1618 en santé et médecine

Années de la santé et de la médecine :
1615 - 1616 - 1617 - 1618 - 1619 - 1620 - 1621
Décennies de la santé et de la médecine :
1580 - 1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640

Publications

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  • 7 mai : le Collège royal de médecine de Londres publie la Pharmacopœia Londinensis[9],[10].
  • Francesco Arcadio, médecin de Pordenone, publie en italien des « Paraphrases sur la médecine statique de Santorio Santorio » (Paraphrasi sopra la statica medicina santoriana[11],[12]) et, en latin, son « Médecin réformé » (Medicus reformatus[13]).
  • Baldassare Baldassari, apothicaire de Ferrare[14], publie des « Raisons par lesquelles on démontre qu'il faut laver et non brûler le lapis-lazuli pour la préparation de l'alkermès de Mésué[15] ».
  • Diego Cisneros, médecin de Nouvelle-Espagne, fait paraître un ouvrage sur la ville de Mexico, où il défend les thèses de l’astrologie médicale[16],[17].
  • Girolamo Fabrizi d'Acquapendente (-) fait paraître le De gula, ventriculo, intestinis tractatus[18], le De motu locali animalium secundum totum[19] et le De totius animalis integumentis opusculum[20], trois des volumes qui doivent composer son grand traité d'anatomie, le Totius animalis fabricae theatrum.
  • Johann Fautsch ( ), homme de lettres et professeur de médecine à Fribourg, publie son traité sur l'hydropisie sous le titre de Conclusiones medicae de affectu hydropico[21].
  • Bernardo Ferragut (fl. 1600-1630) publie son essai sur les comètes récemment apparues dans le ciel de Huesca (Conjectura de los efectos significados por los cometas que aparecieron el mes de noviembre en el horizonte de la ciudad de Huesca año 1618[22]), ouvrage où il explique que c'est par putréfaction et dessication de l’air que de tels astres peuvent provoquer la peste[23].
  • Johann Vinzenz Finck (-), médecin né à Geisa, dans la principauté abbatiale de Fulda, en Thuringe, publie à Leipzig un manuel de médecine dogmatique et spagirique à l'usage des étudiants[24].
  • L'imprimeur bâlois Johann Jacob Genath rassemble en un volume « cinq dizaines de dissertations médicales[25] ».
  • Cristóbal Granado, barbier à Écija, en Andalousie, publie son traité sur la saignée[26].
  • Nicolas Habicot ( ), chirurgien du duc de Nemours[27], publie sa réponse à la Gigantologie[3] de Riolan, sous le titre d'Antigigantologie ou Discours de la grandeur des géants[28].
  • Jan Jesensky (-), médecin, philosophe et homme politique slovaque, publie un opuscule intitulé De Sanguine vena secta demisso judicium[29].
  • Le chimiste Arnold Kerner publie son traité « sur l'efficacité en médecine de l'or, du mercure, de l'antimoine et du vitriol[30] », ainsi qu'un ouvrage sur les multiples indications du baume[31].
  • Charles Le Pois publie en latin des Observations et conseils choisis[32], où il est le premier à attribuer une origine cérébrale et non pas utérine aux troubles hystériques[33].
  • Sous le titre de De spontaneo viventium ortu, Fortunio Liceti (1577-1657), médecin et philosophe gênois, publie son ouvrage sur la génération spontanée[34].
  • Michael Maier (1568-1622), médecin et alchimiste allemand, conseiller de l'empereur Rodolphe II, fait imprimer sa Themis aurea, ouvrage qui présente l'ordre de la Rose-Croix comme une société à but essentiellement médical[35].
  • « Bartolomé Marradón, médecin de Marchena qui a visité la Nouvelle-Espagne à la fin du XVIe siècle[36], publie à Séville un Dialogue sur l'usage du tabac, du chocolat et autres boissons[37],[38] ».
  • Le compositeur et alchimiste allemand Johann Daniel Mylius intitule Opus medico-chymicum le traité de chimiatrie qu'il fait imprimer par Lucas Jennis à Francfort[39].
  • Ippolito Obizzi[40], médecin de Ferrare, rassemble un grand nombre de ses propres ouvrages, certains inédits, dans un recueil qu'il intitule Iatrastronomicon[41].
  • Francesco Plazzoni, chirurgien et anatomiste italien, fait imprimer à Venise la deuxième édition[42] de son « traité sur les plaies par arme à feu » (De vulneribus sclopetorum tractatus[43]).
  • Jean Riolan le Jeune (1580-1657) donne sa Gigantologie[3] et son Anthropographia et osteologia[44], ainsi qu'une « requête pour l'établissement d'un jardin royal[45],[46] ».
  • Angelo Sala (-) publie Ternarius bezoardicorum et hemetologia seu Triumphus vomitorium[47].
  • L'alchimiste Hamerus Poppius Thallinus publie son traité sur l'antimoine[48].
  • Marco Antonio Tosi[49], médecin à Serra San Quirico et Sassoferrato, dans la province d'Ancône, fait paraître un traité sur l'anthrax et la péripneumonie[50].
  • Sebastiano Travo, médecin et philosophe de Villanova d'Asti, citoyen de Turin et lecteur à l'université de cette ville, fait paraître un livre intitulé Scholia in theoremata, medica, physica, metaphysica et moralia[51].

Sur la peste

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Naissances

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Décès

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Références

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  1. Bénédicte Lecarpentier-Bertrand, « Des corps souffrants et sous surveillance : Problèmes et soins de santé à la cour de France dans la première moitié du XVIIe siècle », dans Stanis Perez (dir.) et Jacqueline Vons (dir.), Santé et médecine à la cour de France (XVIe – XVIIIe siècles), Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, coll. « Medic@ », (ISBN 978-2-915634-21-1, lire en ligne), p. 72-73.
  2. Monique Lucenet, Lyon malade de la peste, Lyon, Fenixx (Sofédir), , 203 p. (lire en ligne), « Préface », p. 3.
  3. a b et c [Jean Riolan le Jeune], Gigantologie : Histoire de la grandeur des géants, où il est démontré que de toute ancienneté les plus grands hommes et géants n'ont esté plus hauts que ceux de ce temps, Paris, Adrian Perier, (lire en ligne et lire en ligne).
  4. Nicolas Habicot, Gigantosteologie, ou Discours des os d'un geant, par Nicolas Habicot, maistre chirurgien juré en l'université de Paris, à Paris, chez Jean Houzé, , 60 p. (SUDOC 067881793).
  5. Jacqueline Vons, Le Médecin, les Institutions, le Roi : Médecine et politique aux XVIe et XVIIe siècles, Paris, Cour de France, (lire en ligne), p. 2e partie : L’Époque des dissensions, IV : « Une figure d'exception : Jean Riolan le Jeune », p. 45.
  6. Georges Cuvier, Recherches sur les ossements fossiles de quadrupèdes, t. 2, 1re partie : Ossements fossiles de quadrupèdes pachydermes et d'éléphants, trouvés dans les terrains meubles ou d'alluvion, Paris, chez Deterville, (lire en ligne), chap. 9 : « Sur les éléphants vivants et fossiles », p. 14-17.
  7. Léonard Ginsburg, « Gigantomachie et Gygantostéologie du début du XVIIe siècle en France », Travaux du Comité français d'histoire de la géologie, 3e série, vol. 5,‎ , p. 25-27 (lire en ligne).
  8. Régis Olry, « Le Mystère Berrettini », dans Anecdotes anatomiques, Université du Québec à Trois-Rivières, s. d. (lire en ligne).
  9. (en) « Plants from the College's Pharmacopoeia Londinensis (1618) », dans Henry Oakeley et al., A Garden of Medicinal Plants : 500 Reflections on the RCP (1518-2018), Londres, Royal College of Physicians (ISBN 978-1-4087-0624-4, lire en ligne), p. 49 et suiv..
  10. Une deuxième édition, corrigée et augmentée, paraît dès le mois de décembre de la même année : (la) Collège des médecins de Londres, Pharmacopoeia Londinensis, in qua medicamenta antiqua et nova usitatissima sedulo collecta accuratissime examinata, quotididiana experientia confirmata describuntur, diligenter revisa, denuo recusa, emendatior auctior, opera Medicorum Collegii Londinensis, London [Londres], printed for John Marriott [imprimé pour John Marriott], (lire en ligne).
  11. (it) Francesco Arcadio, Paraphrasi di Francesco Arcadio […] sopra la statica medicina santoriana, nella quale brevemente si dichiara l'arte sudetta in aphorismi ridotta dall'eccellentiss[imo] Santorio, Loano, F[rancesco] Castello, .
  12. (en) Fabrizio Bigotti et Jonathan Barry, « Introduction », dans Santorio Santori and the Emergence of Quantified Medicine, 1614-1790 : Corpuscularianism, Technology and Experimentaion, Londres, Palgrave Macmillan, coll. « Studies in Medieval and Early Modern Medicine », (lire en ligne), 2.3 : « The Ars de Statica Medicina and the Obizzi Controversy (1614-1615) », p. 13-19, n. 72.
  13. (la) Francesco Arcadio, Medicus reformatus ob varias in medicina καταχρησεις, seu abusus, quem e tenebris veluti in gurgustio habitantem eripuit, ac in lucem apertam eduxit, et a summa rerum ignoratione liberavit D. Joannes Franciscus Arquatus, physicus ac publicus magnificae civium Portus Naonensis societatis medicus, Venetiis [à Venise], apud Petrum Cieram, sumptibus auctoris [chez Pietro Ciera, à compte d'auteur], mdcxviii [1618] (lire en ligne).
  14. « Baldassari (Balthazar) », dans Dictionnaire des sciences médicales. Biographie médicale, vol. 1, Paris, C. L. F. Panckoucke, (lire en ligne), p. 514.
  15. (it) Baldassare Baldassari, Ragioni con le quali si dimostra che il lapis lazuli si deve lavare et non abbrucciare per la confettione alchermes di Mesue, di Baldassare Baldassari [etc.], in Ferrara, nella stampa Camerale, , 18 p., in-4° (BNF 30049138).
  16. (la) Diego Cisneros, Sitio, naturaleza y propiedades de la ciudad de México, aguas y vientos a que esta sujeta, y tiempos del año, necessidad de su conocimiento para el exercicio de la medicina, su incertidumbre y difficultad sin el de la astrologia assi para la curacion como para los prognosticos, por el doctor Diego Cisneros, medico complutense y incorporado en la real universidad de Mexico, México [Mexico], casa del bachiller Juan Blanco de Alcaçar [chez le bachelier Juan Blanco de Alcazar], año de 1618 [l'an 1618] (lire en ligne).
  17. (es) Jesús Maria Galech Amillano, « La medicina astrológica novohispana en la segunda mitad del siglo XVII », dans Angélica Morales Sarabia (dir.), José Pardo-Tomás (dir.) et Mauricio Sánchez Menchero (dir.), De la circulación del conocimiento a la inducción de la ignorancia : Culturas médicas transatlánticas, siglos XVI y XVII, Mexico, Centre d'études philosophiques, politiques et sociales Vicente Lombardo Toledano, (lire en ligne), p. 172.
  18. (la) Girolamo Fabrizi d'Acquapendente, Hieronymi Fabricii ab Aquapedente, De gula, ventriculo, intestinis tractatus, Patavii [à Padoue], typis Laurentii Pasquati [sur les presses de Laurenzo Pasquati, .
  19. (la) Girolamo Fabrizi d'Acquapendente, Hieronymus Fabricius ab Aqua Pendente, eques et in florentissimo gymnasio Patavino quinquaginta jam annos anatomicus supra-ordinarius, De motu locali animalium secundum totum, Patavii [à Padoue], apud Io[annem] Baptistam de Martinis [chez Giovanni Battista Martini], (lire en ligne).
  20. (la) Girolamo Fabrizi d'Acquapendente, Hieronymi Senis de totius animalis integumentis opusculum, Patavii [à Padoue], ex typogr[aphia] Laurentii Pasquati [des presses de Laurenzo Pasquati], .
  21. Marie-Odile Stempfer, « Fautsch Jean », dans Notices netDBA, Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace, (lire en ligne).
  22. (es) Bernardo Ferragut, Conjectura de los efectos significados por los cometas que aparecieron el mes de noviembre en el horizonte de la ciudad de Huesca año 1618, por el licenciado Bernardo Ferragut, astrologo y mathematico, natural de la ciudad de Mallorca [etc], impresso en Huesca [imprimé à Huesca], por Pedro Bluson [par Pedro Bluson], año 1618 [l’an 1618].
  23. (en) Tayra M.C. Lanuza Navarro, « MedicaI Astrology in Spain During the Seventeenth Century », Cronos, vol. 9,‎ , p. 59-84 (lire en ligne).
  24. (la) Johann Vinzenz Finck, Encheiridion dogmatico-hermeticum morborum partium corporis humani praecipuorum curationes breves continens, in gratiam verae medicinae studiosorum conscriptum a Joanne Vincentio Finckio Fulda-Buchonio, med[icinae] d[octore], Lipsiae [à Leipzig], excudebat Lanrentius Cober[us] impensis Eliae Rehefeldii et Johan[nis] Grosii [imprimé par Lorenz Kober pour le compte d'Elias Rehefeld et Johann Grosse], (lire en ligne).
  25. (la) Wollfgang Sattler, Melchior Sebitz, Johann Klopfinger et al., Decas I [Decades I-V] disputationum medicarum selec[arum], nobilissimas et utilissimas materias continentium, in gratiam plurimorum artis Asclepiadeae studiosorum [...], per Ioh[annem] Jacobum Genathium, academia Basileae typographum, Basileae [à Bâle], per Ioh[annem] Jacobum Genathium [par Johann Jakob Genath], anno mdcxviii [l'an 1618] (lire en ligne).
  26. (es) Cristóbal Granado, Tratado de flebotomia y instruccion de barberos flebotomianos, echo por Christoval Granado, barbero flebotomiano vezino de la ciudad de Ecija, impresso en Sevilla [imprimé à Séville], por Gabriel Ramos Vejarano [par Gabriel Ramos Bejarano], año 1618 [l'an 1618] (lire en ligne).
  27. Jean Lebeuf, « Mémoire adressé à un chanoine de l'église de *** [etc.] », Bulletin du bibliophile, 4e série, no 13,‎ , p. 552 (lire en ligne).
  28. Nicolas Habicot, Antigigantologie, ou Contrediscours de la grandeur des geans, par Nicolas Habicot, Me chirurgien juré en l'université de Paris, à Paris, chez Jean Corrozet, m.dc.xviii [1618] (lire en ligne).
  29. (la) Jan Jesensky, Iohannis Iessenii a Iessen, De sanguine, vena secta, demisso judicium, Pragae [à Prague], in officina typographica Danielis Sedesani [imprimé chez Daniel Sedlčanský], m. dc. xviii [1618], 16 p. (lire en ligne).
  30. (la) Arnold Kerner, Tetras chymiatrica, proponens praestantiam et in medicina efficaciam, auri, mercurii, antimonii, et vitrioli, et medicamentorum ex illis paratorum, opposita misochymis eadem sat frivole calumniantibus, ab Arnoldo Kernero, med. D. philochymiatro, Erphoridiae [à Erfurt], ex typographeo Johannis Rohbock, impensis Johannis Birckneri bibliopolae Erf. [imprimé par Johann Rohbock pour Johann Birckner, libraire à Erfurt], , 286 p. (lire en ligne).
  31. (de) Arnold Kerner, « Balsamus vegetabilis », das ist kurtzer doch gründtlicher Discurs von einem köstlichen vegetabilischen Balsam so zu vielen Kranckheiten heilsam und nützlich zu gebrauchen [...] durch Arnoldum Kernerum [etc.], s. l., Johann Birckner, , 50 f., in-8° (lire en ligne).
  32. (la) Charles Le Pois, Selectorium observationum et consiliorum de praeter visis hactenus morbis affectibusque praeter naturam ab aqua, seu serosa colluvie et dilluvie ortis liber singularis [...], authore Carolo Pisone, Ponte ad Monticulum [à Pont-à-Mousson], apud Carolum Mercatorem [chez Charles Marchant], ciↃiↃcxviii [1618] (lire en ligne), p. 101.
  33. « Symptomata hysterica quidem vulgo dicta ad epilepsiam referuntur : epilepsia autem ipsa capiti idiopathica esse demonstratur non per sympathiam uteri, aut viscerum. » (« On attribue ordinairement les symptômes hystériques à l'épilepsie, mais il est démontré que l'épilepsie elle-même est une maladie de la tête, et sans liens avec l'utérus ni les viscères. ») (Selectorium observationum et consiliorum, « Consilium de epilepsia », p. 102 [lire en ligne].)
  34. (la) Fortunio Liceti, De spontaneo viventium ortu lib[ri] quatuor, in quibus de generatione animantium, quae vulgo ex putri exoriri dicuntur, accurate aliorum opiniones omnes primum examinantur [etc.], author Fortunius Licetus Genuensis, philosophus medicus olim Pisis, nunc in Patavino lyceo philosophiam prima hora vespertina primo loco docens, Vicetiae [à Vicence], ex typographia Dominici Amadei, apud Franciscum Bolzetam [des presses de Domenico Amadio, chez Francisco Bolzetta], m dc xviii [1618], [6]-324 p. et index (lire en ligne).
  35. (la) Michael Maier, Themis aurea hoc est De legibus fraternitatis R[osacae] C[rucis] tractatus, quo rarum cum rei veritate convenentia, utilitas publica et privata, nec non causa necessaria evolvuntur et demonstratur, authore Michaele Maiero, imperialis consistorii comite equite, exempt[o], phil[osophiae] et med[icinae] d[octore], etc., Francofurti, typis Nicolai Hoffmanni, sumptibus Lucae Jennis [sur les presses de Nicolas Hoffmann, pour le compte de Lucas Jennis], (lire en ligne).
  36. Laura Oliván Santaliestra, « El chocolate en Andalucía », dans Encrucijada de mundos : Identidad, imagen y patrimonio de Andalucía en los tiempos modernos, Sevilla, Universidad de Sevilla, s. d. [mai 2022 ?] (lire en ligne).
  37. (es) Bartolomé Marradón, Diálogo del uso del tabaco, los daños y provechos que el tiempo y experiencia han descubierto de sus efectos y del chocolate, y otras bebidas que en estos tiempos se usan, Sevilla [Séville], por herederos de Gabriel Ramos Bejarano [par les héritiers de Gabriel Ramos Bejarano], , [4]-35-[1] f., in-8°.
  38. Sous le titre de Dialogue du chocolate entre un medecin, un Indien et un bourgeois, réédition de la traduction française (1631) de René Moreau, dans Philippe Sylvestre Dufour, Traitez nouveaux et curieux du café, du thé et du chocolate, ouvrage également necessaire aux medecins et à tous ceux qui aiment leur santé, à Lyon, chez Jean Girin et B[arthélemy] Riviere, m.dc.lxxxv [1685] (lire en ligne), p. 412 et suiv..
  39. (la) Johann Daniel Mylius, Ioannis Danielis Mylii, Vetterani Hassi M. C. Opus medico chymicum, continens tres tractatus sive basilicas [etc.], Francfurti [à Francfort], apud Lucam Iennis [chez Lucas Jennis], (lire en ligne).
  40. (it) Francesco Ronco, « Obizi, Ippolito », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 79, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  41. (la) Ippolito Obizzi, Hippolyti Obicii, equitis aurati, medici et philosophi Ferrariensis, olim in patrio gymnasio medicinae publici lectoris, nunc civitatis Belluni medici primarii, Iatrastronomicon, varios tractatus medicos et astronomicos ad rectum medendi usum per necessarios complectens, quibus additus est De multiplici abusu in medicina utilis tractatus aliaque medica opuscula quorum omnium elenchum sequens pagina dabit, Vicentiae [à Vicence], apud Iacobum Violatum [chez Giacomo Violati], m.d.xviii [1618] (lire en ligne).
  42. La première édition, publiée à Padoue en , est perdue (voir Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3 : L-P, Mons, H. Hoyois, , 648 p. (lire en ligne), « Plazzoni (François) », p. 591, et (en) Girolamo Fabrizi d'Acquapendente et Howard B. Adelmann (intr., trad. et comm.), The Embryological Treatises of Hieronymus Fabricius of Aquapendente. The Formation of the Egg and of the Chick [De formatione ovi et pulli], The Formed Fetus [De formato foetu] : A Facsimile Edition, New York, Cornell University Press, (lire en ligne)).
  43. (la) Francisco Plazzoni, Francisci Plazonni Patavini, philosophiae ac utriusque medicinae doctoris, De vulneribus sclopetorum tractatus, in quo eorum natura et perfecta curatio chirurgica methodo explicantur, et symptomata quae haec vulnera comitantur accurate corriguntur, Venetiis [à Venise], apud Robertum Meglietum [chez Roberto Meglietti], m.dc.xviii [1618] (lire en ligne).
  44. (la) Jean Riolan, Ioannis Riolani filii, doctoris medici, ordine et origine Parisiensis, anatomes et pharmaciae professoris regii, Anthropographia et osteologia, ex propriis et novis observationibus collecta, concinnata [etc.], Parisiis [à Paris], ex officina Plantiniana, apud Hadrianum Perier [imprimé chez les Plantin pour Adrien Périer], m. dc. xviii [1618] (lire en ligne).
  45. Jean Riolan, Requeste au roy pour l'établissement d'un jardin royal en l'université de Paris, l'an MDCXVIII, par Jean Riolan, professeur royal en anatomie et pharmacie, s. l., s. n., .
  46. Jacqueline Vons, « De l'anatomie des plantes à l'anatomie de l'homme au jardin royal des plantes de Paris (1618-1718) », Journal de botanique, Société botanique de France, no 85,‎ , p. 3 (lire en ligne).
  47. (la) Angelo Sala, Ternarius bezoardicorum et hemetologia seu Triumphus vomitoriorum, Dn. Angeli Salae Veneti e Gallico sermone latinitate kata podas donati [etc.], Erfurti [à Erfurt], impensis Johannis Birckneri bibliop[olis] typis haeredum Mechlerianorum [imprimé par les héritiers de Joachim Mecheler pour le compte de Johann Birckner, libraire], m. dc. xiix [1618] (lire en ligne).
  48. (la) Hamerus Poppius Thallinus, Basilica antimonii, in qua antimonii natura exponitur et nobilissimae remediorum formulae, quae pyrotechnica arte ex eo elaborantur, quam accurate traduntur, manuali experientia comprobata et conscripta ab Hamero Poppio Thallino, philochymico, Francofurti [à Francfort], apud Antonium Hummium [chez Anton Humm], m.dc.xviii [1618] (lire en ligne).
  49. (it) Domenico Gaspari, Memorie storiche de Serrasanquirico nella marca d'Ancona, Rome, C. Corradetti, , 404 p. (lire en ligne), « Antonio o Marco Antonio Tosi », p. 234.
  50. (la) Marco Antonio Tosi, M. Antonii Tosii a Serra S. Quirici civis, Saxoferratensis medici ac phiilosophi, De anthrace seu carbunculo tractatus, ejusdem De nova quadam peripneumoniam curandi ratione a nemine hactenus excogitata, Venetiis [à Venise], apud Evangelistam Deuchinum [chez Evangelista Deuchino], (lire en ligne).
  51. (la) Sebastiano Travo, Sebastiani Travi medici et philosophi a Villanova Astensi, civisque Taurinensis, in ejusdem civitatis universitae professoris theor[icae] medic[inae] ord[inarii], Scholia in theoremata, medica, physica, metaphysica et moralia paradoxi naturam referentia, his animadversiones cum antithesibus in propositiones physicas et medicas, ex cujusdam authoris manuscriptis decerptas adjecit, Taurini [à Turin], apud HH Io[annis] Dominici Tarini [chez les héritiers de Giovanni Domenico Tarino, m.dc.xviii [1618] (lire en ligne).
  52. (la) Hermann Follin, Amuletum Antonianum, seu Luis pestiferae fuga, in duos libros distributa multisque remediis, usu et observatione cognitis expedita, cui accessit utilis libellus De cauteriis, auctore Hermanno Follino, philosophiae et medicinae doctore et urbis Sylvaeducensis medico ordinario, Anterverpiae [à Anvers], apud Hieronymum Verdussium [chez Jérôme Verdussen], m.dc.xviii [1618] (lire en ligne).
  53. (la) Evangelista Quadramio (trad. Andreas Hiltebrand), Tractatus brevis de praeservatione et curatione pestis, Evangelistae Quattrammi de Agubio, ordinis eremitani S. Augustini, botanici illustriss[imi] et reverendiss[imi] cardinalis Estensis […], opera et studio And[reas] Hiltebrandi, med[icinae]. d[octoris], Lipsiae [à Leipzig], impensis Eliae Rehefeldi et Johannis Grosii [pour le compte d'Elia Rehefeld et Johann Grosius], (lire en ligne).
  54. (de) Achim Aurnhammer (de), « Andreas Hiltebrand : Ein pommerscher Dichterarzt zwischen Späthumanismus und Frühbarock », dans Wilhelm Kühlmann (dir.), Pommern in der Frühen Neuzeit : Literatur und Kultur in Stadt und Region, Tübingen, Niemeyer, (lire en ligne), p. 199-225.
  55. (it) Antonio Clericuzio, « Quattrami, Evangelista », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 85, (lire en ligne).
  56. (sl) Drago Mušič, « Verbec, David, pl. (med 1577 in 1578 – 1643) », dans Slovenska biografija, vol. 13 : Trubar-Vodaine, Lubljana, Alfonz Gspan, Jože Munda et Fran Petrè, (lire en ligne).
  57. (la) David Verbec (sl), Exercitationum medicarum super disputatione quadam de peste, liber unus, edente Davide Verbezio Carno-Lubeano [etc.], [Campoduni] [à Kempten], excusus typis Christophori Kraus, chalcographi Campodunensis [sorti des presses de Christoph Kraus, chalcographe à Kempten], ciↃiↃcxviii [1618] (lire en ligne).
  58. (it) Ippolito Zucconelli, Trattato di peste nuovamente dato in luce dall'ecc[elentissi]mo sig[nore] Hippolito Zucconello, medico della maestà del rè di Polonia, in Venetia [à Venise], per il Deuchino [par [Evangelista] Deuchino], (lire en ligne).
  59. « Hamon, Jean (1618-1687) », dans Histoire. Personnalités, Société des amis de Port-Royal, (lire en ligne).
  60. Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 2 : D-K, Mons, H. Hoyois, , 648 p. (lire en ligne), « Hamon (Jean) », p. 444-446.
  61. (en) Thompson Cooper (en), « Collins, Samuel, M. D. (1618-1710) », dans Dictionary of National Biography, vol. 11, 1904 [erratas ajoutés] (lire en ligne), p. 376-377.
  62. Charles Weiss, « Zwelfer (Jean) », dans Jean-Gabriel Michaud (dir.), Bibliographie universelle ancienne et moderne, t. 45, Paris, C. Desplaces, 2e éd. (lire en ligne), p. 643-644
  63. (en) Robert L. Martensen (en), « Whistler, Daniel (1618/19–1684) », Oxford Dictionary of National Biography,‎ (lire en ligne).
  64. (en) William Munk, « George Joyliffe », dans Inspiring Physicians (Munk's Roll), vol. 1, Royal College of Physicians, (lire en ligne), p. 280.
  65. (en) Malcolm Oster, « Joyliffe, George (1621–1658) », dans Oxford Dictionary of National Biography, (présentation en ligne).
  66. (en) Jeffrey Boss, « William Butler (1535-1618) : Further Evidence on a Physician Between Two Ages », Medical History, vol. 21,‎ , p. 434-445 (lire en ligne).
  67. Jacqueline Vons, « Piètre, Simon II (1565-1618) », dans Le Monde médical à la cour de France : Base de données biographique, Cour de France, (lire en ligne).
  68. Jacqueline Vons, Le Médecin, les Institutions, le Roi : Médecine et politique aux XVIe et XVIIe siècles, Paris, Cour de France, (lire en ligne), Troisième partie : Des choix thérapeutiques aux changements épistémologiques.
  69. Guy Patin, « Lettre à Johann Georg Wolckamer, le 4 décembre 1664, note [1] », dans Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron (lire en ligne).