Éditions B42
Les Éditions B42, éditeur français basé à Montreuil[1], publient des ouvrages consacrés au design, au design graphique, à la typographie, à la création contemporaine et aux cultures populaires[2].
Éditions B42 | |
Repères historiques | |
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Création | 2008 |
Fiche d’identité | |
Forme juridique | Sarl |
Siège social | Paris (France) |
Dirigée par | Alexandre Dimos |
Spécialités | design design graphique typographie art contemporain |
Langues de publication | français, anglais |
Diffuseurs | BLDD (Les Belles Lettres), Idea Books |
Site web | https://editions-b42.com/ |
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Le nom de la maison d'édition fait directement référence à un des premiers incunables imprimé par Gutenberg, qui est le premier livre imprimé en Europe à l'aide de caractères mobiles : dans les publications spécialisées, cet ouvrage de référence, composé sur 42 lignes, voit son nom souvent réduit à un simple « B42 ».
Les livres des éditions B42 bénéficient d'une mise en page très soignée, souvent conçue et réalisée par le studio deValence[3].
B42 publie la revue annuelle de design graphique et de typographie Back Cover, ainsi que la revue Back office consacrée au design graphique et aux pratiques numériques.
Quelques ouvrages
modifier- Raphaël Zarka, Une Journée sans vague : chronologie lacunaire du skateboard, 2009.
- Jost Hochuli, Le détail en typographie, traduit de l'allemand par Victor Guégan, 2010.
- Robin Kinross, La typographie moderne : un essai d'histoire critique, traduction française de Amarante Szidon, 2012.
- Catherine de Smet, Pour une critique du design graphique : 18 essais, 2012.
- Didier Semin, Jean-Pierre Criqui, Guillaume Désanges & Christophe Gallois, Raphaël Zarka, monographie, 2012.
- Marie Neurath et Robin Kinross, Le transformateur : principes de création de diagrammes isotype, 2013.
- Fred Smeijers, Les contrepoinçons, 2014.
- Hans-Rudolf Bosshard, Max Bill, Jan Tschichold : la querelle typographique des modernes, 2014.
- Otl Aicher, Le monde comme projet, 2015[4].
- Jost Hochuli, L'abécédaire d'un typographe, traduit de l'allemand par Victor Guégan, 2015.
- Bumpei Yorifuji, Devenir un expert du Rakugaki, développer son imagination par le dessin, traduit du japonais par Anne-Sophie Lenoir, 2016.
- Aaron Swartz, Celui qui pourrait changer le monde, traduit de l'anglais par Marie-Mathilde Bortolotti et Amarante Szidon, 2017[5].
- Gilles Rouffineau, Éditions off-line, 2018.
- Bumpei Yorifuji, La vie merveilleuse des éléments, traduit du japonais par Anne-Sophie Lenoir, 2018.
- Gilles Rouffineau, Éditions off-line, 2018.
- Norman Potter, Qu'est-ce qu'un designer : Objets. Lieux. Messages, Traduit de l’anglais par Gilles Rouffineau et Damien Suboticki, 2018
- Lieux Infinis, sous la direction d'Encore Heureux, 2018
- Otto Neurath, Des hiéroglyphiques à l'Isotype : une autobiographie visuelle, traduit de l'anglais par Damien Suboticki, 2018.
- Michael Taussig, Mon musée de la cocaïne, Traduit de l’anglais par Julia Burtin Zortea, 2018.
- Sarah Schulman, La gentrification des esprits, Traduit de l’anglais par Émilie Notéris, 2018.
- Bunpei Yorifuji, Au cœur du caca, traduit du japonais par Patrick Honnoré, 2018.
- Paul Cox, Jeu de construction, 2018.
- Martin Szekely, Intérieurs. Les années 1980-1990, tome IV, 2019.
- Martin Szekely, Villa Greystones, tome V, 2019.
Notes et références
modifier- « À propos », sur éditions B42 (consulté le )
- « Dix beaux livres photo pour embellir Noël », sur LEFIGARO (consulté le )
- Éditions B42 sur le site du studio deValence
- « Otl Aicher : “Les designers sont dangereux pour toute autorité souveraine” », sur Télérama (consulté le )
- « Aaron Swartz, le testament politique d’un enfant du Net », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )