Armand-Isidore-Sylvain Petiet
Armand-Isidore-Sylvain, baron Petiet (, Napoléon-Vendée - , Paris), est un homme politique français.
Armand-Isidore-Sylvain Petiet | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (1 an, 3 mois et 16 jours) |
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Élection | 20 février 1876 |
Circonscription | Deux-Sèvres |
Législature | Ire (Troisième République) |
Groupe politique | Appel au peuple |
Prédécesseur | Circonscription créée |
Successeur | Amédée de La Porte |
Conseiller général des Deux-Sèvres | |
– (10 ans) |
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Circonscription | Canton de Frontenay-Rohan-Rohan |
Prédécesseur | Henri Giraud |
Successeur | Jean Coirier |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Napoléon-Vendée |
Date de décès | (à 73 ans) |
Lieu de décès | Paris |
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Biographie
modifierFils de Sylvain Petiet, officier supérieur de cavalerie et premier page de Napoléon Ier, et petit-fils de Claude-Louis Petiet et d'Emmanuel-Armand-Jean-Bénédict de Sainte-Hermine, il entra au conseil d'État comme auditeur de 2e classe le , passa de 1re classe le , refusa, à sa sortie, une sous-préfecture et une inspection générale des Postes dans l'Ouest, et se retira dans ses propriétés des Deux-Sèvres.
Nommé, quelque temps après, conseiller de préfecture à Nice, puis, le , auditeur en service extraordinaire, il ne tarda pas à être mis en disponibilité sur sa demande.
Après le , il fut nommé conseiller municipal de Niort, conseiller général du canton de Frontenay-Rohan-Rohan, et, aux élections législatives du , fut élu député de la 2e circonscription de Niort. Il prit place à droite, dans le groupe bonapartiste de l'Appel au peuple, avec lequel il vota pour le cabinet du 16 mai, contre le manifeste des 363.
Il est le beau-père de Gustave Vuarnier.
Sources
modifier- « Armand-Isidore-Sylvain Petiet », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
Lien externe
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- Ressource relative à la vie publique :