Ambarès-et-Lagrave
Ambarès-et-Lagrave [ɑ̃baʁɛs e laɡʁav] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ambarès-et-Lagrave | |||||
La Mairie (mars 2014). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Bordeaux | ||||
Intercommunalité | Bordeaux Métropole | ||||
Maire Mandat |
Nordine Guendez 2020-2026 |
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Code postal | 33440 | ||||
Code commune | 33003 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambarésiens | ||||
Population municipale |
16 798 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 678 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 55′ 33″ nord, 0° 29′ 07″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 380 m |
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Superficie | 24,76 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Bordeaux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Presqu'île (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ambaresetlagrave.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, sur la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne, Ambarès-et-Lagrave est également située dans le nord de l'aire d'attraction de Bordeaux et dans son unité urbaine.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Ambès, Carbon-Blanc, Bassens, Sainte-Eulalie, Saint-Loubès, Saint-Louis-de-Montferrand et Saint-Vincent-de-Paul.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Ambarès-et-Lagrave est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,1 %), prairies (12,8 %), terres arables (12,5 %), zones humides intérieures (10,1 %), eaux continentales[Note 4] (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), forêts (3,2 %), cultures permanentes (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierRéseau autoroutier
modifier- 42 Ambarès-et-Lagrave, Saint-Loubès
- 43 Sainte-Eulalie, Ambarès-et-Lagrave, Carbon-Blanc
TER Aquitaine
modifierLa ville d'Ambarès-et-Lagrave est desservie par deux gares ferroviaires, la gare de la Grave-d'Ambarès et la gare de La Gorp, qui ont des liaisons régulières avec Bordeaux.
Réseau TBM actuel
modifierAmbarès-et-Lagrave est desservie par les lignes TBM suivantes:
Le réseau TBM évoluant au 4 septembre 2023, Ambarès-et-Lagrave sera desservie par les lignes TBM suivantes:
Réseau TransGironde
modifierLes lignes 201, 202 et 301 traversent la commune. Elles relient la station de tram Buttinière à Blaye, Saint-Ciers-sur-Gironde, Pleine-Selve, Sante-Eulalie, Izon et Libourne.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune d'Ambarès-et-Lagrave est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
modifierLa commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[18]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1999, 2009, 2013 et 2021[20],[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 5 440 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 5 440 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2009, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
modifierLa commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[23].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 5] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[25]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].
Toponymie
modifierLe toponyme d’Ambarès est issu du nom du baron de Montferrand, Tizo de Barès.
Le toponyme de Lagrave vient du terme « grave », qui qualifie un sol dur et caillouteux, celui de la terrasse de Dordogne en bordure des marais de Montferrand[27].
En gascon, le nom de la commune est Ambarés e La Grava.
Histoire
modifierAu XIIe siècle, la ville d’Ambarès faisait partie d'un immense domaine féodal comprenant une grande partie des marais de l’Entre-deux-Mers. Plus tard ce domaine devint Baronnie de Montferrand. L'ancienne paroisse d’Ambarès se trouvait à peu près entièrement sous la juridiction des seigneurs du Gua qui y prélevaient la dîme dès le XVe siècle. Le quartier de Lagrave est rattaché à la commune d’Ambarès en 1818[28], dont il avait été séparé sept à huit siècles plus tôt[réf. nécessaire].
Politique et administration
modifierLa commune d'Ambarès-et-Lagrave fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île dont elle devient le bureau centralisateur[29],[30]. Ambarès-et-Lagrave fait également partie de la métropole de Bordeaux.
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPolitique de développement durable
modifierLa ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[36].
Jumelages
modifier- Kelheim (Allemagne) depuis 1989
- Norton Radstock (en) (Grande-Bretagne) depuis 1982
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants d'Ambarès-et-Lagrave sont appelés les Ambarésiens[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 6].
En 2021, la commune comptait 16 798 habitants[Note 7], en évolution de +5,77 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population d’Ambarès-et-Lagrave a plus que doublé entre 1962 et 1999. Cette importante augmentation de la population est probablement due à la proximité de la ville de Bordeaux.
Économie
modifierBien que le secteur tertiaire (services) soit majoritaire à Ambarès-et-Lagrave, la ville possède également de nombreux emplois dans l'industrie (secteur secondaire).
Secteurs | Ambarès-et-Lagrave (2009) |
France entière (2009) |
---|---|---|
Agriculture (primaire) | 1,6 % | 1,2 % |
Industrie (secondaire) | 27,7 % | 21,0 % |
Services (tertiaire) | 70,6 % | 77,8 % |
Sports
modifierL’Association Sportive Ambarésienne (ASA) est une association omnisports créée en 1970 et régie par la loi du . Le siège social de l’association se situe au complexe sportif de Lachaze sur Ambarès-et-Lagrave.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre des XIe et XIIe siècles inscrite au titre des monuments historiques en 2002[40].
- Église Notre-Dame-de-La-Grave, ancienne église de templiers des XIIe et XVIe siècles[41]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[41].
- Château de Peychaud : seigneurie mentionnée depuis le XVIe siècle, appartenant à la famille de Fayet ; l’ancien château est sans doute reconstruit vers 1680 puis au début du XVIIIe siècle, il comprenait alors le logis actuel flanqué au nord de parties agricoles ; il fut remanié vers 1871 pour l'amiral Charles de Dompierre d'Hornoy, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874) ; il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1966[42].
- Chapelle Saint-Denis, construite vers 1875 à l'emplacement d'une ancienne église ruinée, dans le style gothique tardif.
- Château Beauséjour : logis sans doute reconstruit au milieu du XIXe siècle mais dépendances agricoles peut-être plus anciennes. L’ancienne maison était mentionnée Pouyau sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien.
- Château Bellevue : maison sans doute reconstruite au milieu du XIXe siècle à l'emplacement de l'ancienne maison de plan en U mentionnée Puymanot sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien. Transformé en école depuis 1980.
- Château Saint-Denis : peut-être ancienne maison noble, non mentionnée comme telle sur la carte de Belleyme. Sans doute construite au XVIIe siècle pour la famille Pineau, selon un plan en U (modifié). Propriété du fils de l'acteur Louis Jouvet, vers 1940.
- Manoir dit château Durandeau : ancienne maison noble de la famille Richon mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au XVIIe siècle puis reconstruit au XVIIIe siècle et largement restauré au milieu du XIXe siècle.
- Manoir dit château de Formont : ancienne maison noble située sur l'un des sommets de l’extrémité de la presqu’île et mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au début du XVIIIe siècle comme l’indiquait la date portée 1723 actuellement détruite.
- Manoir dit château du Gua : ancienne maison noble des familles Laroque, Donissan, Pineau. Connue dès le début du XVe siècle et mentionnée sur la carte de Belleyme, la demeure est entièrement détruite et reconstruite en 1866.
- Manoir dit château du Tillac : la maison noble de la famille Joly de Bonneau est sans doute construite au XVIIe siècle, peut-être à l’emplacement d’une ancienne demeure puisqu’elle est située sur un des sommets de l’extrémité de la presqu’île.
- Pôle culturel Ev@sion: la salle de spectacle Didier Lockwood comporte 600 places.
-
La chapelle Saint-Denis (sept. 2011).
-
La chapelle Saint-Denis c 1900
-
Le monument aux morts devant la mairie (mars 2014).
Personnalités liées à la commune
modifier- Charles de Dompierre d'Hornoy (1816-1901), amiral français, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874) a été propriétaire du château de Peychaud.
- Marc Oraison (1914-1979), né à Ambarès, prêtre et médecin.
- Les membres du groupe musical Noir Désir ont enregistré une partie de leur premier album à Ambarès dans un local près de La Blanche (point d'eau), l'un des membres du groupe habitant à Ambarès.
- Philippe Madrelle : il complète sa formation initiale pour devenir professeur des collèges ; il enseigne l'anglais à Ambarès-et-Lagrave où il s'est installé.
- Louis Luguet : cycliste professionnel
Ambarès-et-Lagrave autrefois
modifierHéraldique
modifierLes armes d'Ambarès-et-Lagrave se blasonnent ainsi : D'azur au bâton cablé en barre d'argent accompagné en chef, d'un édifice conique du même ouvert, ajouré et maçonné de sable, senestré d'un lion léopardé contourné d'or et en pointe, d'un édifice d'argent couvert en dôme ouvert, ajouré et maçonné aussi de sable, flanqué de deux tours moins hautes aussi d'argent ouvertes et maçonnées de sable, aux deux clefs d'or, brochant en abîme, l'une en fasce contournée, le panneton vers le chef, l'autre en pal renversée, brochant sur la première, le panneton vers senestre. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Site de la mairie
- Résultats du recensement de la population d'Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'INSEE
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ambarès-et-Lagrave », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Ambarès-et-Lagrave sur Géoportail, consulté le 18 avril 2015.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Ambarès-et-Lagrave et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
- « Les risques près de chez moi - commune d'Ambarès-et-Lagrave », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ambarès-et-Lagrave », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Ambarès-et-Lagrave sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 18 avril 2015.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
- Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203766q/f533.image
- http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=9912
- Magazine de la ville no 56, p. 5 : Henri Houdebert honoré sur le site officiel de la commune
- Commune d'Ambarès-et-Lagrave sur le site de l'AMF, Association des Maires de France.
- Etienne Millien, « A Ambarès-et-Lagrave, Nordine Guendez récupère le fauteuil du maire », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Ambarès-et-Lagrave, consultée le 27 octobre 2017.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Inscription de l'église Saint-Pierre », notice no PA00083110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église de templiers Notre-Dame-de-La-Grave, actuellement édifice agricole », notice no IA33001183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription du château de Peychaud », notice no PA00083109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.