Assignation identitaire
L'assignation identitaire, qu'elle soit de genre, de race, de religion, d'orientation sexuelle, etc., renvoie l'individu à une identité figée en lui attribuant des traits propres à son groupe d'appartenance qu'il soit réel ou supposé.
Bibliographie
modifier- Laurent Bazin, « Une entreprise en noir et blanc : pouvoir et assignations identitaires », Journal des anthropologues, vol. 66, no 1, , p. 41–58 (DOI 10.3406/jda.1996.1988, lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Charlot, « All Blacks et Guerriers du Pacifique dans la presse rugby : entre assignation identitaire et culture promotionnelle globale du rugby français », Questions de communication, no 35, , p. 23–38 (ISSN 1633-5961, DOI 10.4000/questionsdecommunication.18929, lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Duvoux, Les inégalités sociales, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (ISBN 978-2-7154-0609-4 et 2-7154-0609-6, OCLC 1243073690, lire en ligne).
- Mokhtar Kaddouri, « Le projet de soi entre assignation et authenticité », Recherche & formation, vol. 41, no 1, , p. 31–47 (DOI 10.3406/refor.2002.1772, lire en ligne, consulté le ).
- Mokhtar Kaddouri, « La formation des adultes en entreprise : entre compétences et assignation identitaire », Éducation et francophonie, vol. 30, no 1, , p. 158–171 (ISSN 0849-1089 et 1916-8659, DOI 10.7202/1079545ar, lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Veron, « La construction politique de la « collectivité Boliviana » en Argentine : Entre assignations identitaires et identifications résistantes », Revue Asylon(s), no 9, (lire en ligne, consulté le ).