Aspach (Haut-Rhin)

commune française du département du Haut-Rhin

Aspach [aspak] Écouter est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.

Aspach
Aspach (Haut-Rhin)
La mairie.
Blason de Aspach
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Altkirch
Intercommunalité Communauté de communes Sundgau
Maire
Mandat
Fabien Schoenig
2020-2026
Code postal 68130
Code commune 68010
Démographie
Gentilé Aspachois
Population
municipale
1 134 hab. (2021 en évolution de −0,09 % par rapport à 2015)
Densité 270 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 38′ 37″ nord, 7° 14′ 05″ est
Altitude Min. 293 m
Max. 386 m
Superficie 4,2 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Altkirch
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Altkirch
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aspach
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Aspach
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Aspach
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Aspach

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

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Localisation

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Village faisant partie de l'arrondissement et du canton d'Altkirch.

Il s'étend sur un plateau du Sundgau entre les vallées de l'Ill et de la Largue, à 2 km d'Altkirch, 12 km de Dannemarie, 27 km de Thann et 17 km de Mulhouse.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Zipfelgraben[1],[Carte 1].

 
Réseau hydrographique d'Aspach[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Largue ». Ce document de planification concerne le bassin versant de la Largue et une zone située à l'ouest du périmètre (la région de Montreux). Ce territoire s'étend sur 385 km2. Le périmètre a été arrêté le 4 mars 1996 et le SAGE proprement dit a été approuvé le puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat mixte pour l'aménagement et la renaturation du bassin versant de la Largue et du secteur de Montreux, qui a évolué en Epage le , sous le nom de Epage Largue[2].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 877 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carspach », sur la commune de Carspach à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 827,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,7 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Aspach est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Altkirch[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[12]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,4 %), zones agricoles hétérogènes (30,9 %), zones urbanisées (15,6 %), forêts (13,1 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Du vieil allemand Aba, tremble et du franc Bach = ruisseau.

La commune se nomme Àschpi en alsacien[16].

Histoire

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Le village semble remonter à la plus haute Antiquité, vraisemblablement à l'époque franque. Cette commune avait autrefois une source d'eau sulfureuse froide qui était exploitée par les Romains. Cependant, il semble que la source ait déjà été exploitée du temps des Gallo-Romains. Cette source est située à la sortie du village en direction d'Altkirch. Elle est entourée par un puits à margelle (malheureusement à l'abandon) situé au milieu d'un champ de maïs.

Le village est mentionné pour la première fois en 991 alors que le monastère d'Eschau y possède des terres. À partir du XIIe siècle, le prieuré de Saint-Morand à Altkirch possède dans le village une cour colongère. Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, le village est placé sous la dépendance de la mairie de Hundsbach, administrée par la seigneurie d'Altkirch, gouverné par les comtes de Ferrette.

Plus tard, ce sont les descendants du duc d'Autriche, seigneurs de Habsbourg qui gouvernent le village. À la fin du XVe siècle, la région est le théâtre de luttes incessantes entre les Bourguignons et les Armagnacs au cours de la guerre de Cent Ans. En 1469, le duc d'Autriche, à court d'argent, vend ses terres de haute Alsace à Charles le Téméraire, duc de Bourgogne qui nomme un grand bailli, Pierre de Hagenbach pour rétablir la paix dans la région. Mais celui-ci s'attire la colère du peuple par ses maladresses. Il est capturé et décapité à Breisach (Baden-Württemberg) par les États alsaciens coalisés en 1474. En signe de vengeance, son frère Étienne de Hagenbach pénètre dans la région avec ses troupes bourguignonnes et ravage tout sur son passage. Cette invasion est fatale à Aspach comme à Altkirch.

C'est à cette période qu'est détruite la première église du village. Un second lieu de culte a été reconstruit, probablement sur le même emplacement en 1502, comme en témoigne la clef de voûte de l'actuel clocher à toit en bâtière. Le village à peine relevé doit faire face à l'arrivée des Suédois pendant la guerre de Trente Ans dans les années 1630.

On note alors la disparition du village-jumeau d'Aspach, appelé Lottringen. Ce village disparu vaut aujourd'hui au village le surnom de Lott-Aspi en langue alsacienne. Le XVIIe siècle ramène la prospérité et la paix. En 1814, la paroisse d'Aspach qui dépendait jusqu’alors de la paroisse de Carspach devient autonome. La commune forme alors une nouvelle commune avec Obermorschwiller et Carspach.

Le village a grandement souffert lors du premier conflit mondial, puisque situé sur la ligne de front. Il a ainsi été évacué pendant plus de deux ans.

La commune a été décorée, le 17 mars 1922, de la croix de guerre 1914-1918[17].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune d'Aspach est membre de la communauté de communes Sundgau[18], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Altkirch. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[19].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Altkirch, à la circonscription administrative de l'État du Haut-Rhin, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Grand Est[18].

Sur le plan électoral, elle dépendait jusqu'en 2020 du canton d'Altkirch pour l'élection des conseillers départementaux au sein du conseil départemental du Haut-Rhin. Depuis le , elle dépend du même canton pour l'élection des conseillers d'Alsace au sein de la collectivité européenne d'Alsace[20].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Rémy Martin    
avant 1995 mars 2014 Antoine Reichlin SE  
mars 2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Fabien Schoenig[21]
Réélu pour le mandat 2020-2026
SE Professeur des écoles

Budget et fiscalité 2015

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En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 738 000 , soit 634  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 616 000 , soit 529  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 691 000 , soit 594  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 191 000 , soit 164  par habitant ;
  • endettement : 1 398 000 , soit 1 201  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,28 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,12 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 79,76 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 18,72 %.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 1 134 habitants[Note 6], en évolution de −0,09 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
307281402482551628659740739
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
680640644616560582588578596
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
604608643523584586541556579
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5885686297588879811 1321 1321 128
2021 - - - - - - - -
1 134--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Église Saint-Laurent
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L'église Saint-Laurent.
 
Chapelle Notre-Dame de la Litten.

L'église est mentionnée en 1282, et est reconstruite en 1502 dans le style gothique[27]. Le chœur est voûté et la clé de voûte porte cette inscription en allemand : M CCGCC und II, Jor ist diser Kor angefang", soit l'an 1502 ce chœur a été commencé". Une custode sculptée d'allure ogivale est réalisée à la même époque : elle renferme dans un écrin de verre l'hostie consacrée, exposée dans l’ostensoir. Le clocher dont le toit en bâtière s'élève sur trois étages est également percé d'ouvertures gothiques.

En 1829, la nef est remaniée et le portail encadré de deux colonnes monolithiques de facture antique. L'ancien chœur est alors déplacé du cœur de la sacristie et remplacée par un nouveau chœur.

L'orgue a été transformé par Georges Schwenkedel[28], en 1924, dans des conditions discutables[29].

Notre-Dame de la Litten
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La chapelle de la Litten fut érigée en 1862 en mémoire d'une léproserie et fit l'objet d'une rénovation en 1984. La nef est rectangulaire à 2 travées prolongée par un chevet semi-circulaire ; un beffroi en bois se dresse sur la toiture[30].

Statue de Jean Népomucène (1779)
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Le saint est représenté de manière traditionnelle, en chanoine, tenant un crucifix[31].

Monuments commémoratifs

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  • Monument aux morts[32].
  • Stèle commémorative.

Patrimoine naturel

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  • Source d'eau sulfureuse Méridienne[33].
  • L'inventaire national du patrimoine naturel de la commune a permis de recenser 101 taxons terminaux (espèces et infra-espèces)[34].

Héraldique

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Les armes d'Aspach se blasonnent ainsi :
« D'argent à trois trembles arrachés de sinople. »[35]

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Altkirch comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Aspach » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale d'Aspach », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. « SAGE Largue », sur gesteau.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Aspach et Carspach », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Carspach », sur la commune de Carspach - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Carspach », sur la commune de Carspach - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Altkirch », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Villes et villages du Haut-Rhin sur Le Dictionnaire alsacien
  17. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  18. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Aspach », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. « communauté de communes Sundgau - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  20. Rachel Noël, « Collectivité européenne d’Alsace : ce qu'il faut savoir sur le projet », sur www.francebleu.fr, (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. Les comptes de la commune
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Eglise paroissiale Saint-Laurent », notice no IA68005350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. La maison Schwenkedel
  29. Inventaire de l'orgue de l'église Saint-Laurent
  30. « Chapelle de la Litten », notice no IA68005352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Notice no IM68008889, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Saint Jean Népomucène
  32. Monument aux morts
  33. 1934, FORRER (Robert), La source sulfureuse romaine et médiévale d'Altkirch-Aspach, VI (1934) 199-204, fig.
  34. inventaire national du patrimoine naturel
  35. Archives Départementales du Haut-Rhin