Albepierre-Bredons
Albepierre-Bredons est une commune française située en Auvergne, dans le département du Cantal en région administrative Auvergne-Rhône-Alpes. Son territoire s'étend jusqu'au Plomb du Cantal, point culminant du département. Au pied du Plomb du Cantal se trouve la station de sports d'hiver et d'été de Prat de Bouc.
Albepierre-Bredons | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Saint-Flour | ||||
Intercommunalité | Hautes Terres Communauté | ||||
Maire Mandat |
Xavier Fournal 2020-2026 |
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Code postal | 15300 | ||||
Code commune | 15025 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arapiroux | ||||
Population municipale |
237 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 41″ nord, 2° 49′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 872 m Max. 1 855 m |
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Superficie | 34,42 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Flour (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Murat | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLe village de montagne d'Albepierre est situé à 1 050 m d'altitude au confluent de deux vallées glaciaires, du Benet et du Lagnon. Le Plomb du Cantal (1 855 m), est le plus haut sommet de la commune, il peut être gravi depuis la station de ski de Prat de Bouc. Albepierre-Bredons se trouve dans le parc naturel régional des Volcans d'Auvergne et au cœur du plus vaste volcan d'Europe, le Volcan Cantalien. Site Natura 2000 : 16 % de la commune (565 ha) est classée Natura 2000. La Réserve biologique intégrale de Chamalière / Peyre Ourse s'étend sur 205 hectares.
Hydrographie
modifierL'Alagnon, le Lagnon, le Benet, le ruisseau du Pont sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 446 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Lioran_sapc »sur la commune de Laveissière à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 7,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 2 129,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Albepierre-Bredons est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Flour, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35 %), forêts (34,4 %), prairies (27,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifierLes villages et hameaux de la commune sont Albepierre, Auzolles Haut, Auzolles Bas, Bredons, Stalapos, Pignou, la Molède, Prat de Bouc et la Côte de Pignou.
Les hameaux disparus : Haute-Besse et son château au Puy du Bac, Las-Castas et Assapice.[réf. nécessaire]
Logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 277, alors qu'il était de 268 en 2013 et de 273 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 44,5 % étaient des résidences principales, 46,6 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Albepierre-Bredons en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (46,6 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,8 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Albepierre-Bredons[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 44,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 46,6 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,9 | 11,9 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous la forme latine Albal Petra à la fin du XIIIe siècle[11].
La traduction est aisée : « Pierre Blanche », de l'occitan, adjectif féminin alba « blanche » et de pèira « pierre », peut-être au sens « pierre matériau de construction »[11].
En occitan Alba Pèira e Bredòm.
Histoire
modifierCréées en 1790, les communes d'Albepierre et de Bredons fusionnent peu de temps après, adoptant le nom de la seconde. En 1836, une partie de la commune constitue celle de Laveissière. En 1955, Bredons devient Albepierre-Bredons[12].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune d'Albepierre-Bredons est membre de l'intercommunalité Hautes Terres Communauté[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Murat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Flour, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Murat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[14].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].
En 2021, la commune comptait 237 habitants[Note 2], en évolution de −2,47 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Les chiffres donnés ci-avant de population de la commune d'Albepierre-Bredons méritent une explication : avant 1836, les chiffres correspondent aux populations d'un territoire beaucoup plus important que celui de la commune d'Albepierre-Bredons d'aujourd'hui. Il y avait en effet en plus ce qui constitue aujourd'hui la commune de Laveissière ! L'ensemble formait la commune de Bredons. La commune de Bredons, démembrée de la section de Laveissière en 1836, porta le nom de commune d'Albepierre-Bredons en 1955.
Sports et loisirs
modifierActivités de pleine nature
modifier- L' Espace Trail Massif Cantalien
- Trail Blanc
- La Grande Traversée des Volcans d'Auvergne arrive au sommet du Plomb du Cantal ( GTVA )
- Espace Plomb du Cantal : randonnée pédestre et VTT
- Grande traversée du Massif central à VTT (GTMC)
- Sites d'escalade à Prat-de-Bouc
- Ski nordique (Prat de Bouc Haute Planèze)
- Ski alpin (station de Prat de Bouc)
- Ski-roues
- Alpinisme
- Randonnée alpine
- Escalade sur glace
- Randonnée équestre
- Cyclisme sur route : col de Prat de Bouc / Plomb du Cantal, col de la Molède, Mur de Bredons ...
- Astronomie (le Puy de Prat de Bouc, est un lieu idéal pour observer le ciel) .
- Ornithologie : zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et zone d'intérêt communautaire pour les oiseaux (ZICO) .
- Une flore et faune sauvage de montagne, Saule des Lapons, Aconit nappel, Arnica des montagnes, Galanthes des neiges, Lys Martagon et Grand duc d'Europe, Aigle botté, Milan royal, Circaéte Jean-le-blanc, Tarier pâtre, Faucon, Loup gris, Marmotte, Mouflon, Chamois, Renard.
Equipements
modifier- Station de ski de Prat de Bouc : remontées mécaniques : 1 télésiège et 5 téléskis , Les pistes : 3 vertes, 4 bleues et 7 rouges se situent sur les pentes du Plomb du Cantal Liaison avec le Lioran
- Maison du col de Prat-de-Bouc
- Camping municipal du Tir
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonuments
modifier- Église Saint-Pierre de Bredons, classée au titre des monuments historiques en 1840[19].
- Château de Beccoire, château royal construit pour Saint Louis. Il servait de siège ambulant au bailliage des Montagnes.
- Château d'Albepierre ou Manoir de Gorses
- Église de l'Ascension d'Albepierre, construite sur l'ancien château d'Albepierre (la chapelle du château subsiste en partie dans le monument actuel). Le château fût détruit entre 1365 et 1400.
- Voie romaine : portion de la Via Celtica (branche Mont Celticus, alias Plomb du Cantal), et pont de Larmont ("pont gaulois", sans possibilité d'avérer son origine malgré sa structure mégalithique).
- Habitats troglodytes de Bredons.
- Petit patrimoine de la commune : fontaine de Bredons, four banal et oratoire à Auzolles Bas, four banal et oratoire à Auzolles Haut, travail à ferrer du Barry à Albepierre, fours banaux du Barry, du chateau, de la Combe, nombreuses chapelles, oratoires et abris de berger.
- Moulins hydrauliques (13) de la commune : moulin de la Planche du Jeu à 1021 m (en ruine), moulin "Tournant du Cheylut" à 1060 m (en mauvais état), moulin de Stalapos. Ils servaient au broyage du chanvre, au pressage de l'huile, le foulage des draps ou à la mouture des grains.
-
Via Celtica/Arvena, branche Mont Celticus (Plomb du Cantal).
-
Pont de Larmont, Via Celtica/Arvena, branche Mont Celticus (Plomb du Cantal).
-
Borne royale XVIIe siècle (fleur de lys).
-
Ancienne fontaine du château.
-
Chapelle du Pont des Tuiles.
Sommets, cols, espaces naturels
modifier- Plomb du Cantal 1 855 m : le point le plus élevé de la commune d'Albepierre-Bredons et du massif Cantalien .Il est l'édifice volcanique le plus récent du massif. Avant notre ère, l'altitude du Plomb du Cantal était de 4000 mètres environ .
Massif du Plomb du Cantal :
- Rocher de la Sagne du Porc alti : 1717 m.
- L'Aiguillon, 1 665 m.
- Rochers de Chamalière, 1 641 m.
- Puy de Prat-de-Bouc, 1 524 m.
- Puy de la Molède 1 384 m.
- Puy du Bac 1 203 m.
-
Puy du Bac vu du Cuzel.
-
Puy du Bac vu de Cheylanes.
- Rocher de Bredons 1 013 m. Sur le versant Sud se trouve une caverne et "le trésor des moines "
- Cirque de Chamalière, un espace sauvage de toute beauté proche de la station de Prat de Bouc
- Col du Pas des Alpins, 1 750 m, plus haut col du Massif Cantalien.
- Col de l' Aiguillon, 1659 m
- Col de la Tombe du Père, 1 586 m et sa légende.
- Col de Prat-de-Bouc desservant le Plomb du Cantal, 1 392 m (col routier), emprunté par le Tour de France[20]
- Col de la Molède, 1 329 m (col routier)
- De nombreuses cascades jalonnent les cours d'eau de la commune : sur le Lagnon (amont vers aval) : du Lagnon, des Vergnes, des Prés-longs, du Prapsou ; sur le Bênet : de la Molède ; et aussi : Pisse-Gel, des Prés Marty, le Banc aux Libellules, de Pignou, gouffre du Joaniol
-
Cascade de Prés Longs, cours d'eau : le Lagnon.
-
Cascade des Vergnes, cours d'eau : le Lagnon.
-
Cascade du Prapsou, cours d'eau : le Lagnon.
- Roche Troucade ou Roche percée
- Lac des Biches
- Fenêtre du Puy de Prat de Bouc
- Pont de Larmont ou Pont Gaulois (sans possibilité de relier sa conception à cette époque, bien qu'il soit à proximité de la voie romaine)
- Planol de la Rodde : donne un point de vue sur Albepierre et la vallée du Lagnon
- Roche du Bourru
- Buron de la Souleyre
- Buron de Salabert 1449 m
- Buron le Cantal (I) 1464 m (ruines)
- Vacherie ou védélat le Cantal 1426 m (ruines)
- Buron le Cantal (II) 1442 m (ruines)
- Vacherie ou védélat le Cantal 1420 m (ruines) .
- Soue à cochons du buron le Cantal ( II ) à 1440 m
- Buron des Prés Marty 1392 m
- Burons de la montagne de la Molède 1448 m (4 en ruines) et 1 soue à cochons .
- Burons de Chamalière 1436 et 1422 mètres , en ruines
- Buron Les Crampes 1323 m , en ruines
- Vacherie de la Montagnoune Basse 1279 m , en ruines
- Buron et Soue à cochons de Raveyrol 1274 m , en ruines
- Cirque de Chamalière
- Grottes du Cuzel
Quartiers du bourg
modifier- La Bargeade
- La Granjolière
- Le Cuzel (sous les grottes)
- Le Barry
- La Planche du Jeu (borne royale avec fleur de lys)
- Le Prapsou (cascade)
- Les Trois pierres
- La Petite rodde
- Le Château (ancienne fontaine cachée)
- La Biore (autour de l'église d'Albepierre)
- La Combe
- La Rouffieu
- Saint-Esprit
- La Turiare
- Le Coudert
Sources et Fontaines nommées
modifier- La Sogne (source et Fontaine)
- Ancienne Fontaine du Château
- Fontaine du Château
- Fontaines portant le nom du quartier : La Bargeade, Saint-Esprit, La Rouphieu, Bredons (village), etc.
Chemins nommés
modifier- La Granjolière (devenu rue de la Roche-Jallière) de La Bargeade à La Bastide
- La Bastide (de la Granjolière à partir du ruisseau)
- La Gazonne (de la Bargeade à la mairie)
- L'Abeille (de la Bargeade au château)
- Le Cheylut (du Planol de la Rodde ou du Barry au Camp des Américains / stade Jean-Peschaud)
- L' Ariar
- Le Bleu
- Le Riou del maigre (à La Planche du Jeu)
- Le Battut (du tournant de la Rodde à la Combe) .
- Le chareyrou de croutou (il rejoint le chemin de la Gazonne)
- Le chareyrou de Braghaīre (en face de l'église)
Maisons nommées
modifier- La Grange aux Lierres
- La Marre aux Diables
- La Gazonne
- La Prapsou
- Chez Gasparou
- Maison forestière de Rochejallère
- La Grange de Magne
- Chez Jean Blanc
Autres lieux nommés
modifier- Pré Le Breuil
- Le Champ des Pommiers
- Le Bac
- Le Planol (aire d'arrivée des courses de ski de fond, autrefois) .
- La Champ
- La Rodde
- Le Camp des Américains (Première Guerre mondiale), devenu à la Seconde Guerre mondiale un Chantier de Jeunesse et camp d'internement des repris de justice (Régime de Vichy) jusqu'à l'occupation de la Zone Libre (grand pourvoyeur de maquisards échappant au STO).
- Les Barthes
- Les roches d'Auzolles
- La falaise des Cunes
- La Jucque
- Pijère
- Le Joaniol
- Le Serre (dans les années 1930/1940, des compétitions de ski alpin : slalom , étaient organisées sur son versant nord).
- Ponts nommés : des Tuiles, de Fer, de Larmont, etc.
- Semone : pâturage d'altitude l'été
Personnalités liées à la commune
modifier- Durand de Bredons (?-1071) : prélat catholique, refondateur du prieuré de Bredons.
- Jean Ajalbert (1863-1947) : écrivain, enterré à Bredons.
- Alfred Jacomis (1910-2004) : skieur de fond, alpin : slalom, descente et saut à ski. Champion de France en 1939 de ski de fond, ayant également participé aux JO de Garmisch-Partenkirchen en Allemagne en 1936 et aux championnats du monde à Chamonix en 1937. Depuis le , une piste de ski de fond du domaine nordique de Prat-de-Bouc Haute-Planéze, porte le nom : Alfred-Jacomis.
- Michel Rouche, historien français spécialiste de l'histoire de la Gaule entre l'Empire romain et le Moyen Âge.
- Odette Marquet, chercheuse et auteur de plusieurs ouvrages[21] sur l'Histoire et la culture méditerranéenne des Balkans, traductrice, humanitaire et religieuse[22] (ordre des Petites Sœurs de Foucauld), chevalier[23] de la Légion d'honneur[24] (promotion Pâques 2014), décorée de l'ordre de Mère Teresa par le président de la république d'Albanie Ilir Meta en 2018[25], décorée de l'ordre de la Liberté par le président du Kosovo[26].
Héraldique
modifierBlason | D'or au cœur de gueules, au chef chargé d'un croissant d'argent accosté de deux étoiles du même[27]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Albepierre-Bredons sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Albepierre-Bredons » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Albepierre-Bredons - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Albepierre-Bredons - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Albepierre-Bredons et Laveissière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Lioran_sapc », sur la commune de Laveissière - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Lioran_sapc », sur la commune de Laveissière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Flour », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France : Tome 3, Formations dialectales, page 1439.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Hautes Terres Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Histoire et patrimoine », sur outsiderland.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « église Saint-Pierre de Bredons », notice no PA00093426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le col du Prat de Bouc (Plomb du Cantal) dans le Tour de France », sur Le dico du Tour (consulté le ).
- « La déportation des familles albanaises en Anatolie au XIXe siècle dans les archives françaises d' Odette Marquet - Les Editions du cerf », sur editionsducerf.fr (consulté le ).
- (en) « 'Mother Teresa' Decoration for Sister Odette Marquet », sur ALBANIA DAILY NEWS (consulté le ).
- « Ordre de la Légion d'honneur - Nominations, promotions et élévations du 18-04-2014 », sur france-phaleristique.com (consulté le ).
- « Dans la promotion de Pâques de la Légion d’honneur », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- « Décoration de l’ordre « Nënë Tereza » de Sœur Odette par le Président Ilir Meta », sur La France en Albanie (consulté le ).
- (sq) « Motër Odette Marquet nderohet me dekoratën presidenciale “Urdhri i Lirisë” »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur drita.info, (consulté le ).
- J.-B. Rietstap, Armorial général précédé d'un dictionnaire des termes du blason, 2e éd., Gouda, 1884-1887. Parmi les armoriaux généraux, celui de Rietstap est le plus consulté. Il recense par ordre alphabétique de patronymes environ 110 000 armoiries d'Europe.