Auppegard

commune française du département de la Seine-Maritime

Auppegard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Auppegard
Auppegard
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
Maire
Mandat
Dominique Laplace
2020-2026
Code postal 76730
Code commune 76036
Démographie
Gentilé Pougarais
Population
municipale
692 hab. (2021 en évolution de −5,34 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 49″ nord, 1° 01′ 50″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 107 m
Superficie 7,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Auppegard
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Auppegard
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Auppegard
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Auppegard
Liens
Site web http://www.auppegard.fr/

Les principaux centres d'intérêt patrimoniaux du village sont le manoir seigneurial (ferme des Tourelles), l'église Saint-Pierre et le château ayant notamment appartenu à la peintre américaine Anna Hope Hudson.

Géographie

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Localisation

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Commune du pays de Caux située dans le canton de Luneray.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe de sept communes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Auppegard est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,1 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (0,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 313, alors qu'il était de 299 en 2014 et de 273 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Auppegard en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Auppegard en 2019.
Typologie Auppegard[I 2] Seine-Maritime[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 89,1 87,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 4 9,7
Logements vacants (en %) 6,7 8,2 8,2

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Appelgart vers 1160 et Alpegart à la fin du XIIe siècle[12].

Épégard (Eure) présente des formes analogues : Auppegardus en 1181 et Alpegard en 1199[13].

La forme la plus ancienne d'Auppegard, Appelgart vers 1160, montre que le [l] se trouvait initialement devant le [g]. Une métathèse du [l], commune en ancien français, s'est produite postérieurement, d'où Alpegart au XIIe siècle, puis vocalisation du [l] devant [p], d'où Aup- (cf. latin talpa > taupe). La graphie -art des formes anciennes pour -ard est typique de l'ancien français (cf. Renard, jadis Renart du germanique Renhard).

Il s'agit d'un composé du vieil anglais æppel « pomme » et du vieux scandinave garðr « enclos, clos », d'où le sens global de « pommeraie »[14]. Cette hypothèse est confortée par la localisation de ces deux noms de lieux dans la zone de diffusion de la toponymie scandinave. Ils remontent probablement au Xe siècle et sont témoins de l'ancienneté de la culture des pommes en Normandie.

Auppegard a son correspondant exact au Yorkshire, région du Danelaw en Angleterre : Applegarth (en) mentionné sous la forme Appelgard vers 1160.

Histoire

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Moyen Âge

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Le titre de seigneur d'Auppegard revient au XVe siècle aux Le Marinier, qui le conserveront jusqu'à la Révolution[15].
Cette famille fera notamment édifier la ferme des Tourelles au XVIe siècle (voir sous-section dédiée).

Seconde Guerre Mondiale et explosion du V1

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Durant la Seconde Guerre mondiale, à 6 heures 30, le matin du 16 juin 1944, en pleine bataille de Normandie, un V1 est envoyé vers Londres à partir de la piste de Bertreville-Saint-Ouen située à 3 kilomètres. Quelques instant plus tard, après une bruyante mise à feu, le robot, sciant les airs, vient s'écraser dans une cour de ferme à Auppegard. Pour les matinaux, la nouvelle se répand très vite et des centaines de civils viennent s'attrouper autour de l'engin.

L'explosion de ce dernier a lieu à 7 heures et fait 14 victimes (dont l'une n'est pas identifiée)[16], plusieurs blessés et des dégâts matériels, notamment sur l'église Saint-Pierre. Les vitraux de cette dernière seront toutefois épargnés puisqu'ils avaient été déplacés peu de temps auparavant par les services des Monuments Historiques.

Un monument commémoratif sera élevé en 1954 pour rendre hommage aux victimes. Un vitrail de l'église, réalisé en style naïf rappelle également cet évènement[15].

Évidemment on connaissait les obus, les mines et toutes ces choses, mais pas ces robots-là qui produisaient un vacarme absolument terrible.

Il y avait de la viande dans les pommiers et certains gars ne furent même pas retrouvés, les témoins étaient abasourdis.

Témoignage d'un habitant du village (2017)

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bacqueville-en-Caux[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Luneray

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Auppegard était membre de la communauté de communes Saâne et Vienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Terroir de Caux dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1912   Émile Baudouin    
Les données manquantes sont à compléter.
1956[18] 1999 Michel Dupuis    
février 1999 mars 2001 Francis Thomas   Professeur en lycée technique
2001[18] 2008 Jean-Pierre Martine   Instituteur
mars 2008 mai 2020[19] Jacques Deprez   Retraité
mai 2020[20],[21] En cours
(au 19 juillet 2022)
M. Dominique Laplace   Chargé d’études et de projets
Vice-président de la CC Terroir de Caux (2020 → )

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 692 habitants[Note 2], en évolution de −5,34 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
600612647689677771749754821
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
744709702663632598548528479
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
503521551450433444453495467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
451422468523551561633656711
2014 2019 2021 - - - - - -
734692692------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Patrimoine culturel

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre :
    L'édifice date des XVIe et XVIIe siècles[25] et possède un clocher tors[26],[27], caractéristique de certaines églises de la région. De même, sa nef en forme de carène inversée est typique du style régional. L'église Saint-Pierre est inscrite (mais pas classée) au titre des Monuments Historiques depuis le 6 janvier 1926. À cet égard, trois statues, la porte latérale sud et l'autel de l'église font l'objet d'une notice du Ministère de la Culture.
    Une des cloches, bénite en 1644, fait mention d'Anne Le Marinier, la fille d'Antoine Le Marinier alors seigneur d'Auppegard, et de Jacob Bontemps, capitaine de navire et sieur de Vaux et probable premier propriétaire du château d'Auppegard.
  • Le manoir seigneurial ou ferme des Tourelles :
    Ce manoir est construit vers 1560 et sera la propriété des seigneurs d'Auppegard, à savoir les Le Marinier, jusqu'à la Révolution. Le bâtiment est en briques et grès, avec des pignons à redans et des ouvertures asymétriques.
    Un colombier pour l'élevage des pigeons est situé sur la propriété. Ce type d'ouvrage était alors réservé à la noblesse.
  • Le château, datant des XVIIe et XVIIIe siècles.
    Sa construction est attribuée à Jacob Bontemps (1604-1664), marin dieppois anobli pour son travail en tant que capitaine de la marine pour le Roi et acquisiteur de la terre autour de 1640 (fief du "Vaux du Parc"). Il est devenu plus tard seigneur d'Omonville[28].
    Le château est agrandi en 1773 par la famille Jean, héritiers de la famille Delestre. Dans les années 1920, il est acheté et aménagé par la peintre Anna Hope Hudson (voir section dédiée) et sa compagne.
    Il devient la propriété des châtelains de Miromesnil en 1938.
  • Le monument commémoratif, inauguré le à la mémoire des victimes du missile V1, dix ans plus tôt[29].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Tiercé en pal: au 1er de gueules au bâton d'Asclépios d'argent accosté en pointe des lettres cursives majuscules A et J du même et surmonté d'un écusson de sable à l'aigle bicéphale d'argent, becquée et membrée de gueules, au 2e d'argent à trois coquilles d'azur rangées en pal, au 3e de gueules au clocher Tors d'argent, mouvant de la pointe et sommé d'une croisette latine du même sur laquelle est planté un drapeau de sable flottant vers senestre; à la terrasse cannelée de trois pièces de sinople[31].
Détails
Adopté le 20 juin 2024.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France »,

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Auppegard » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Auppegard - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Auppegard - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Auppegard et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150), p. 33.
  13. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 978-2-7084-0067-2, OCLC 9675154), p. 104.
  14. François de Beaurepaire, op. cit.
  15. a et b Collectif, Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Flohic éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1342 p. (ISBN 2-84234-017-5), p. 67-68 (tome I)
  16. Norbert Dufour et Christian Doré (préf. Daniel Pégisse), L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 978-2-86743-179-1 et 2-86743-179-4), p. 181-182.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. a et b « Auppegard », Les communes seinomarines, sur seine76.fr (consulté le ).
  19. « En Seine-Maritime, le maire d’Auppegard ne briguera pas un nouveau mandat : En mars prochain, le maire d’Auppegard ne se représentera pas. Il l’a annoncé lors du dîner de la municipalité », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Deprez a annoncé à l’assemblée, lors de son discours de bienvenue, qu’il ne se représentera pas à sa propre succession en mars prochain lors des élections municipales. « Il y a un temps pour tout et je n’ai pas encore connu les plaisirs de la retraite, ayant été élu il y a bientôt douze ans », a souligné le maire ».
  20. « Dominique Laplace présente une liste à Auppegard, pour les élections municipales de mars 2020 : Dominique Laplace se présente aux élections municipales de mars 2020 à Auppegard, à la tête de la liste « Une équipe, des projets d’avenir », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Liste des maires du département de la Seine-Maritime : Mise à jour le 10 août 2020- Liste définitive »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de Seine-maritime (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Notice no PA00100551, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Photos de l'église et du « clocher tors »
  27. Quelques autres clichés du « clocher tors »
  28. « Généalogie - Jacob Bontemps », sur geneanet.org.
  29. Site aerosteles.net
  30. (en) Nicola Moorby, The Camden Town Group in Context, Tate Britain, (ISBN 978-1-84976-385-1, lire en ligne), Anna Hope Hudson
  31. Armorial de France, p. 20829