60 gags de Boule et Bill no 2

album de bande dessinée

60 gags de Boule et Bill N° 2 est le 2e album de la série de bande dessinée Boule et Bill de Jean Roba. L'ouvrage est publié en 1964.

60 gags de Boule et Bill N° 2
2e album de la série Boule et Bill
Auteur Roba
Genre(s) Franco-belge

Éditeur Dupuis
Première publication 1964
ISBN 2-8001-0031-1
Nombre de pages 62

Prépublication Spirou
Albums de la série

Historique

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L'album publie 60 gags entre le no 62 et le no 124, qui ont été pré-publiés dans les éditions du journal Spirou entre le no 1230 à 1292 durant les années 1961, 1962 et 1963[1].

En 1999, à l'occasion des 40 ans de la série, la collection a été refondue : les albums, qui comportaient auparavant 64, 56 ou 48 pages, sont uniformisés en 44 planches. Leur nombre passe ainsi de 21 à 24. Ainsi, les gags de 60 gags de Boule et Bill N° 2 sont repris dans les nouveaux albums n° 2 (Boule et Bill déboulent), n° 3 (Les copains d'abord) et n° 4 (Système Bill).

Synopsis

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Boule, un petit garçon comme les autres, a comme meilleur copain Bill, son cocker facétieux. L'album comporte une succession de bêtises et d'espiègleries de Boule et Bill.

Les épisodes no 67 à 70 et no 119 à 123 sont liés à la période hivernale, respectivement à la fin des années 1961 et 1962 au moment de leurs pré-publications.

L'épisode (officieusement n°67) est un épisode en double page.

  • Ce n'est pas à un vieux singe qu'on apprend à faire des grimaces. (no 62)
  • Elle doit être à moi, dit-elle, et la raison, C'est que je m'appelle Lion. (no 63)
  • O Nuit, selon sa vie, à tout homme qui veille - Inspire ton horreur ou ta sérénité. (no 64)
  • Une peinture est quelque chose d'intermédiaire ente une pensée et un objet. (no 65)
  • Le plus âne des trois n'est pas celui qu'on pense. (no 66)
  • Il est plus facile d'être bon pour tout le monde que pour quelqu'un. (no 2p)
  • Jeux de mains, jeux de vilains. (no 68)
  • La chasse est une image de la guerre. (no 69)
  • Il n'est pas suffisant d'aider le faible ; il faut le soutenir ensuite. (no 70)
  • C'est le désir qui crée le désirable, et le projet qui pose la fin. (no 71)
  • Ce qui est épargné par les machines, ce n'est pas seulement l'effort physique, mais aussi l'effort intellectuel. (no 72)
  • Tire un marron, puis deux, et puis trois en escroque. (no 73)
  • Courtes lettres et longues amitiés, voilà est ma devise. (no 74)
  • Celui qui est cruel avec les betes ne peut etre un homme bon. (no 75)
  • On creuse sa tombe avec ses dents. (no 76)
  • La vertu des parents est un grand héritage. (no 77)
  • Tout portrait qu'on peint avec âme est un portrait, non du modèle, mais de l'artiste. (no 78)
  • On achete pas un chat dans un sac. (no 79)
  • Si nous ne nous flattions pas nous-mêmes, la flatterie des autres ne nous pourrait nuire. (no 80)
  • Il ne faut pas vouloir voler avant d'avoir des ailes. (no 81)
  • Un mauvais voisin est un mal aussi grand qu'un bon voisin est un grand bonheur. (no 82)
  • S'il ne tient qu'à battre, la vache est à nous. (no 83)
  • Ma foi, si vous songez à nourrir votre esprit, C'est de viande bien creuse, à ce que chacun dit. (no 84)
  • Le chien est l'ami des enfants. (no 85)
  • Les bons rois sont esclaves et leurs peuples sont libres. (no 124)
  • Celui qui tient un tigre par la queue ne peut pas lâcher. (no 87)
  • Il n'y a pas de fumée sans feu. (no 88)
  • C'est par le reve qu'on oublie qu'on se console de la vie. (no 89)
  • Au bout du jeu voit-on qui a gagné ? (no 90)
  • Nul n'est prophète en son pays. (no 91)
  • Tel donne à pleines mains qui n'oblige à personne ; La façon de donner vaut mieux que ce qu'on donne. (no 92)
  • Bien qu'on vante la solitude, à la longue elle fait bâiller. (no 93)
  • Il est dans la vraie beauté quelque chose que ne peut deceler l'esprit commun. (no 94)
  • Chassez le naturel il revient au galop. (no 95)
  • Glissez, mortels, n'appuyez pas. (no 123)
  • Tell pere, Tell fils. (no 97)
  • L'assurance de ma considération distinguée. (no 98)
  • Promenons nous dans les bois tant que le loup n'y est pas... (no 99)
  • Ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire le jour même. (no 100)
  • J'ai eu pour principe de ne faire jamais par autrui ce que je pouvais faire par moi-même. (no 101)
  • Miroir magique sur le mur, qui a beauté parfaite et pure ? (no 102)
  • L'homme est le seul animal qui fasse du feu, ce qui lui a donné l'empire du monde. (no 103)
  • Bon chien chasse de race. (no 104)
  • Fay ce que doy, advienne que pourra. (no 120)
  • Sachez à vos devoirs immoler vos plaisirs. (no 106)
  • Un baiser fait moins de bruit qu'un canon mais l'écho en dure plus longtemps. (no 107)
  • Qui sème le vent récolte la tempête. (no 108)
  • Un chien regarde bien un évêque. (no 109)
  • Qu'il est beau et bon de fouler à nouveau, main dans la main d'un fils aimé, les sentiers de roses de la jeunesse. (no 110)
  • L'inconscient cherche à se satisfaire pendant le sommeil. (no 111)
  • Les sots, les paysans et les sauvages se croient bien plus loin des bêtes que le philosophe. (no 112)
  • Arriver comme un chien dans un jeu de quilles. (no 113)
  • Et seul, abandonné de tout le genre humain, Dont je traînais partout l'implacable anathème. (no 114)
  • Les rêves sont les enfants d'un cerveau inactif engendrés par la vaine fantaisie. (no 115)
  • La fuite jette l'homme dans le malheur. (no 116)
  • La plaisanterie perd tout son sel lorsque le plaisantin en rit lui-même. (no 117)
  • L'imitation est la forme la plus sincère des flatteries. (no 118)
  • Il est des cœurs qui donnent tant qu'ils en oublient qu'ils ont le droit de demander quelque chose. (no 119)
  • Chaque année qui s'écoule nous enlève quelque chose. (no 122)

Références

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Voir aussi

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Article connexe

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Articles externes

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