34e régiment d'infanterie (France)

(Redirigé depuis 34e régiment d'infanterie)

Le 34e régiment d'infanterie (34e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment d'Angoulême, un régiment français d'Ancien Régime.

34e régiment d'infanterie
Image illustrative de l’article 34e régiment d'infanterie (France)
Insigne régimentaire du 34e régiment d'infanterie.

Création 26 avril 1775
Dissolution 29 novembre 1997
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'infanterie
Rôle Infanterie
Garnison Mont-de-Marsan
Ancienne dénomination Régiment d'Angoulême
Inscriptions
sur l’emblème
Fleurus 1794
Austerlitz 1805
Iéna 1806
Solferino 1859
L'Aisne 1914-1917
Verdun 1916
Picardie 1918
Vauxaillon 1918
Anniversaire Saint-Maurice
Guerres Guerres de la Révolution
Guerres napoléoniennes
Guerre franco-allemande
Première Guerre mondiale
Deuxième Guerre mondiale
Fourragères aux couleurs du ruban de la Médaille militaire
Décorations Croix de Guerre 1914-1918
(4 palmes)
Croix de guerre 1939-1945
(1 étoile d'argent)
Médaille d'or de la Ville de Milan

Création et différentes dénominations

modifier

Colonels/Chefs de brigade

modifier

Historique des garnisons, combats et batailles du 34e RI

modifier

Ancien Régime

modifier

34e régiment d'infanterie ci-devant Angoulême (1791-1793)

modifier

Guerres de la Révolution et de l'Empire

modifier

L'ordonnance du 1er janvier 1791 fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le terme ci-devant, comme 34e régiment d'infanterie ci-devant Angoulême.

En 1791, le régiment de la Martinique, qui s'était révolté en 1790, était toujours retranché au fort Bourbon. Afin de débloquer la situation le régiment de la Guadeloupe, appelé pour combattre cette insurrection, se révolta également et alla rejoindre les insurgés.
Les 2e bataillons des 31e, 34e et 58e régiment d'infanterie furent embarqués à Brest ainsi que le 2e bataillon du 25e embarqué à Nantes et débarquèrent en Martinique pour être employé contre les rebelles. Les 2e bataillons des 25e et 34e refusèrent d'agir contre les rebelles. Ils furent renvoyés en France et débarquèrent en juin à Rochefort et à Brest. Le 2e bataillon du 58e refusa quant à lui de débarquer et revint en juin à Brest [1].

En 1792 il quitte la Basse-Normandie où il tenait garnison depuis le mois de mai 1789, et commence les campagnes de la Révolution et de l'Empire en étant affecté à l'armée du Nord.

En le 2e bataillon participe à la bataille de Jemappes.

34e demi-brigade de première formation (1793-1796)

modifier

Guerres de la Révolution et de l'Empire

modifier

En 1793, lors du premier amalgame la 34e demi-brigade de première formation est formée avec les :

Affecté à l'armée de Belgique il se trouve, le 18 mars 1793 à la bataille de Neerwinden, le 8 septembre à la bataille de Hondschoote et le 16 octobre à la bataille de Wattignies.

En 1794-1795, il fait partie de l'armée du Nord avec laquelle il combat à Fleurus, puis il passe à l'armée de Sambre-et-Meuse et à l'armée de Rhin-et-Moselle.

34e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)

modifier

Guerres de la Révolution et de l'Empire

modifier

La 34e demi-brigade de deuxième formation est formée le 1er ventôse an V () par l'amalgame des :

En 1798, il fait partie de l'armée d'Italie. Le 8 août 1798, une compagnie du régiment, stationnée à Antibes, montée sur une felouque armée porte secours à cinq bâtiments français aux prises avec un cutter et deux corsaires anglais. La compagnie enlève aux Anglais deux navires qui étaient déjà tombés en leur mains, et leur prend un brick marchand espagnol et un petit bâtiment génois capturés sur les côtes italienne[2].

Le 20 nivôse an VII (), un détachement de la demi-brigade est utilisé pour former à Grenoble la 110e demi-brigade de deuxième formation.
En 1799, le régiment participe aux batailles de Novi et de Mondovi[2].

En 1800, il se trouve aux combats de la rivière de Gênes, de Saint-Jacques de Ligurie et de Saint-Barthélemy de Ligurie.

34e régiment d'infanterie de ligne (1803-1815)

modifier

Guerres de la Révolution et de l'Empire

modifier

Par décret du 1er vendémiaire an XII (), le Premier Consul prescrit une nouvelle réorganisation de l'armée française. Il est essentiel de faire remarquer, pour faire comprendre comment, souvent le même régiment avait en même temps des bataillons en Allemagne, en Espagne et en Portugal, ou dans d'autres pays de l'Europe, que, depuis 1808, quelques régiments comptaient jusqu'à 6 bataillons disséminés, par un ou par deux, dans des garnisons lointaines et dans les diverses armées mises sur pied depuis cette date jusqu'en 1815.
Ainsi, le 34e régiment d'infanterie de ligne est formé à 4 bataillons avec les deux bataillons de la 34e demi-brigade de deuxième formation et les deux bataillons de la 80e demi-brigade de deuxième formation

En 1805, durant la campagne d'Allemagne, il fait partie de la Grande Armée et participe à la bataille d'Ulm et le 2 décembre à la bataille d'Austerlitz.

En 1806 durant la campagne de Prusse, il se trouve le 10 octobre à la bataille de Saalfeld, puis le 14 octobre à la bataille d'Iéna et le 26 décembre à la bataille de Pultusk.

En 1807, pendant la campagne de Pologne il concoure aux victoires des batailles d'Ostrolenka et de de Friedland.

En 1809, le régiment est avec l'armée d'Espagne, dans le cadre de la guerre d'indépendance espagnole et il participe à la prise de Saragosse et aux combats et batailles de Lucena, de Jaca, pont de l'Arzobispo et d'Ocaña.

En 1811, le 34e participe au siège de Badajoz, à la bataille de Gebora et au combat d'Arroyo Molinos.

En 1812, il se trouve à la défense de Burgos.

En 1813, affecté à l'armée des Pyrénées, il participe à la défense de Saint Sébastien.

En 1814, il assiste aux combats autour de Bayonne puis le 27 février à la bataille d'Orthez et à la bataille de Toulouse.

Après l'exil de Napoléon Ier à l'île d'Elbe, l'ordonnance royale du qui réorganise les corps de l'armée française, le 34e régiment prend le no 33.
À son retour de l'île d'Elbe, le , Napoléon Ier prend, le , un décret qui rend aux anciens régiments d'infanterie de ligne les numéros qu'ils avaient perdus.
En 1815, durant les Cent-Jours, il se trouve à l'armée du Nord et participe à la bataille de Fleurus.

Après la seconde abdication de l'Empereur, Louis XVIII réorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire du Premier Empire.
A cet effet une ordonnance du licencie l'ensemble des unités militaires françaises.

Légion du Bas-Rhin (1815-1820)

modifier

Par ordonnance du , Louis XVIII crée les légions départementales. La Légion du Bas-Rhin, qui deviendra le 34e régiment d'infanterie de ligne en 1820, est créée.

34e régiment d'infanterie de ligne (1820-1882)

modifier

1820 à 1848

modifier

En 1820 une ordonnance royale de Louis XVIII réorganise les corps de l'armée française en transformant les légions départementales régiments d'infanterie de ligne. Ainsi, le 34e régiment d'infanterie de ligne est formé avec les 3 bataillons de la légion du Bas-Rhin.

En , le 34e de ligne est rattaché au 1er corps de l'armée engagée dans l'expédition d'Espagne[3]. Cette armée entre en Espagne le [4] et participe cette année 1823 au siège de Cadix et à la bataille du Trocadéro.

En 1824, il se trouve à la prise de Tarifa.
Une fois la rébellion vaincue, le régiment reste en occupation[5]. Il est toujours à la division de Cadix en 1828[6], qui rentre en France à partir de juin de cette année[7].

En 1830, le 34e régiment de ligne fait partie de l'expédition d'Alger et prend part à l'investissement, au siège et à la prise d'Alger, du au [2].
Le 23 juillet il fait l'expédition de Blida sous les ordres du maréchal Bourmont. Au retour de cette expédition, la faible colonne qui la compose soutient plusieurs combats qui lui font honneur.
Du 17 au 29 novembre, le 34e de ligne fait partie de l'expédition de l'Atlas, sous le commandement du général Clauzel, et participe à la prise de Blida le 18, ainsi qu'à la prise de Médéa.
En décembre, 1 bataillon du 34e participe à la seconde expédition de Médéa[8].
Le 34e régiment de ligne rentre en France à la fin du mois de décembre 1830[9].
Le 18 septembre 1830, une ordonnance créé le 4e bataillon et porte le régiment, complet, à 3 000 hommes[10].

En 1848, deux bataillons sont envoyés dans l'armée chargée de réprimer les Journées de Juin[11].

Second Empire

modifier

En 1854, le régiment est à la 1re division du 3e corps de l'armée du Nord, sauf le 3e bataillon à Périgueux[12]. L'année suivante, il est à la 4e division de l'armée de Paris[13].

Le régiment est en 1859 à la 3e division du 1er corps de l'armée d'Italie[14]. Le , il participe à la bataille de Melegnano puis à celle de Solférino[2].

En 1865, le régiment est à la division d'Oran[15], en 1866 et 1867 à la division d'Alger[16],[17].

En mai 1870, le régiment est à Bayonne avec dépôt à Mirande[18].

Au début de la guerre franco-allemande de 1870, le 34e de ligne a son dépôt à Mirande. Il part le à l'Armée de Châlons[19]. Au sein du 12e corps, il combat le à la bataille de Bazeilles puis, bloqué à Sedan, il part en captivité.

Le dépôt du régiment met sur pied pendant la guerre de nombreuses compagnies destinées à former des régiments de marche[19]. Le 24 novembre 1870, 2 compagnies du 34e régiment d'infanterie de ligne qui composent le 44e régiment de marche sont engagés dans les combats de Chilleurs, Ladon, Boiscommun, Neuville-aux-Bois et Maizières dans le Loiret. Le , ces deux compagnies sont engagés dans la bataille de Villersexel.

De 1871 à 1914

modifier
 
Entrée de la caserne du 34e régiment de ligne de retour des manœuvres - année inconnue, environ 1910

En mars 1871, le 34e régiment de marche, engagé à l'armée de Versailles[20], fusionne dans le 34e de ligne[21]. De même, le 34e régiment bis de marche, en cours de formation à partir du à Grenoble avec les 14e et 15e compagnies de dépôt du 3e de ligne, la 11e compagnie de dépôt du 21e de ligne, les 9e et 10e compagnies de dépôt du 47e de ligne, la 11e compagnie du 53e de ligne[22] et des évadés de captivité d'Allemagne et d'internés en Suisse, fusionne dans le 34e de ligne[23].

Le 27 mars 1871, des éléments du régiment rentrant de captivité sont amalgamés avec d'autres éléments de diverses unités pour former le 1er régiment d'infanterie provisoire[24].

En septembre 1873, à la réorganisation de l'Armée, il est rattaché à la 71e brigade de la 36e division d'infanterie du 18e corps d'armée[25].

En 1876 il se trouve à la caserne Bosquet de Mont-de-Marsan où il va demeurer jusqu'en 1914;

En 1881, le régiment participe à la campagne de Tunisie et à la prise de Kairouan.

Le 4e bataillon est en Algérie en 1883[26], puis le 1er bataillon en 1884[27] et ensuite le 3e bataillon en 1885[28]. Le bataillon détaché en Algérie revient en métropole par ordre du [29].

De 1895 à 1897, 1 compagnie du 34e RI participe à l'expédition de Madagascar et à la prise de Tananarive et forme le 200e régiment d'infanterie.

34e régiment d'infanterie

modifier

Première Guerre mondiale

modifier

Au début de la guerre, le régiment est caserné à Mont de Marsan, il appartient à la 71e brigade, 36e division d'infanterie au 18e corps d'armée. Le régiment reste à la 36e division d'infanterie tout au long du conflit.
Il obtiendra quatre citations à l'ordre de l'Armée, à Hurtebise en 1915, Plateau de Californie en 1917, Assainvilliers et à Verneuil en 1918.

  • Aisne : Chemin des Dames, Hurtebise
  • mai : Bataille de Verdun, bois de Vaux Chapitre, bois de la Caillette, bois Fumin, Douaumont.
  • juin-août : secteur de la Marne, bois de la Gruerie
  • Somme
  • 15 avril : Bataille du Chemin des Dames.
  • décembre : une pièce, Cœurs de Poilus, composée et jouée par les soldats du régiment, est jouée au Foyer du Régiment dans le village de Sommes-Suippes en Champagne où ils ont leurs cantonnements de repos. La pièce est publiée (en 1919?) par l' Imprimerie Joseph Pindat, 73 rue Léon-Gambetta, Mont de Marsan[30],[31].
  • Picardie
  • Verdun
  • Chemin des Dames

Entre-deux-guerres

modifier

Le , il est dissous[32] mais ses traditions sont conservées dans la région par le 18e régiment d'infanterie.

Seconde Guerre mondiale

modifier

Il est recréé en août 1939 comme régiment d'infanterie de forteresse et est mobilisé par le centre mobilisateur d'infanterie no 201. Il est affecté dans le secteur fortifié du Bas-Rhin dans le sous-secteur d'Erstein et appartient à la 103e Division d'Infanterie de Forteresse (DIF). Il est composé de deux bataillons; puis de deux compagnies CEC[Quoi ?] (la 5e et 6e).

Le , le 1er bataillon poursuit sa retraite vers Rothau où, englobé dans la reddition des armées, il doit déposer les armes le .

Il doit déposer les armes le , et est dissous en juillet 1940. Il reçoit une citation à l'ordre de la division[réf. nécessaire].

De 1945 à nos jours

modifier

Il est reconstitué le 1er janvier 1945[33] au Verdon, combat à la Pointe de Grave en et pour ses actions obtient la croix de Guerre 1939-1945 avec une étoile d'argent.
Le , le chef de bataillon Baril reçoit des mains du Ministre de la Guerre Diethlem, en présence du général de Gaulle, le Drapeau du 34e R.I à Paris, place de la Concorde. Le régiment est dissous le 30 novembre 1945[33].

Il renait comme régiment de réserve en 1978. Mis sur pied par le 6e RPIMa à Mont-de-Marsan, rattachement 115e Brigade de Zone.
Il est à nouveau dissous le samedi .

Drapeau

modifier

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[34] :

 

 

Décorations

modifier

Sa cravate est décorée de la Croix de Guerre 1914-1918 avec quatre palmes, de la Croix de guerre 1939-1945 avec une étoile d'argent puis de la Médaille d'or de la ville de Milan.
Il porte la fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire[32].

Insigne

modifier

L'insigne représente les armes de la maison du duc de Savoie, premier propriétaire du régiment. Ecu de gueules à la croix d'ivoire chargée du millésime 1775 d'or en abîme (date de sa création). Sur un chef d'émail blanc, inscription 34e RI d'or en abîme. Cet insigne est homologué le sous le numéro G 2689.

 
Insigne de l'amicale. L'insigne évoque l'infanterie, la France combattante, les armes de Mont de Marsan et le lion léopardisé d'Aquitaine. Au centre se trouve un casque de poilu 1914-1918.

Personnalités ayant servi au sein du régiment

modifier

Sources et bibliographies

modifier

Notes et références

modifier
  1. à cette même date il est colonel du 34e régiment d'infanterie et du 68e régiment d'infanterie, c'est bizarre et pourtant les sources l'indiquent

Références

modifier

Les ouvrages et sites cités dans Sources et bibliographies

  1. Histoire de l'infanterie en France par Belhomme T3 P461
  2. a b c et d Historiques des corps de troupe de l'armée française (1569-1900)
  3. Belhomme 1902, p. 119.
  4. Belhomme 1902, p. 120.
  5. Belhomme 1902, p. 122.
  6. Belhomme 1902, p. 138.
  7. Belhomme 1902, p. 139.
  8. Léon Galibert : Histoire de l'Algérie ancienne et moderne depuis les premiers establissements des Carthaginois jusques et y compris les dernières campagnes du général Bugeaud avec une introduction sur les divers systèmes de colonisation qui ont précède la conquête Française (1843)
  9. Abel Hugo : France militaire: 1792-1837, Histoire des armées françaises de terre et de mer de 1792 à 1837 Tome 5
  10. Belhomme 1902, p. 151.
  11. Belhomme 1902, p. 295.
  12. Belhomme 1902, p. 337, 339.
  13. Belhomme 1902, p. 363.
  14. Belhomme 1902, p. 391.
  15. Belhomme 1902, p. 428.
  16. Belhomme 1902, p. 433.
  17. Belhomme 1902, p. 440.
  18. Belhomme 1902, p. 470.
  19. a et b Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne), « 34e régiment - dépôt », p. 83-85.
  20. Belhomme 1902, p. 560.
  21. Belhomme 1902, p. 561.
  22. Martinien 1911, p. 32, 61, 106, 116.
  23. La guerre de 1870-71 : La défense nationale en Province, vol. 40, Paris, R. Chapelot et Cie, (lire en ligne), p. 145.
  24. Charles Tanera : Historique du 101e régiment d'infanterie de ligne, page 30 et suivantes
  25. Belhomme 1902, p. 595.
  26. Belhomme 1902, p. 713.
  27. Belhomme 1902, p. 724.
  28. Belhomme 1902, p. 737.
  29. Belhomme 1902, p. 749.
  30. Bordes, Abbé Jean, Coeurs de Poilus, Mont de Marsan, Joseph Pindat, 1919?, 20 p.
  31. « la guerre de 1914-1918 liste de sources et orientations bibliographiques »
  32. a et b Auguste Édouard Hirschauer, « Annexe 2 : Notice Historique », dans Rapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions du Sénat (no 263), (lire en ligne), p. 196-197
  33. a et b Notice d’archives : 34e RÉGIMENT D'INFANTERIE 1945
  34. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007

Voir aussi

modifier

Articles connexes

modifier

Lien externe

modifier