1627 en santé et médecine
événements liés à la santé et la médecine en 1627
Cet article présente les faits marquants de l'année 1627 en santé et médecine.
Chronologies
1624 1625 1626 1627 1628 1629 1630 Décennies : 1590 1600 1610 1620 1630 1640 1650 Siècles : XVe XVIe XVIIe XVIIIe XIXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
Années de la santé et de la médecine : 1624 - 1625 - 1626 - 1627 - 1628 - 1629 - 1630 | |
Décennies de la santé et de la médecine : 1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650 |
Fondations
modifier- Refondation, sous le nom d'hôpital Saint-Jacques, de l'« hôpital des pauvres » de Pézenas, en Languedoc, établissement qui sera toujours actif à la fin du XXe siècle[1].
- À l'initiative du maréchal de Créqui, la ville de Grenoble se dote d'un nouvel hôpital pour pallier la ruine de ceux de Notre-Dame, de Saint-Antoine et de Saint-Jacques[2].
- En Angleterre, William Goddard fonde Jesus Hospital (« l'hôpital de Jésus ») à Bray près Maidenhead, dans le Berkshire[3].
- À Beaune, en Bourgogne, l'hôpital du Saint-Esprit est réuni au grand hôtel-Dieu[4].
- À Paris, l'abbé Joulet de Chatillon fonde « une maison destinée aux incurables sans fortune ni famille » qui est à l'origine de l'hôpital Laennec[5].
- Jeanne de Chantal fonde le couvent de la Visitation de Crémieu, en Dauphiné, qui est à l'une des origines de l'hôpital de la ville, et dont les bâtiments sont occupés aujourd'hui par une maison de retraite et une lycée rural[6].
- François Van der Burch, archevêque de Cambrai, fonde dans cette ville « une maison pour l'entretien et l'instruction de cent jeunes filles pauvres[7] ».
- Fondation, par Julien Griffon, de l'hôpital Notre-Dame de Cluny, en Bourgogne, établissement qui est à l'origine du centre hospitalier de Cluny, devenu centre hospitalier du Clunisois à sa fusion avec celui de Tramayes[8].
- À Rennes, en Bretagne, Guillaume Régnier fonde la châtellenie du Tertre-de-Joué, qui est à l'origine de l'asile de Saint-Méen, aujourd'hui centre hospitalier Guillaume-Régnier[9].
- La Confrérie du silence (Hermandad del Silencio) loue à Séville, en Andalousie, une maison où les prêtres âgés, pauvres et malades trouvent assistance, et qui deviendra l'hôpital des Vénérables, établissement dont les bâtiments abritent aujourd'hui la fondation Focus-Abengoa (es) qui gère le centre Diego-Vélasquez[10].
Publications
modifier- Alessandro Alessio, médecin padouan, donne ses Consilia medica et Epitome pulsuum[11].
- Sous le titre de De plantis exoticis, Alpino Alpini (-), fils de Prospero Alpini (-), édite à titre posthume le De plantis Ægyptii de son père[12].
- Vincenzo Alsario Della Croce (c. – apr. ), médecin génois, camérier des papes Urbain VIII et Grégoire XV, publie son enquête sur un cas de mortinatalité[13].
- Parution posthume, à Milan, du De lactibus sive lacteis venis[14], de Gaspare Aselli (c. – ), exposé des travaux accomplis par l'auteur sur le système lymphatique depuis sa découverte des vaisseaux de lait en 1622[15].
- « Rendue responsable, par le rapport d’autopsie[16] rédigé par les chirurgiens légistes, de la mort de la princesse Marie de Bourbon-Montpensier[17],[18] », Louise Bourgeois (-), sage-femme de Marie de Médicis, publie son Apologie contre les médecins[19].
- Daniel Bucretius († ) édite à titre posthume, et augmente, les Tabulae anatomicae[20] de Giulio Cesare Casseri (-[21]).
- Valerius Charstad fait paraître les « Conférences sur la médecine dogmatique » (Disputationes de universa medicina dogmatica) qu'il a prononcées à l'académie de Strasbourg[22].
- Gaspar Collart (né vers ), écuyer de l'infante Isabelle[23] donne son Recueil et abrégé[24] d'art équestre et d'hippiatrie.
- Cesare Cremonini, philosophe padouan, fait paraître, dans le cadre de sa défense d'Aristote contre le galénisme, son traité De origine membrorum[25],[26].
- Gabriele Ferrara (de) (-1627) fait paraître une dernière édition, augmentée d'un libro quarto, per servire in tempo di peste (« quatrième livre, pour servir en temps de peste »), de sa Nuova selva di cirugia, publiée pour la première fois en et abondamment rééditée[27].
- En réponse à Louise Bourgeois, qui vient de publier son Apologie contre les médecins, paraît une Remonstrance anonyme[28], attribuée, sans doute à tort, au chirurgien de Louis XIII Charles Guillemeau (-), fils de Jacques Guillemeau (-)[29].
- Parution des Œuvres charitables, de Philibert Guybert ( ? – ), regroupant trois titres précédents (Le Médecin charitable (), Le Prix et valeur des médicaments et L'Apothicaire charitable ()) et un inédit : la Manière d'embaumer les corps morts[30].
- François Hédelin (-) donne son traité Des satyres[31], qui s'inscrit « dans le débat théologique et scientifique sur le préadamisme qui v[ien]t d’être relancé en Occident, à la suite des Grandes Découvertes[32] ».
- Impression de la thèse de médecine sur la dysenterie soutenue à Strasbourg par Ferdinand Hörscher, originaire d'Helbron[33].
- Gregor Horst (de) (-), médecin et anatomiste allemand, fait paraître trois essais en un volume, sur l'amour, sur le thermalisme et sur la transmission des caractères parentaux à l'enfant[34].
- Charles Le Scellier, médecin amiénois, publie son traité sur les fièvres (De febrium natura libellus[35]).
- Johann Peter Lotichius (-), médecin et homme de lettres allemand[36], publie sa thèse « sur les fièvres en général » (Paradoxon, sive De febribus in genere dissertatio[37]).
- Guillaume Marcquis ( – apr. ), médecin anversois[38], publie son traité sur la peste (Decas pestifuga, seu Decem quaestiones problematicae de peste[39]).
- Dans son essai De morbis popularibus Bredanis tempore obsidionis[40], Frederick van der Mye, donne la description de l'état sanitaire de la population de Bréda pendant le siège de ; l'ouvrage est suivi de deux dissertations, l'une sur la contagion, l'autre sur la découverte d'une corne de licorne[41].
- Ludovic Nunez ( – apr. ), médecin flamand[38], fait paraître son Diaeteticon[42].
- Cornelis Pleier (-), médecin de Cobourg, intitule Medicus criticus-astrologus le traité d'astrologie médicale qu'il fait imprimer à Nuremberg chez Simon Albmayer[43].
- François Ranchin (-) fait paraître à Lyon, chez Simon Rigaud, la dernière édition corrigée de ses Questions françaises sur la Chirurgie de Chauliac[44], et laisse à Henri Gras (-) le soin d'éditer son Opuscula medica[45].
- Estève Rodrigues de Castro (pt) (-), médecin portugais, professeur à Pise, publie un manuel à l'usage des étudiants[46].
- Daniel Bucretius († ) publie à titre posthume les « Dix livres sur la fabrique du corps humain » (De humani corporis fabrica libri decem) d'Adriaan van de Spiegel († [47]).
- Johann Stephan Strobelberger ( ? – ), médecin styrien[48], fait imprimer à Leipzig un « Aperçu systématique » à l'usage des étudiants[49].
- Édition à Paris, sans nom d'auteur, d'une Conjuration contre la maladie contagieuse[50].
Naissances
modifier- : Jean Bernier (mort en ), médecin de la duchesse d'Orléans, historien de la médecine et homme de lettres[51].
- : Giuseppe Francesco Borri (mort en ), alchimiste, médecin et aventurier italien[52].
- : Gerhard Blasius (mort en ), anatomiste flamand[53].
- Georges Midy (mort en ), maître chirurgien, originaire des Pays-Bas, installé à Gœulzin en Flandre romane et d'où sont issus, au terme d'une longue lignée de pharmaciens, les fondateurs en des laboratoires Midy frères, devenus Clin-Midy Industries et absorbés par Sanofi en [54].
- Raymond Restaurand (mort en ), médecin français[55].
- Guglielmo Riva (it) (mort en ), anatomiste italien, chirurgien à l'hôpital de la Consolation (it) de Rome, fondateur d'une importante académie privée, chirurgien de Louis XIV et archiatre de Clément IX[56].
- 1626 ou 1627 : Claude-Emmanuel Luillier, dit Chapelle (mort en 1686), homme de lettres, « et médecin, sans en faire profession[57] ».
Décès
modifier- : Gabriele Ferrara (de) (né en ), chirurgien milanais[58].
- Matthew Gwinne (en) (né à une date inconnue), médecin anglais, professeur à Gresham College, membre du Royal College of Physicians, praticien à Londres[59].
- Louis Hébert (né en ), apothicaire français, procureur du roi, premier colon à s'installer en Nouvelle-France[60].
- Thomas Sonnet de Courval (né en ), « gentilhomme normand et médecin satirique[61] ».
- Entre les et : Jan Chrościejewski (pl) (né vers ), philosophe et médecin polonais, élève de Mercurialis (-[62]).
Références
modifier- « Hôpital Saint-Jacques de Pézenas », dans les Archives départementales de l'Hérault, Montpellier, France archives, (lire en ligne).
- Auguste Prudhomme, Histoire de Grenoble, t. 2 : Des guerres de Religion au XIXe siècle, Cressé, Éditions des régionalismes, (1re éd. 2007), 228 p. (lire en ligne), p. 115-116.
- (en) « Bray with the Borough of Maidenhead : Introduction, Borough and Manors », dans Peter Hampson Ditchfield et William Page, A History of the County of Berkshire, vol. 3, Londres, Victoria County History, (lire en ligne).
- Claudine Hugonnet-Berger et Aurore-Diane Simon, « Ancien hôpital du Saint-Esprit, actuellement remise », dans Plateforme ouverte du patrimoine (POP), ministère de la Culture, (lire en ligne), « Description historique ».
- « Hôpital Laënnec », dans Plateforme ouverte du patrimoine (POP), ministère de la Culture, (lire en ligne), « Description historique ».
- Maryannick Chalabi et Olivia Pelletier, « Couvent Sainte-Marie de visitandines, puis hôpital-hospice, actuellement maison de retraite et lycée », dans Plateforme ouverte du patrimoine (POP), ministère de la Culture, (lire en ligne), « Description historique ».
- Mme C[lément] H[émery], « Notice sur les communautés de femmes établies à Cambrai avant la Révolution », Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai, vol. 10 « Séance publique du 16 août 1825 », , « Congrégation des Filles de Sainte-Agnès », p. 164 et suiv. (lire en ligne).
- Jean-Yves Gonod, « Histoire de l’hôpital Notre-Dame de Cluny », dans Cluny, histoires d'histoire, Cluny XVIIe siècle, (lire en ligne).
- Mathurin-Joseph Le Menant Des Chesnais, Notice historique sur le Petit-Saint-Méen, aujourd'hui transformé en asile départemental des aliénés d'Ille-et-Vilaine, Rennes, A. Leroy, (lire en ligne), 1re partie : « Fondation de l'hôpital du Tertre-de-Joué », p. 5 et suiv.
- (es) Maria Uriondo Lozano, « Hospital de los Venerables, Sevilla », dans Identidad e Imagen de Andalucia en la Edad Moderna, Almería, Universidad de Almería, (ISSN 2605-0315, lire en ligne).
- (la) Alessandro Alessio, Consilia medica et Epitome pulsuum Alexandri Alexii […], in quibus methodus accurata cum praxi theorica conjungitur, et est tabella consiliorum, et index rerum notabilium in eis contentorum, Patavii [à Padoue], apud Gasparem Crivellarium [chez Gasparo Crivellari], (lire en ligne).
- (la) Prospero Alpini et Alpino Alpini (éd.), De plantis exoticis libri duo Prosperi Alpini phylosophi, medici, in gymnasio Patauino medicamentorum simplicium professoris ordinarii, et horti medici præfecti ; opus completum, editum studio ac opera Alpini Alpini phylosophi et medici, auctoris filii, Venetiis [à Venise], apud Io[annem] Gerilium [chez Ioannes Gerilius], m dc xxvii [1627] (lire en ligne).
- (la) Vincenzo Alasario Della Croce, Disquisitio generalis ad historiam foetus editi nonimestris quidem et organici, sed emortui ac parvae ad eo molis, seu corpulentiae ut vix quadrimestris fuerit aestimatus, in adolescentula primipara tam ante quam post partum integra sanitate fruente, auctore Vincentio Alsario Crucio Genvense, S. D. N. Urbani VIII cubiculario, et olim Gregorii XV medico intimiori, praximq[ue] medicinae in Rom[ae] gymnasio profitente, Romae [à Rome], typis Gulielmi Facciotti [des presses de Guglielmo Facciotto], mdcxxvii [1627] (lire en ligne).
- (la) Gaspare Aselli, De lactibus sive lacteis venis quarto vasorum mesaraicorum genere novo inventum Gasparis Asellii Cremon[ens]is anatomici Ticinensis dissertatio [etc.], Mediolani [à Milan], apud Io[annem] Bap[tis]tam Bidellium [chez Giovanni Battista Bidelli], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- (it) Loris Premuda (it), « Aselli Gaspare », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 4, Istituto Treccani, (lire en ligne).
- [François] Vautier, [Rodolphe] Le Maistre, [Abel] Brunier, [Jean] Menard, [Guillaume] Garillon, [Pierre] Seguin, [François] Tornaire, [Charles] Guillemeau, [Simeon] Pimpernelle et [François] Neron, Connoissance asseuree de la maladie et mort de Madame, par l'ouverture de son corps, à Paris, chez Jean Mestais, (présentation en ligne).
- Jacques Gélis, « Louise Bourgeois (1563-1636) : Une sage-femme entre deux mondes », Histoire des sciences médicales, vol. 43, no 1, , p. 28 (lire en ligne).
- [Sans nom d'auteur], « Fragment de l'histoire de la chirurgie au XVIIe siècle : Louise Bourgeois (suite et fin) », Revue médico-chirurgicale de Paris, vol. 3, , p. 375-378 (lire en ligne).
- Louise Bourgeois, Apologie de Louyse Bourgeois, dite Bourcier, sage-femme de la royne mère du roy, et de feu Madame, contre le rapport des médecins, à Paris, chez Melchior Mondière, (lire en ligne).
- (la) Giulio Cesare Casseri, Julii Casserii Placentini […] Tabulae anatomicae LXXIIX, Omnes novae nec ante hac visae, Daniel Bucretius XX quae deerant supplevit et omnium explicationes addidit, Venetiis [à Venise], apud Evangelistam Deuchinum [chez Evangelista Deuchinus], mdcxxvii [1627] (présentation en ligne).
- (en) Matthew Bender, Alessandro Olivi et Rafael J. Tamargo, « Iulius Casserius and the First Anatomically Correct Depiction of the Circulus Arteriosus Cerebri (of Willis) », World Neurosurgery, vol. 79, nos 5-6, , p. 791-797 (résumé).
- (la) Valerius Charstad, Valerius Charstadius Stetinensis Pomerani medicinae doctoris, Disputationes de universa medicina dogmatica, in augustissima et perinclyta Argentoratensium academia habita ac in lucem emissa, [à Strasbourg], typis Rihelianis [sur les presses riheliennes [des héritiers de Wendel Rihel]], anno m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- André Monteilhet, Les Maîtres de l'œuvre équestre suivi de Les Mémorables du cheval, Arles, Actes Sud, coll. « Arts équestres », (ISBN 978-2-330-10200-5, lire en ligne), « Collart (Gaspar), fin XVIe siècle-début XVIIe siècle », p. 178-179.
- Gaspar Collart, Recueil et abbrege de Gaspar Collart, officier de la grande escuerie de la Ser[enissi]me Infante, etc., commandant au harras des jumens de Sa Ma[jes]té au bois de Soigne, contenant les qualitez de toutes les parties de la bouche du cheval [...] et aucunes receptes les plus necessaires pour aucunes maladies et accidens qui peuvent survenir aux chevaux, à Brusselles, chez Godfroy Schoevaerts, (lire en ligne).
- (la) Cesare Cremonini, Apologia dictorum Aristotelis de origine et principatu membrorum adversus Galenum, Caesaris Cremonini Centensis in schola Patavina philosophi primae sedis, Venetiis [à Venise], apud Hieronymum Piutum [chez Hieronymus Piutus], mdcxxvii [1627] (lire en ligne).
- (it) Charles B. Schmitt (de), « Cremonini, Cesare », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 30, Istituto Treccani, (lire en ligne).
- (it) Gabriele Ferrara (de), Nuova selva di cirugia, divisa in tre parti [...], del R. P. F. Gabriele Ferrara [...] ; di nuovo in questa ultima impressione ampliato, et accresciuto di molti secreti dall'istesso autore et aggiuntovi la quarte parte, che tratta delle qualità et rimedii della peste, in Venetia [à Venise], presso Gio[vanni] Battista Combi [sur les presses de Giovanni Battista Combi], m dc xxvii [1627] (lire en ligne).
- [Charles Guillemeau ?], Remonstrance à madame Bourcier, touchant son Apologie, contre le rapport que les medecins ont faict, de ce qui a causé la mort deplorable de Madame, à Paris, chez Julian Jacquin, (lire en ligne).
- Dominique Brancher, « Y a-t-il une herméneutique féminine ? : Les Péripéties de la matrice dans l'œuvre de Louise Bourgeois », dans Caroline Trotot (dir.), Claire Delahaye (dir.) et Isabelle Mornat (dir.), Femmes à l'œuvre dans la construction des savoirs : Paradoxes de la visibilité et de l'invisibilité, Champs-sur-Marne, LISAA éditeur, (lire en ligne), p. 27-48 [§ 19 en ligne].
- Philippe Albou, « Histoire des Œuvres charitables de Philibert Guybert », Histoire des sciences médicales, vol. 32, no 1, , p. 11-26 (lire en ligne).
- François Hédelin, Des satyres, brutes, monstres et demons, de leur nature et adoration, contre l'opinion de ceux qui ont estimé les satyres estre une espece d'hommes distincts et separez des adamicques, à Paris, chez Nicolas Buon, (lire en ligne).
- Antonio Domínguez Leiva, « La Querelle des satyres », Moebius, no 147 « Vérité et mensonge », , p. 114-129 (lire en ligne).
- (la) Ferdinand Hörscher, Disputatio inauguralis medica de dysenteria ejusdemque curatione, quam sub benignissimis S. S. Trinitatis auspiciis ex decreto, jussu, et authoritate amplissimi et excellentissimi celeberrimae Argentoratensis academiae collegii medici, pro supremis in arte medica honoribus ac privilegiis legitime impetrandis, examini publico et solenni ad diem 29 Martii, in auditorio majori proponit Ferdinandus Hoerscher Heilbronnensis (thèse de médecine soutenue à la faculté de médecine de l'université de Strasbourg), Argentorati [à Strasbourg], typis Johannis Andreae [sur les presses de Johannes Andreas], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- (la) Gregor Horst (de), Gregor[is] Horsti D. Dissertationes medica tres, De natura amoris, De natura thermarum, De causis similitudinis et dissimilitudinis in foetu respectu parentum, ante hac in academia Gissensi propositae et discussae, quibus annexae sunt resolutiones illustrium quarundam quaestionum medicarum, Marpurgi [à Marbourg], ex officina typographica Casparis Chemlini [des presses de Caspar Chemlin], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- Charles Le Scellier, De febrium natura, differentiis, symptomatis et causis paroxysmorum libellus […], auctore Carolo Le Scellier, Ambianensi medico, Ambiani [à Amiens], ex typographia Iacobi Hubault [des presses de Jacques Hubault], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- Guy Patin et Loïc Capron, Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, Paris, Bibliothèque iteruniversitaire de santé, (lire en ligne), Fiche biographique : Lotich, Johann Peter.
- (la) Johann Peter Lotichius, J[ohannis] P[etri] Lotichii D. medici et poliatri Francofurtensis, Paradoxon, sive De febribus in genere dissertatio theorico-pratica, in qua totius velut medicinae epiteme probabiliter astruitur febrem omnium reliquorum morborum ideam esse, accessit ejusdem Disputatio physica de dignitate et praestantia scientiae naturalis, Francofurti [à Francfort], typis Caspari Rotelii, impensis Matthaei Meriani [sur les presses de Gaspare Rotelli pour le compte de Matthias Merian [l'Ancien]], anno m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- Hilde De Ridder-Symoens, « Les Étudiants marranes aux Pays-Bas (XVIe et XVIIe siècles) », dans Patrick Ferté (dir.) et Caroline Barrera (dir.), Étudiants de l'exil : Migrations internationales et universités refuges (XVIe-XXe s.), Toulouse, Presses universitaires du Midi, (lire en ligne), p. 21-35, « Médecins » (« Ludovic Nunez », § 20, et « Guillaume Marcquis », § 21 [en ligne]).
- (la) Willem Marcquis, Decas pestifuga seu Decem quaestiones problematicae de peste, una cum exactissima instructione purgandarum aedium infectarum, auctore Guilielmo Marcquis, Antverpiense medico, Antverpiae [à Anvers], apud Caes[arem] Ioach[im] Trognaesium [chez Caesar Joachim Trognesius], anno m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- (la) Frederik van der Mye, Frederici Vander Mye Delphensis praesidii Bredani medici regii, De morbis et symptomatibus popularibus Bredanis tempore obsidionis, et eorum immutationibus pro anni victusq[ue] diversitate, deque medicamentis in summa rerum inopia adhibitis, tractatus duo ; ejusdem Dissertationes duae medico-physicae, de contagio, et cornu monocerotis quondam in aquis circa Bredam reperto, Antverpiae [à Anvers], ex officina Plantiniana [des presses plantiniennes], m. dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- « Bibliographie de l'Europe », L'Esprit des journaux français et étrangers, Paris, Liège et Bruxelles, veuve Valade, Jean-Jacques Tutot et bureau-général du journal, vol. 22, no 3, , « Allemagne. Van der Mye, De morbis et symptomatibus popularibus Bredanis », p. 392-394 (lire en ligne).
- (la) Ludovic Nunez, Ludovici Nonni Diaeteticon sive De re cibaria libri IV, Antverpiae [à Anvers], apud Petrum et Ioannem Belleros [chez Pierre et Jean Beller], m.dc.xxvii [1627], 638 p. (lire en ligne).
- (la) Cornelis Pleier, Medicus criticus-astrologus, ex veteribus iatromathematis productum a Cornelio Pleiero Coburgense, doctore medico, Noribergae [à Nuremberg], sumptibus et typis Simonis Halbmayeri (pour le compte et sur les presses de Simon Halbmaier], m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- Voir l'édition de 1628 : François Ranchin, Questions françoises sur toute la chirurgie de M. Guy de Cauliac, divisée en trois parties [...], dernière edition reveuë et corrigée de plusieurs manquemens et fautes passées aux precedentes impressions, à Rouen, par David Geuffroy, (lire en ligne).
- (la) François Ranchin et Henri Gras (éd.), Francisci Ranchini, consiliarii, medici et professoris regii […], Opuscula medica, utili iocundaque rerum varietate referta, in gratiam philiatron publici iuris facta, cura et studio Henrici Gras ['etc.], Lugduni [à Lyon], apud Petrum Ravaud [chez Pierre Ravaud], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- (la) Estève Rodrigues de Castro (pt), Stephani Roderici Castrensis Lusitani medici ac philosophi praestantisssimi et in Pisano gymnasio medicinam primo loco docentis, quae ex quibus opusculum in quatuor libros divisum, medicinae studiosis valde utile et recondita doctrina refertum, Florentiae [à Florence], apud Petrum Cecconcellium [chez Pietro Ceccconcelli], m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- (la) Adriaan van de Spiegel et Daniel Bucretius (éd.), Adriani Spigelii Bruxellensis equitis D. Marci olim in Patavino gymnasio anatomiae et chirurgiae profes[soris] primarii, De humani corporis fabrica libri decem [...], opus posthumum ; Daniel Bucretius Vratislaviensis philos[ophus] et medic[us] d[octor] jussu authoris in lucem profert, Venetiis [à Venise], apud Evangelistam Deuchinum [chez Evangelista Deuchino], m.dc.xxvii [1627] (lire en ligne).
- (de) Julius Pagel, « Strobelberger, Johann Stephan », dans Allgemeine Deutsche Biographie (ADB), vol. 36, Leipzig, Duncker & Humblot, , p. 605.
- (la) Johann Stephan Strobelberger, Systematica universae medicinae adumbratio, pro studiosorum adminiculo publice tradita a Joh[hanne] Stephano Strobelbergo e Ratisbona ad therma Carolinas medico Caesaro, Lipsiae [à Leipzig], impensis Eliae Rehefeldi et Joh[hannis] Grosii, typis exscribebat Justus Jansonius [imprimé par Justus Janssonius, pour le compte de Johann Grosse et Elias Rehefeld], m.dc.xxvii [l'an 1627] (lire en ligne).
- Conjuration contre la maladie contagieuse, tres-profitable et necessaire pour eviter ce danger, à Paris, chez Germain Droüot, , [2]-13-[1] p., 2 ill.(au titre, Saint-Roch ; à la dernière page, Saint-Sébastien et Saint-Roch) (présentation en ligne).
- Henri Gros, « Jean Bernier de Blois (1627-1698) », Paris médical : La Semaine du clinicien, no 72 « Partie paramédicale », , p. 333-337 (lire en ligne).
- (it) « Borri in latino Burrus e Burrhus (Giovan [sic] Francesco) », dans Nuova enciclopedia popolare ovvero Dizionario generale di scienze, lettere [etc.], t. 2, Turin, Giuseppe Pomba, (lire en ligne), p. 624.
- (en) William B. Ashworth, Jr., « Gerard Blasius », dans Scientist of the Day, Kansas City (Missouri), Linda Hall Library, (lire en ligne).
- Club d'histoire locale de Gœulzin, « Les Secrets de l'église de Gœulzin », Trait d'union gœulzinois, no 17, , p. 13 (lire en ligne).
- Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne, t. 35, Paris, C. Desplaces, [1843], 674 p. (lire en ligne), « Restaurand (Raimond) », p. 461.
- (it) Camillo Artom (it), « Giovanni Guglielmo Riva », dans Aldo Mieli (dir.), Gli scienziati italiani : Repertorio biobibliografico, vol. 1, 1re part., Rome, Attilio Nardecchia, (lire en ligne), p. 213-219.
- Jean Donneau de Visé, L'Amour échapé ou les Diverses Manières d'aymer, contenuës en quarante histoires, avec Le Parlement d'amour, t. III, à Paris, chez Thomas Jolly, m.dc.lxix [1669], [6]-422-[4] p. (lire en ligne), p. 16-17.
- « Gabriele Ferrara (1543-1627) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 29 septembre 2021)].
- (en) « Matthew Gwinne », dans Munk's Roll : Inspiring Physicians, vol. 1 : 1518-1700, Royal College of Physicians, (lire en ligne).
- Jacques Mathieu, « Hébert, Louis », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1 : 1000-1700, Université Laval et Université de Toronto, 2003 [dernière révision 2020] (lire en ligne).
- Joël Coste, « Un regard médical sur la société française de l'époque d'Henri IV et de Marie de Médicis : Thomas Sonnet de Courval (1577-1627), gentilhomme normand et médecin satirique », Dix-septième siècle, no 239, , p. 339-361 (lire en ligne).
- Magdalena Kozluk, « Johanus Chrosciejowski (Jan Hieronim Chrościejewski, 1555-1628), élève de Mercurialis (1530-1606) », Histoire des sciences médicales, vol. 45, no 2, , p. 200-202 (lire en ligne).