Les élections sénatoriales de 2023 dans l'Essonne ont lieu le dimanche [1] dans le but d'élire les cinq sénateurs représentant le département au Sénat pour un mandat de six années.
Divisée en 2017 avec trois listes, la gauche parvient à s'unir derrière le leader de l'opposition de gauche au conseil départemental et maire d'Orsay, David Ros[5]. Cependant, faute d'accord au niveau national, La France insoumise, n'en fait pas partie et présente sa propre liste menée par le conseiller municipal d'opposition à Étampes, Mathieu Hillaire.
La sénatrice sortante, Daphné Ract-Madoux, mène une liste étiquetée majorité présidentielle[6].
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Les nouveaux représentants sont élus pour un mandat de 6 ans au suffrage universel indirect par les grands électeurs du département. Dans l'Essonne, les sénateurs sont élus au scrutin proportionnel plurinominal. Le département élit cinq sénateurs et sept candidats doivent être présentés sur chaque liste pour qu'elle soit validée. Chaque liste de candidats est obligatoirement paritaire et alterne entre les hommes et les femmes.
↑ abcdefg et hBertrand Gaume, ARRÊTÉ n°2023-PREF-DRCL/229 du 8 septembre 2023 fixant la liste des candidats pour le département de l’Essonne de l’élection des sénateurs le 24 septembre 2023, Préfecture de l'Essonne, , 4 p. (lire en ligne)
↑ a et bTeddy Vaury, « Elections sénatoriales 2023 : Laure Darcos présente sa liste. », Le Républicain, (lire en ligne)
↑Teddy Vaury, « Elections sénatoriales 2023 : Jean-Raymond Hugonet présente sa liste. », Le Républicain, (lire en ligne)
↑Teddy Vaury, « Elections sénatoriales 2023 : Vincent Delahaye présente sa liste. », Le Républicain, (lire en ligne)
↑Cécile Chevallier, « Essonne : fin des prolongations pour le sénateur David Ros, qui va quitter la mairie d’Orsay : L’élu socialiste a exceptionnellement cumulé ses mandats de sénateur et de maire pendant plus de six mois. La loi l’y autorisait en raison des protestations électorales, finalement rejetées par le Conseil constitutionnel ce mercredi 21 mars », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« ce mercredi 21 mars, le Conseil constitutionnel a rejeté les deux recours déposés contre l’élection du 24 septembre dernier, dont un porté par Olivier Vagneux, élu minoritaire à Savigny-sur-Orge ».
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