révolution et portant le nom d'un hameau actuel, fait partie du canton de Pinols et de l'arrondissement de Brioude. C'est à partir du début du XIXe siècle que la verrerie de Colany s'y établit, succédant à celle de Margeride. Spécialisée dans la production de verre blanc, elle génère chaque année 70 à 80 000 francs de marchandises et emploie une trentaine d'ouvriers en période de production, ainsi que des bûcherons en hiver. Les produits fabriqués incluent des verres de table, des carafes, des bocaux, ainsi que des pièces pour la chimie et la pharmacie[19].

Lors des violents combats du Mont-Mouchet, qui firent au moins 210 victimes, 11 personnes perdirent la vie sur la commune d'Auvers : 5 résistants le et 5 civils les 14 et . Plusieurs civils furent exécutés par les Allemands. C’est à Auvers, lors des combats des 10 et , qu’un soldat FFI non identifié fut tué[20].

Par un décret en date du , paru au Journal officiel de la République française le (page 7386), il est attribué à la commune de Nozeyrolles la dénomination d'Auvers[21],[22]. Puis en mars 2015, à la suite du redécoupage des cantons du département, elle est rattachée au canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan[23].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune d'Auvers est membre de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[25].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal d'Auvers, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[26] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[27]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 7. Sur les huit candidats en lice[28], sept sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[29]. René Soulier, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [30].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[31]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[32].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Gabriel Boisserie   Garde forestier au Pavillon
2014 En cours
(au 16 septembre 2014)
René Soulier[33]   Enseignant retraité à Chanteloube

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 48 habitants[Note 3], en évolution de −21,31 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
417410410577551564548519575
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
566565545462510439413446448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
454438391302267236234208180
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1611471251038667615958
2018 2021 - - - - - - -
5148-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 17,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 27 hommes pour 24 femmes, soit un taux de 52,94 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
14,8 
75-89 ans
25,0 
29,6 
60-74 ans
29,2 
25,9 
45-59 ans
12,5 
11,1 
30-44 ans
16,7 
11,1 
15-29 ans
8,3 
7,4 
0-14 ans
8,3 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

Économie

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Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 9] 0 % 6,3 % 0 %
Département[I 10] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 30 personnes, parmi lesquelles on compte 63,3 % d'actifs (63,3 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 36,7 % d'inactifs[Note 4],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 12]. Elle compte 12 emplois en 2018, contre 11 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 20, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,7 %[I 13].

Sur ces 20 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 55 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5 % les transports en commun, 20 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 20 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture

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3 établissements[Note 5] sont implantés à Auvers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 3
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
1 33,3 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
1 33,3 % (28,8 %)
Activités immobilières 1 33,3 % (3,9 %)

Le secteur des activités immobilières est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 3 entreprises implantées à Auvers), contre 3,9 % au niveau départemental[I 17].

Agriculture

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La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Margeride »[37]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la production de bovins, orientation lait[38].

1988 2000 2010
Exploitations 14 s[Note 8] s
Superficie agricole utilisée (ha) 557 s s

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 14 en 1988 à un nombre inférieur au secret statistique en 2010[39]. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 43 % de ses exploitations[40]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Sculptures de Philippe Kaeppelin du combat de Marie-Jeanne Vallet contre la Bête du Gévaudan.

Auvers dans les arts

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Un village Auvers est cité dans le poème d'Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[42].

Sans autre précision de la part du poète, il peut s'agir de deux villages :

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. La valeur est inférieure au secret statistique.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Auvers » (consulté le ).
  3. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Auvers - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Auvers - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Auvers (43015) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Auvers » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Auvers » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre à Auvers » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre dans la France entière Haute-Loire » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Auvers et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Auvers et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Auvers et Langeac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Auvers », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Auvers » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Auvers » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Le territoire de la Margeride - Conservatoire botanique national du Massif central », sur projets.cbnmc.fr (consulté le )
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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